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Pour Prologue certes je suis à perte latente pru 0.257€
Mais en PV passé.
Le passé couvre le présent.
J’ai actuellement 10 lignes mais pas assez diversifié.
Concernant Prologue mon investissement sur LT est motivé par des années à suivre le dossier et il arrive à maturité.
Mon entrée fin juin 2025
Les fondamentaux sont dans la lignée du plan 2027
Rentable, croissance et amélioration de la marge.
Sans même parler du cash disponible hors cession de O2i
Bref du timing surtout.
2crsi est parfaitement en corrélation avec ses annonces depuis mi 2024.
Bénéficiaire, en croissance et affirme le futur dans un secteur qui sort à peine du stade embryonnaire.
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Pour prendre le cas de Prologue dont on discute souvent :
Tu vois bien que même en long terme pour l'instant, on est perdant… ( Prologue avait été introduit dans la seconde vague d'introduction post crise internet de 2001).
Et pour l'instant, on se fait toujours laminer même après avoir acheté en baisse…
C'est donc pas du 50/50 comme tu le penses, ça dépend surtout des valeurs, de ce qu'elles proposent, de leur avance technologique, de leur gestion financière, etc.
D'où l'importance encore une fois de diversifier son portefeuille et de limiter ses risques en divisant par la richesse de lignes différentes de portefeuille…
Concernant ton investissement personnel sur 2CRSI , je crois savoir dans d'autres échanges que tu avais un bas prix : effectivement pour toi, c'est tout bon… Mais les arbres mêmes dans le luxe n'ont pas atteint le ciel. A un moment, ça peut être plus intéressant d'encaisser sa plus-value pour s'offrir un bon cheval décoté en actif et à dividende. Ça sécurise du long terme…
Ici, je discutais plutôt d'un ordre général du cours des choses… Et on se rend souvent compte que son cas personnel déroge à la règle : je pense que c'est là où il y a le plus matière à jouer sur ce qui peut se passer ensuite.
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Conclusion le long terme est payant si le pru est confortable.
Un secteur d’avenir à court terme est risqué puisque c’est un pari.
J’ai donc raison à 50%
Concernant les pertes : 90% des porteurs sont perdants.
Action à risque ou non.
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Si tu avais raison, cela voudrait dire que 50% de petits porteurs gagneraient de l'argent en bourse.
Ce qui est parfaitement faux.
On en est loin, vu qu'une large majorité des PEA sont en pertes par exemple.
Autre point important souligné par l'AMF, la performance de long terme est grandement influencée par la distribution récurrente de dividendes qui sont réinvestis pour faire boule de neige.
Avec ce genre d'activité nouvelle et de boite en déficit permanent, c'est impossible à réaliser.
De plus, le flux de transactions boursière n'est pas proportionnel au variations de cours et inversement, il y a aucune règle juste des corrélations sur certains évènements…
L'AMF démontre d'ailleurs ici que celui qui ne joue pas placé long terme, prends tout les risques : plus on est court terme, plus c'est risqué.
AMF : 12 mai 2023
Rendement et risque des placements en actions
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Comme il faut un berger pour descendre le troupeau en plaine.
C’est 50/50 que tu le veuilles ou non.
C’est pas parce que tu achètes ce jour 1 action à 1€ avec de bons fondamentaux que demain l’action ne pourra pas descendre sous ton pru pour x raison (cher ou pas)
Amazon bibliothèque en ligne c’était soit disant un échec … idem google.. etc
Sans parler de crypto etc..
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Je note : "Donc tu as 50% raison 50% tort."
En principe, NON, car il faut beaucoup plus de moutons pour monter en haut de l'alpage et surfer sur la crête que pour redescendre dans la vallée où se trouvent les piscines de RSI, une bonne charge de "plastic boursier" et le gros des moutons périt dans le gouffre des abysses boursières.
Y'a souvent peu de monde pour acheter quand ça vaut pas cher… Et acheter pas cher n'est pas un gage de réussite boursière car on n'est pas à l'abri d'une perte partielle à -50% ou totale… On ne sais jamais…
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Pour celui qui attend au plus haut oui
Pour celui qui est placé plus bas non.
Ton raisonnement tien seulement au niveau du pru de certains mais pas dans sa globalité !
Donc tu as 50% raison 50% tort.
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Je note : "le long terme a bien prouvé qu internet est le moteur de croissance des marchés "
Le long terme, comme son nom l'indique, c'est long et il a bien des choses beaucoup plus rentables et moins risquées à faire actuellement pour placer son argent en bourse…
Mais à court et moyen terme, la plupart des petits porteurs ont perdu de l'argent, il en ira de même pour l'IA.
La plupart des titres sont hors de prix alors qu'on propose de plus en plus de produits financiers et d'ETF à base d'IA pour doper ses portefeuilles. A la moindre pétouille, le château de carte s'écroulera compte tenu des niveaux de PER actuels et d'un seuil de rentabilité pour l'instant non atteint pour la plupart de ces boites.
Au final, comme toujours, c'est le petit qui épongera les pertes et les organes financiers se gavent avec les frais de souscription et de gestion, sans courir le moindre risque puisque le petit porteur est prévenu que c'est "à risque élevé".
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A la différence les contrats sont bien la.
Bulle internet ou pas, le long terme a bien prouvé qu internet est le moteur de croissance des marchés !
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Ça me rappelle les grandes heures d'Internet avant la crise boursière de 2001.
