Sans aller jusque là ceci doit donner à réfléchir ( dans la mesure ou les "cocus" de HOLLANDE sont capables de sortir de leur cocon pour apréhender les réalités.)
Selon toute vraisemblance la France sera dégradée par les sociétès de cotation au début de 2013 et la spirale commencera , réserve pour les prèteurs , non tenu "réelle hors magouillage " de nos engagements puis dégradation nouvelle vers mi 2013 , hausse des taux d'emprunts , surcroît de déficit ....
La gauche par refus de l'évolution ( un sectarisme tout à fait comparable à celui des extrémistes religieux de tout poil ) a perdu un peu de temps , mais ce qui est plus grave à dénaturée la parole du pays ce qui conduit à une crise de confiance.
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Pour quoi faire? Prêter à qui? Financer quoi?
Les marchés publics? zéro
Les entreprises? est ce qu'il y en a encore?
Le défaut de paiement, la sortie de l'euro, ce n'est pas aujourd'hui mais pour demain matin.
Nos banques ont du soucis à se faire...même avec maman BCE pour leur tenir la main.
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ils reculent la retraite et cela ne suffit pas !!!
le cac en a rien à faire manifestement
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Bon on arrete quand le massacre ?
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C'est passé juste mais c'est passé quand même ! Le Parlement grec a ainsi
adopté dans la nuit les nouvelles mesures d'austérité qui étaient réclamées par
la troïka (Union Européenne, FMI et BCE) afin de débloquer une nouvelle tranche
d'aide à Athènes.
Les débats se sont poursuivis jusqu'à minuit et le vote
a été très serré alors que de nombreux manifestants (environ 70 000) s'étaient
massés devant les portes du Parlement pour faire entendre leur désapprobation.
Ce nouveau train de mesures prévoit des économies dans un peu tous les
secteurs de la société et notamment dans la sphère publique avec une baisse des
salaires des fonctionnaires, des prestations sociales ou des dépenses de santé
mais également une diminution des retraites et un recul de l'âge de la retraite
de 65 à 67 ans.
En contrepartie, les bailleurs de fond de la Grèce vont
lui verser une nouvelle aide de 31,5 milliards d'euros. Cela lui permettra
d'éviter le défaut de paiement mais également de réaliser un renflouement de ses
principales banques.
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