C'est le moment ?

Les institutions ont d'autres moyen d'attaquer là sur BFM:
La bce donnent l'occasion de se refaire au bques

Lulu moi aussi et la petite aussi

moi sur les bques j'ai rien dit.......

Message complété le 15/09/2011 15:27:04 par son auteur.

racheter du dollar

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Otez moi d'un doute, la vade est toujours interdite sur les financiére ?

Ce n'est pas les banques qui sont visées , c'est l'euro

Si j'aurais su, j'aurais gardé mon idée de base de jouer la BNP , mais bon Lulu et la petite me consolent .

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http://www.marianne2.fr/hervenathan/Qui-veut-la-peau-des-banques-francaises_a131.html

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Qui a intérêt à orchestrer des baisses aussi violentes?
La perte d'un triple A de l'autre c^té n'a pas plu
Attaque depuis la city

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L'exposition à la Grèce de BNP n'est que de... 0,15% du CA annuel.
De qui se moque-t-on?
Qui a intérêt à orchestrer des baisses aussi violentes?

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Je ne pense pas qu'un référendum sur une question aussi difficile soit envisageable ; il faudrait que seuls ceux qui sont compétents votent. Ce qui est bien entendu inconcevable en démocratie.

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La position de Jolly est trés proche de la mienne . Referendum ou pas ?

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c'est le moment de refaire un nouveau pacte de stabilité, 60% de ratio dette publique / PIB max et 3% de déficit max par an, pour tout pays souhaitant rester dans l'euro, à horizon 2015 ou plus (pas trop)

à ce moment la, si les européens le souhaitent (par référendum ils pourraient mutualiser leurs dettes

perso ça me fait pas rêver mais c'est peut-être la solution la plus jouable...

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La France et l'Allemagne s'apprêtaient mercredi à demander à la Grèce des assurances sur les mesures de redressement qu'elle s'est engagée à appliquer dans le cadre du nouveau plan d'aide européen adopté fin juillet.

Alors qu'Athènes peine à remplir les objectifs budgétaires fixés dans le cadre d'un premier plan de mai 2010, au point de susciter des doutes croissants sur sa solvabilité , la porte-parole du gouvernement français, Valérie Pécresse, a déclaré qu'aucune autre solution n'était à l'ordre du jour.

"Aujourd'hui, nous sommes dans la mise en oeuvre de l'accord", a-t-elle dit lors du compte rendu du conseil des ministres.

"Il y a d'un côté l'engagement des prêteurs qui doit être concrétisé par des votes des parlements et puis l'engagement du gouvernement et du parlement grecs à mettre en oeuvre toute une série de mesures de redressement", a-t-elle indiqué, ajoutant : "Nous voulons la garantie de la mise en oeuvre du plan de redressement".

"Je crois qu'il faut être très ferme sur les engagements qui ont été pris", a-t-elle poursuivi en soulignant que la question serait à l'ordre du jour de la téléconférence prévue en fin de journée mercredi entre Nicolas Sarkozy, la chancelière Angela Merkel et le Premier ministre grec George Papandreou.

Les résultats de celle-ci ne donneront lieu à aucune communication, a-t-elle précisé.

La situation de la Grèce a été évoquée en conseil des ministres par le président français et son Premier ministre François Fillon, qui "ont réaffirmé d'une seule voix la détermination de la France à tout mettre en oeuvre pour sauver la Grèce", a encore dit Valérie Pécresse.

"SOLIDITÉ DU COUPLE FRANCO-ALLEMAND"

Les deux hommes ont insisté en outre sur la "solidité du couple franco-allemand dans la défense de la zone euro" et sur la nécessité d'appliquer "de manière rapide et concertée tout le plan du 21 juillet, rien que le plan du 21 juillet".

Certains pays européens comme la Finlande exigent que la Grèce mobilise des actifs en garantie pour prix de leur participation au nouveau plan adopté en juillet à Bruxelles, d'un montant de l'ordre de 110 milliards d'euros.

