Mais je ne suis pas l'auteur de l'article.
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Peut-être aussi que le requin devient gibier plutôt que chasseur, l'Homme est un redoutable prédateur !
Moins de requins, moins de morsures. lol
Moins de requins, moins de morsures. lol
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Le nombre d'attaques de requin aux États-Unis a considérablement plongé l'an dernier. La raison ? La crise économique ! Selon un rapport du International Shark Attack File, un organisme de recherche de l'Université de Floride, les États-Unis ont enregistré, en 2009, 28 attaques contre 41 en 2008. La chute est particulièrement frappante en Floride où l'on a recensé 19 attaques l'an dernier contre 32 en 2007 et 2008.
George Burgess, directeur du centre de recherche, avance la théorie selon laquelle les Américains n'ont plus le temps ou les moyens d'aller faire trempette à la mer. Résultat, il y a une pénurie de baigneurs et les requins n'ont plus rien à se mettre sous la dent. "La population de Floride n'a pas baissé, donc je suppose que l'économie a peut-être un effet sur le nombre de gens qui peuvent se payer un plein d'essence et se rendre à la plage", commente-t-il.
Le nombre d'attaques avait déjà beaucoup diminué entre 2007 et 2008, passant de 50 à 41. Mais il est encore trop tôt pour déterminer s'il s'agit d'une tendance durable. Dans le reste du monde en revanche, le nombre d'attaques reste stable, 61 l'an dernier contre 60 en 2008. Les États-Unis comptent le plus de morsures, suivis par l'Australie et l'Afrique du Sud.
Sur la décennie 2000-2010, les scientifiques ont enregistré une hausse globale sans précédent du nombre d'attaques. Cela est dû d'abord au fait qu'elles sont mieux recensées. C'est aussi "le résultat de l'augmentation de population et du temps passé en loisir", ajoute George Burgess. Plus de la moitié des victimes sont des surfeurs, mais contrairement au mythe, la plupart survivent à leurs blessures. Le taux de mortalité est à son plus bas niveau sur ces dix dernières années. Au début du XXe siècle, 60 % des attaques étaient fatales contre 7 % entre 2000 et 2010 en raison notamment de l'amélioration des soins médicaux et de la surveillance des plages. Bref, la probabilité d'être mordu par un requin et - pire - de finir dans son estomac reste minime.
George Burgess, directeur du centre de recherche, avance la théorie selon laquelle les Américains n'ont plus le temps ou les moyens d'aller faire trempette à la mer. Résultat, il y a une pénurie de baigneurs et les requins n'ont plus rien à se mettre sous la dent. "La population de Floride n'a pas baissé, donc je suppose que l'économie a peut-être un effet sur le nombre de gens qui peuvent se payer un plein d'essence et se rendre à la plage", commente-t-il.
Le nombre d'attaques avait déjà beaucoup diminué entre 2007 et 2008, passant de 50 à 41. Mais il est encore trop tôt pour déterminer s'il s'agit d'une tendance durable. Dans le reste du monde en revanche, le nombre d'attaques reste stable, 61 l'an dernier contre 60 en 2008. Les États-Unis comptent le plus de morsures, suivis par l'Australie et l'Afrique du Sud.
Sur la décennie 2000-2010, les scientifiques ont enregistré une hausse globale sans précédent du nombre d'attaques. Cela est dû d'abord au fait qu'elles sont mieux recensées. C'est aussi "le résultat de l'augmentation de population et du temps passé en loisir", ajoute George Burgess. Plus de la moitié des victimes sont des surfeurs, mais contrairement au mythe, la plupart survivent à leurs blessures. Le taux de mortalité est à son plus bas niveau sur ces dix dernières années. Au début du XXe siècle, 60 % des attaques étaient fatales contre 7 % entre 2000 et 2010 en raison notamment de l'amélioration des soins médicaux et de la surveillance des plages. Bref, la probabilité d'être mordu par un requin et - pire - de finir dans son estomac reste minime.
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