Conséquence :
Moody's place sous surveillance les notes de la Banque UBS avec en vue une dégradation possible en raison des "faiblesses dans la gestion du risque du groupe".
Moody's place sous surveillance les notes de la Banque UBS avec en vue une dégradation possible en raison des "faiblesses dans la gestion du risque du groupe".
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J'y avais pensé aussi, mais pas avec les même moyen.
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le financial times rapporte une anecdote intéressante, sur le profil facebook du trader, le 6 septembre dernier, il postait le statut suivant : "need a miracle"...
Message complété le 15/09/2011 16:36:35 par son auteur.
encore un qui a voulu se refaire en moyennant à la baisse en levier max 
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Voici un peu plus d'explications.
Zurich (awp/ats) - Nouveau coup dur pour UBS. Victime d'une fraude d'un
courtier de sa banque d'affaires, le numéro un bancaire helvétique
estime avoir perdu 2 milliards de dollars (1,75 milliard de francs). Un
employé a été arrêté à Londres. Le 3e trimestre
pourrait s'achever dans le rouge.
L'affaire fait encore actuellement l'objet d'une enquête interne, a
précisé jeudi UBS dans un bref communiqué diffusé à
quelques minutes seulement de l'ouverture de la Bourse suisse. Selon
l'établissement, ce cas n'a pas affecté de positions de clients.
Si l'UBS ne délivre que peu d'informations, les opérations de
courtage non autorisées ont été effectuées à Londres.
La police de la capitale britannique a pour sa part confirmé à l'ats
avoir arrêté dans la nuit de mercredi à jeudi un homme de 31
ans.
Le suspect, dont UBS a confirmé par la suite qu'il s'agit d'un de ses
employés, a été immédiatement placé en détention.
Selon plusieurs médias, le courtier était actif dans le domaine des
fonds indiciels (exchange traded funds ou ETF) au sein de l'unité
marché d'actions européennes.
Dans une lettre envoyée ce jour aux collaborateurs d'UBS, et dont l'ats a
obtenu copie, la direction indique avoir découvert les opérations non
autorisées mercredi. Contactée, la banque n'a pas souhaité dire
si la perte sur transactions était de nature criminelle, liée à
une erreur ou consécutive à un manquement dans le contrôle des
risques.
L'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers
(FINMA) a pour sa part été informée par UBS dès la
découverte du cas, a indiqué à l'ats son porte-parole Tobias
Lux. Ce dernier n'a pas non plus voulu livrer plus de détails.
La sanction des investisseurs ne s'est elle pas fait attendre. A l'ouverture
de la Bourse suisse, le titre UBS lâchait 8,5% par rapport à la
clôture de la veille, pour accentuer ses pertes dans l'après-midi en
abandonnant vers 15h25 8,97% à 9,95 francs. L'indice des valeurs vedettes
Swiss Market Index (SMI) gagnait dans le même temps 1,13%.
L'affaire rappelle notamment celle qui avait touché la banque
française Société Générale début 2008, lorsque
des opérations d'un de ses courtiers également actif dans les
produits dérivés, Jérôme Kerviel, avaient
entraîné des pertes de 4,9 milliards d'euros. Jugé seul
responsable de ce débours, l'ex-trader a été condamné en
octobre 2010 à cinq ans de prison dont trois ferme.
Après avoir frôlé la faillite à la suite de la crise
financière, puis subi les foudres des autorités américaines dans
le cadre d'affaires d'évasion fiscale, UBS voit une nouvelle fois sa
réputation mise à mal. L'affaire éclate alors même que le
Conseil national débat de la réglementation "too big to fail".
Si les experts ne jugent pas dramatique le dommage financier subi par UBS, ils
redoutent en revanche celui affectant la réputation de
l'établissement. Même dans les cas où les agissements non
autorisés du courtier ne seraient pas illicites, ils jettent le doute sur
la gestion des risques, a relevé un analyste.
Cette affaire éclate alors qu'UBS est parvenue à rétablir la
confiance de sa clientèle cette année. La banque avait ainsi
affiché un afflux net de nouveaux capitaux de 22,3 milliards de francs, au
premier trimestre, un record depuis la crise financière. Ce montant
s'était réduit à 8,7 milliards au 2e trimestre.
Ce cas de fraude intervient aussi dans un contexte économique devenu de
plus en difficile pour les banques au fil des derniers mois en raison de la
crise de la dette en Europe et aux Etats-Unis.
Pour mémoire, fin août, UBS a concrétisé les mesures
d'économies annoncées un mois plus tôt pour économiser 2
milliards de francs par an d'ici 2013. L'établissement entend supprimer
pas moins de 3500 emplois sur un total de 65'700. Il avait alors indiqué
que la restructuration entraînera une charge de 550 millions de francs,
dont 450 millions seront comptabilisés sur le 3e trimestre 2011.
Alors que la banque a vu son bénéfice net plonger de près de
moitié au 2e trimestre à 1,015 milliard de francs, il est ainsi fort
probable que les pertes liées à cette fraude le plongent dans le
rouge. UBS avait affiché des chiffres rouges pour la dernière fois au
3e trimestre 2009, avec une perte nette de 564 millions.