D'autres voix, estimant la Grèce incapable de se tirer d'affaires, plaident pour une mutualisation des dettes de la zone euro, seule solution à leurs yeux pour sauver ses pays les plus faibles.

Valérie Pécresse a fait valoir que le dernier plan d'aide à la Grèce avait été validé par le Fonds monétaire international et qu'il paraissait "crédible" pour remettre le pays d'aplomb.

Elle a invoqué le plan européen d'aide à l'Irlande, qui "avait été jugé dur et difficile à mettre en oeuvre" lorsqu'il a été présenté mais qui a permis, selon elle, à Dublin d'être "tiré d'affaires aujourd'hui".

S'agissant de la création d'éventuelles euro-obligations, un projet à l'étude par la Commission européenne, la ministre du Budget a répété la position de la France, à savoir qu'elles ne pourraient être que "l'aboutissement d'un processus de consolidation de la zone euro" et une convergence des politiques budgétaires.

"Cette convergence budgétaire est évidemment un préalable à toute autre question, notamment la question de la mutualisation des dettes. Ca peut être un point d'arrivée, certainement pas un point de départ.

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Salut je pense que c est pas gagner d avance avec out ce bordel.

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"maintenant si l’Allemagne lâche du leste pari gagné" je serais surpris tout au moins a court terme .

Pour le reste ,nous sommes du même avis :

en CT pas évident

en MT ou LT préférable d'attendre aprés la nationalisation ;merci de la réponse

PS je suis sur que J Delors va oublier pendant 2 H les soucis financiers , lui qui est un fervent supporter du Losc , je vais le rejoindre

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bonjour
je pense que pour le moment vaut mieux rester à l'écart des bancaires
ou alors en day et la pas simple !
mais sur du long terme ça peut devenir vite intéressant(le prix est plutôt cadeau)
mais dans l'instant avec ce qui leurs pend aux nez waouh
maintenant si l’Allemagne lâche du leste pari gagné
je suis pas sur de vous aidez mais le problème est !!!!!ardu

Message complété le 14/09/2011 20:42:59 par son auteur.

et si vous devez vous placer attendre 14.30 demain

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Mauvaise mon idée ;la réunion Merkel, papa, sarko , c'est pas le triple A mais le triple zéro .

reste plus qu'a parier sur le % de défaillance de la Gréce : 50% mini .. et se tenir éloigné des banques .

Des avis ?

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C'est pour cela que je "joue" la BNP .... si mon approche des différentes positions ( politiques, banques us ) est bonne ;

C'est la ou il y le plus de grain a moudre .... ou de pertes a faire si erreur

Message complété le 14/09/2011 17:39:01 par son auteur.

cloture de BNP pas trop rouge ..

demain entrainement , pas présent a l'ouverture

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alors pour l'Italie, BNP a des engagements monstrueux, plus de 23 mds d'euros de mémoire

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La gréce ne m'inquiétait pas , équivalent de Kerviel .... pas mortel; ce qui me géne c'est l'ITALIE ;aprés le vote du parlement ,la déclaration du ministre allemand de l'économie ; celle des banques US qui jurent n'avoir jamais attaqué l'Euro, j'ai le sentiment d'un retournement ou tout au moins d'une pause , en attendant les "fuites" de la réunion Sarko, Merkel et Papa

Message complété le 14/09/2011 17:35:03 par son auteur.

C dans l'air : sujet la crrrrrise financiére

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sur les banques c'est un pari, à tout prendre je choisirait crédit agricole des 3 grosses françaises. Les fonds propres les plus solides, la meilleure notation, une exposition à la Grèce très très limitée. Mais enfin cet avis vaut ce qu'il vaut en ces temps troublés

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j'avoue çetre bien tenté ,l'allemagne semble monter au créneau a coté de l'italie ...

Un island reversal pas impossible ,des avis ?

PS manip a HAUT risque

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