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J'avais tout vendu l'année dernière, et j'aurais dû attendre la sortie qui se profile, car elle se fera à meilleur cours tout de même.
Mais effectivement pour les vieux investisseurs venant d'Alcatel-Lucent c'est un petit peu au moment où l'entreprise sent qu'elle va devenir beaucoup plus rentable qu'elle se recroqueville sur sa place d'origine.
Xavier Niel a fait le même calcul avec Iliad quand il a compris que les tracas apportés par la cotation en bourse lui coûtait plus cher que ce qu'il en retirait.
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j'ai tout vendu !!
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Je me souviens quand Michel Combes a mis l'accent sur la création de valeur pour les actionnaires, en soulignant que la fusion offrirait une meilleure performance financière à long terme.
Il avait mentionné que la fusion ouvrirait de nouvelles opportunités commerciales et de nouveaux marchés pour Alcatel-Lucent, en capitalisant sur la présence mondiale de Nokia.
Michel Combes avait rassuré les actionnaires sur le fait que la fusion apporterait une plus grande stabilité financière et des perspectives de croissance, en renforçant le positionnement concurrentiel.
De plus, je me souviens aussi que Rajeev Suri et Michel Combes ont partagé une vision commune de l'avenir, axée sur la transformation numérique et le développement des réseaux 5G.
il ont insisté sur leur engagement à maximiser la valeur pour les actionnaires tout en assurant une transition réussie pour les employés et les clients.
Aujourd'hui on nous coupe l'herbe sous le pied au moment où le groupe commence à récolter le fruit d'avoir construit une société solide et rentable !!
Ce fut le cas aussi de Natixis qui a choisi de sortir de la cotation avec comme excuse : pour se recentrer sur ses activités principales et améliorer sa flexibilité opérationnelle.
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C'est exactement ce qui s'est passé avec Lafarge et Holcim…
Et il faudra voir comment on va gérer le retrait en PEA…
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Nokia, en se retirant de la Bourse de Paris, soulève des inquiétudes parmi les actionnaires d'Alcatel-Lucent,
qui se sentent lésés suite au rachat.
Ce mouvement est perçu comme un désengagement de la part de Nokia et une trahison, ce qui alimente la frustration des investisseurs qui espéraient après tant d'années des retours sur investissement après cette fusion.
Cette situation illustre un manque de transparence et de considération envers les actionnaires.
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je ne pense pas que la bourse soit là pour enrichir les petits porteurs,c'est un non sens,c'est exactement le contraire.
Un peu comme les casinos
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Et hop, encore une boite rentable qui quitte la cote… Par contre, personne pour retirer du marché le flot grandissant de bouses et de penny stocks qui agrandissent chaque année le parc de petits porteurs déçus de la bourse.
Faut pas s'étonner si le nombre d'actionnaire en France peine à se redévelopper après les crises boursières successives et le flot d'introductions foireuses…
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(ABC Bourse) - Le géant finlandais des télécoms a confirmé son intention de se retirer d’Euronext Paris, invoquant des coûts et des contraintes administratives trop lourdes.

Le fabricant finlandais d’équipements télécoms Nokia a annoncé mardi son intention de demander la radiation de ses actions cotées à la Bourse de Paris. Le groupe justifie cette décision par des raisons liées aux "volumes d'échanges, aux coûts et aux exigences administratives". La mesure doit encore être approuvée par le Conseil d’administration d’Euronext Paris avant d’entrer en vigueur dans un délai estimé à trois mois.
Dans un communiqué, Nokia précise que "les actions de Nokia resteront cotées sur le Nasdaq Helsinki, et ses American Depositary Receipts (ADR) resteront cotés à la Bourse de New York". Le groupe indique qu’il continuera ainsi de garantir une visibilité internationale à ses investisseurs, tout en simplifiant sa structure de cotation.
Selon le communiqué, la décision de Nokia de déposer cette demande de radiation fait suite à un examen des volumes d'échanges, des coûts et des exigences administratives liés à sa cotation sur Euronext Paris. En clair, le groupe juge la place parisienne peu stratégique au regard des faibles volumes de transactions observés sur ses titres.
Le retrait de la cotation à Paris illustre aussi une tendance plus large : celle d’un recul du nombre d’introductions en Bourse sur la place française. D’après une étude du cabinet Ernst & Young, seules quatre entreprises ont été cotées en 2024 contre trente-six sorties, un solde largement négatif qui inquiète les observateurs du marché.
Ce départ ne devrait pas affecter directement les actionnaires institutionnels, mais il impose une réorganisation pour les investisseurs individuels français. Nokia les invite d’ailleurs à la prudence : Les investisseurs dont les actions sont cotées à la Bourse de Paris sont invités à consulter leurs conseillers financiers et/ou leurs dépositaires afin d'évaluer les conséquences de cette radiation pour eux.
Lire aussi : Nokia s'envole de +18% après une prise de participation géante de Nvidia
Si la décision se confirme dans les prochains mois, les détenteurs d’actions Nokia à Paris devront se tourner vers Helsinki ou New York pour poursuivre leurs échanges. Une évolution qui symbolise la perte d’attractivité progressive d’Euronext Paris face à d’autres marchés plus dynamiques.
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