apres ce sera trop tard ! ils font tout pour ramasser les tritres vadés depuis 2 semaines
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car 2 choses vont se produire avec ralentissement chinois ! on aura sans doute une baisse de la consommation de matieres premieres -vous savez que mettre le petrole a 50 dollars par exemple c'est donner un coup de fouet a l'economie mondiale de l'ordre equivalent au qe3 americain qu'on attendait !les vcouts baisseraient pour les entreprises et cela relancera l'economie -une baisse du prix a la pompe c'est du pouvoir d'achat supplementaire pour la consommation...la 2eme chose importante c'est le fait que la chine va se sentir concerné par les problemes europeens et americains ! aider l'europe c'est retablir les equilibres et permettre a la chine de controler son economie a sa guise ! ...je pense donc qu'ils vont intervenir d'une maniere ou d'une autre .
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Bonjour
à Mourad
"je viens d'entendre les derniers chiffres chinois de croissance et ils ralentissent !"
C'est justement à cela qu'ils travaillent depuis plus d'un an (environ) car il y avait risque de surchauffe.
Depuis plusieurs trimestres ils ont obligé les banques à avoir plus de réserve (donc moins de sous pour le crédit), ils ont obligés les acheteurs immobiliers d'avoir plus d'apports personnels, ... .
Le chiffre de la croissance va tout à fait dans le sens qu'ils souhaitaient.
Cordialement
à Mourad
"je viens d'entendre les derniers chiffres chinois de croissance et ils ralentissent !"
C'est justement à cela qu'ils travaillent depuis plus d'un an (environ) car il y avait risque de surchauffe.
Depuis plusieurs trimestres ils ont obligé les banques à avoir plus de réserve (donc moins de sous pour le crédit), ils ont obligés les acheteurs immobiliers d'avoir plus d'apports personnels, ... .
Le chiffre de la croissance va tout à fait dans le sens qu'ils souhaitaient.
Cordialement
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ben alors ! c'est fini l'Eldorado de la City ?
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hors de question que je me bride les yeux
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En effet néanmoins si les chinois interviennent ce ne sera pas sans contre partie.
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attention a la news que je viens de donner ca n a l air de rien comme ca !!! mais je viens d'entendre les derniers chiffres chinois de croissance et ils ralentissent ! alors que vont faire les chinois pour relancer leur croissance qui est genée par les problemes en europe a votre avis ? je pense que la ca les oblige a intervenir et ils ont enormement de cash qu'ils ne peuvent meme plus investir en europe ou aux usa a cause de cette crise ! ils doivent retablir les equilibres c'est urgent et ils le savent donc attention cac peut se retourner violement si le marché sent que la chine est sur le point d'agir -meme si ce n'est qu'une simple rumeur ca peut faire tilt ! moi perso j y crois
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on se demande bien d'où peut venir la news qui va stopper cette hémorragie, peut être de là ? en tout cas c'est la grosse déprime.
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Les Brics au secours de l'Europe, opération gagnant-gagnant
mercredi 21 septembre 2011 14h08 par Mike Dolan
LONDRES (Reuters) - Les grands pays émergents n'ont pas de baguette magique pour résoudre les problèmes d'endettement de la zone euro, mais en cherchant à stabiliser l'une des régions les plus riches de la planète elles pourraient éviter un choc boursier et gagner au change d'un point de vue non financier.
Les ministres des Finances du groupe des Brics - Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud - se réunissent jeudi à Washington et discuteront d'un possible investissement dans les obligations souveraines les plus malmenées de la zone euro.
Ces quatre pays affichent des réserves de change d'un montant combiné de 4.300 milliards de dollars (3.140 milliards d'euros), dont les trois quarts sont détenus par la Chine.
Leur réunion de Washington, à l'occasion des assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, reflète l'anxiété des responsables politiques et des investisseurs face à une crise des pays riches des deux côtés de l'Atlantique qui menace d'entraîner une deuxième récession mondiale en quatre ans.
Lors d'une conférence organisée la semaine dernière par le groupe de réflexion Oxford Analytica, l'ancien secrétaire américain au Trésor Robert Rubin a déploré le manque d'initiative internationale pour régler le problème de l'endettement des Européens.
Sa remarque n'est pas dénuée d'ironie sur le plan historique. Il y a un peu plus de dix ans, Robert Rubin, son adjoint d'alors Lawrence Summers et le président de la Réserve fédérale des Etats-Unis Alan Greenspan posaient en Une du magazine Time sous le titre "le comité pour sauver le monde", tous trois voyant salués leurs efforts pour limiter l'impact international d'effondrements en série sur les marchés émergents.
Faisant écho à un discours d'Alan Greenspan peu après le défaut de la Russie sur sa dette en 1998, le président Bill Clinton avait alors averti que l'Amérique ne pouvait demeurer un "oasis de prospérité" dans un monde de turbulences financières grandissantes. Suite...
mercredi 21 septembre 2011 14h08 par Mike Dolan
LONDRES (Reuters) - Les grands pays émergents n'ont pas de baguette magique pour résoudre les problèmes d'endettement de la zone euro, mais en cherchant à stabiliser l'une des régions les plus riches de la planète elles pourraient éviter un choc boursier et gagner au change d'un point de vue non financier.
Les ministres des Finances du groupe des Brics - Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud - se réunissent jeudi à Washington et discuteront d'un possible investissement dans les obligations souveraines les plus malmenées de la zone euro.
Ces quatre pays affichent des réserves de change d'un montant combiné de 4.300 milliards de dollars (3.140 milliards d'euros), dont les trois quarts sont détenus par la Chine.
Leur réunion de Washington, à l'occasion des assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, reflète l'anxiété des responsables politiques et des investisseurs face à une crise des pays riches des deux côtés de l'Atlantique qui menace d'entraîner une deuxième récession mondiale en quatre ans.
Lors d'une conférence organisée la semaine dernière par le groupe de réflexion Oxford Analytica, l'ancien secrétaire américain au Trésor Robert Rubin a déploré le manque d'initiative internationale pour régler le problème de l'endettement des Européens.
Sa remarque n'est pas dénuée d'ironie sur le plan historique. Il y a un peu plus de dix ans, Robert Rubin, son adjoint d'alors Lawrence Summers et le président de la Réserve fédérale des Etats-Unis Alan Greenspan posaient en Une du magazine Time sous le titre "le comité pour sauver le monde", tous trois voyant salués leurs efforts pour limiter l'impact international d'effondrements en série sur les marchés émergents.
Faisant écho à un discours d'Alan Greenspan peu après le défaut de la Russie sur sa dette en 1998, le président Bill Clinton avait alors averti que l'Amérique ne pouvait demeurer un "oasis de prospérité" dans un monde de turbulences financières grandissantes. Suite...
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