Il suffissait de truffer ses communiqués de presse d'internet et de chiffres en millions ou en milliards pour ça monte…
Le résultat s'est pas fait attendre : en 2001, c'est la grande lessive et particulièrement au Tableau C de l'époque où surfaient les introductions à la mode internet…
Au final beaucoup de pertes boursières et de grosses désillusions, qui ont mis des années à s'estomper...
Il n'y a jamais beaucoup d'explications rationnelles et factuelles concernant les milliards qu'on brasse à la pelle et au bulldozer. Ça ressemble assez à l'univers des biotechs de ce point de vue où l'on confond le marché adressable (toujours surestimé) et ce qui se passe dans la vraie vie. Là, aussi, beaucoup de désillusion…
: (
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L’IA s’apprête à drainer 758 milliards de dollars d’investissements en infrastructure d’ici 2029
lundi 03 novembre 2025
La frénésie mondiale autour de l’intelligence artificielle générative n’est pas près de retomber. Au contraire, elle s’apprête à déclencher un raz-de-marée d’investissements sans précédent dans les infrastructures nécessaires à son fonctionnement. Selon la dernière édition du « Worldwide Quarterly Artificial Intelligence Infrastructure Tracker » d'IDC, les dépenses mondiales en infrastructures matérielles dédiées à l’IA devraient atteindre la somme astronomique de 758 milliards de dollars d’ici 2029. Cette projection s’appuie sur une croissance déjà explosive, avec un deuxième trimestre 2025 marqué par une augmentation de 166% des dépenses sur un an, pour atteindre 82 milliards de dollars.
Le moteur principal de cette ruée vers l’or numérique est sans conteste l’investissement massif dans les serveurs spécialisés. Au cours du deuxième trimestre 2025, les serveurs ont représenté à eux seuls 98% de l’ensemble des dépenses dites « AI Centric », affichant une croissance annuelle de 173,2%. Cette dynamique est principalement tirée par les serveurs équipés de processeurs spécialisés comme les GPU, dont les performances sont indispensables pour entraîner et exécuter les modèles d’IA complexes. Ces machines représentent déjà 91,8% des dépenses en serveurs pour l’IA et leur adoption a bondi de plus de 207% sur un an. IDC anticipe même que leur part dépassera les 95% d’ici la fin de la décennie.
Les géants du cloud, principaux artisans de l'expansion du marché
L’étude d’IDC lève aussi le voile sur un autre aspect déterminant de ce marché : sa localisation. L’immense majorité de cette infrastructure est déployée non pas dans les caves des entreprises, mais dans les datacenters des fournisseurs de services cloud. Pas moins de 84,1% des dépenses totales du deuxième trimestre 2025 proviennent d’environnements cloud ou partagés. Les hyperscalers (Amazon Web Services, Microsoft Azure ou Google Cloud), ainsi que les autres fournisseurs de services numériques, sont les principaux contributeurs, assumant à eux seuls 86,7% des investissements. Cette concentration souligne que l’accès à l’IA se fait majoritairement « as-a-service », par abonnement, plutôt que via des investissements directs en interne.
Les prévisions revues à la hausse face à un emballement durable
Cette embellie économique ne montre aucun signe d’essoufflement. Les analystes d’IDC ont même procédé à une révision significative de leurs prévisions à la hausse. Ils anticipent désormais que la phase de déploiement massif des serveurs taillés pour l'IA se prolongera au moins jusqu’à la fin de l’année 2026, et probablement au-delà. Cette nouvelle estimation, qui remplace un scénario initial prévoyant un ralentissement, s’appuie sur l’analyse des carnets de commandes continuellement garnis des principaux vendeurs et acheteurs. « Il est probable que de nouveaux investissements liés à l'IA soient annoncés dans les années à venir, prolongeant la phase de déploiement de masse actuelle », confirme Lidice Fernandez, vice-présidente du groupe chez IDC.
Le stockage, maillon indispensable de la chaîne de valeur de l'IA
Si les serveurs captent la plus grande partie des investissements, l’infrastructure de stockage n’est pas en reste. Son rôle est absolument critique pour gérer les immenses jeux de données nécessaires à l’apprentissage des modèles, mais aussi pour stocker les résultats intermédiaires et les référentiels utilisés pour l’inférence. Ce segment a ainsi enregistré une croissance solide de 20,5% sur un an au deuxième trimestre 2025, avec près de la moitié des dépenses (48%) provenant, là encore, d’environnements cloud.
Une domination américaine, mais une croissance tirée par la Chine
Sur le plan géographique, la cartographie des dépenses révèle une nette domination des États-Unis, qui ont absorbé 76% du marché mondial au deuxième trimestre 2025. La Chine arrive en seconde position avec 11,6%, suivie par les régions Asie-Pacifique (hors Japon et Chine) et EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). Toutefois, le paysage est amené à évoluer.
Sur les cinq prochaines années, IDC prévoit que la Chine affichera le taux de croissance annuel composé (TCAC) le plus élevé au monde (41,5%), talonnant de près les États-Unis (40,5%). En comparaison, les croissances anticipées pour les régions EMEA (17,3%) et APJ (14,3%) apparaissent bien plus modestes, creusant encore l’écart avec les deux leaders mondiaux. Cette course effrénée aux infrastructures confirme que l’IA est désormais un champ de bataille géopolitique et économique où la puissance de calcul est devenue une ressource stratégique.
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