Zurich (awp/ats) - Nouveau coup dur pour UBS. Victime d'une fraude d'un
courtier de sa banque d'affaires, le numéro un bancaire helvétique
estime avoir perdu 2 milliards de dollars (1,75 milliard de francs). Un
employé a été arrêté à Londres. Le 3e trimestre
pourrait s'achever dans le rouge.
L'affaire fait encore actuellement l'objet d'une enquête interne, a
précisé jeudi UBS dans un bref communiqué diffusé à
quelques minutes seulement de l'ouverture de la Bourse suisse. Selon
l'établissement, ce cas n'a pas affecté de positions de clients.
Si l'UBS ne délivre que peu d'informations, les opérations de
courtage non autorisées ont été effectuées à Londres.
La police de la capitale britannique a pour sa part confirmé à l'ats
avoir arrêté dans la nuit de mercredi à jeudi un homme de 31
ans.
Le suspect, dont UBS a confirmé par la suite qu'il s'agit d'un de ses
employés, a été immédiatement placé en détention.
Selon plusieurs médias, le courtier était actif dans le domaine des
fonds indiciels (exchange traded funds ou ETF) au sein de l'unité
marché d'actions européennes.
Dans une lettre envoyée ce jour aux collaborateurs d'UBS, et dont l'ats a
obtenu copie, la direction indique avoir découvert les opérations non
autorisées mercredi. Contactée, la banque n'a pas souhaité dire
si la perte sur transactions était de nature criminelle, liée à
une erreur ou consécutive à un manquement dans le contrôle des
risques.
L'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers
(FINMA) a pour sa part été informée par UBS dès la
découverte du cas, a indiqué à l'ats son porte-parole Tobias
Lux. Ce dernier n'a pas non plus voulu livrer plus de détails.
La sanction des investisseurs ne s'est elle pas fait attendre. A l'ouverture
de la Bourse suisse, le titre UBS lâchait 8,5% par rapport à la
clôture de la veille, pour accentuer ses pertes dans l'après-midi en
abandonnant vers 15h25 8,97% à 9,95 francs. L'indice des valeurs vedettes
Swiss Market Index (SMI) gagnait dans le même temps 1,13%.
L'affaire rappelle notamment celle qui avait touché la banque
française Société Générale début 2008, lorsque
des opérations d'un de ses courtiers également actif dans les
produits dérivés, Jérôme Kerviel, avaient
entraîné des pertes de 4,9 milliards d'euros. Jugé seul
responsable de ce débours, l'ex-trader a été condamné en
octobre 2010 à cinq ans de prison dont trois ferme.
Après avoir frôlé la faillite à la suite de la crise
financière, puis subi les foudres des autorités américaines dans
le cadre d'affaires d'évasion fiscale, UBS voit une nouvelle fois sa
réputation mise à mal. L'affaire éclate alors même que le
Conseil national débat de la réglementation "too big to fail".
Si les experts ne jugent pas dramatique le dommage financier subi par UBS, ils
redoutent en revanche celui affectant la réputation de
l'établissement. Même dans les cas où les agissements non
autorisés du courtier ne seraient pas illicites, ils jettent le doute sur
la gestion des risques, a relevé un analyste.
Cette affaire éclate alors qu'UBS est parvenue à rétablir la
confiance de sa clientèle cette année. La banque avait ainsi
affiché un afflux net de nouveaux capitaux de 22,3 milliards de francs, au
premier trimestre, un record depuis la crise financière. Ce montant
s'était réduit à 8,7 milliards au 2e trimestre.
Ce cas de fraude intervient aussi dans un contexte économique devenu de
plus en difficile pour les banques au fil des derniers mois en raison de la
crise de la dette en Europe et aux Etats-Unis.
Pour mémoire, fin août, UBS a concrétisé les mesures
d'économies annoncées un mois plus tôt pour économiser 2
milliards de francs par an d'ici 2013. L'établissement entend supprimer
pas moins de 3500 emplois sur un total de 65'700. Il avait alors indiqué
que la restructuration entraînera une charge de 550 millions de francs,
dont 450 millions seront comptabilisés sur le 3e trimestre 2011.
Alors que la banque a vu son bénéfice net plonger de près de
moitié au 2e trimestre à 1,015 milliard de francs, il est ainsi fort
probable que les pertes liées à cette fraude le plongent dans le
rouge. UBS avait affiché des chiffres rouges pour la dernière fois au
3e trimestre 2009, avec une perte nette de 564 millions.
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Il est probable que cette supercherie soit intervenue sur les devises !
On pourrait penser qu'il y a eu une grosse position prise à contre-courant Fr.s./Euro avant que le Gouvernement Suisse intervienne pour faire baisser sa monnaie !
On pourrait penser qu'il y a eu une grosse position prise à contre-courant Fr.s./Euro avant que le Gouvernement Suisse intervienne pour faire baisser sa monnaie !
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mr adoboli....( fils du 1er ministre du togo, en prison pr escrocqueries)lol
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Avec la dévaluation du Franc Suisse, la supercherie a dû être finalement ingérable... lol
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Encore un de plus.........
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UBS a annoncé jeudi une possible perte au troisième trimestre après avoir découvert que des transactions non autorisées réalisées par un trader de la banque d'investissement avaient provoqué une perte estimée à deux milliards de dollars (1,46 milliards d'euros).
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Suivez les marchés avec des outils de pros !