L'Italie aligne son 7ème trimestre d'affilée de baisse du PIB

Oui Paris ne S EST pas fait en un jour L Europe non plus

Répondre

7 trimestres = bientôt 2 ans et l' Italie n' en finit pas de la RECESSION, mettez qui vous voudrez , le mal est fait , changer de ccmmandant ne changera pas la donne , ce n' est pas parce qu' on parle trés bien le français comme Léta que l' on sortira le pays de la crise , celle çi n' est pas uniquement italienne .
Tous les pays de la zone euro qui sont entrés en RECESSION n' en sont pas ressortis ( Grèce , Portugal , Espagne , Italie , Chypre et maintenant la France ) l' épidémie partie du sud s' étend et remonte vers le nord , les Pays Bas prochaine victime .
Le premier ministre italien est le nouveau BOUFFon de la zone euro , avec Flamby quel joli couple , quelle paire perdante mise à part la bourse !

Répondre

Paris n'ont plus ne s'est pas fait en un jour !

mais pour le défaire, çà va être rapide

Répondre

Salut tirelire ROME ne sais pas fais en un jour laissons leur le temps

Message complété le 15/05/2013 11:31:40 par son auteur.

lire ne sait

Répondre

Dans trois mois ce gouvernement sera renversé !

Répondre

tirelire, tu ne vas tout de même pas faire comme tout le monde en France, ou 15 jours après l'élection de Hollande disait que le chomage ne diminuait pas. Le nouveau gouvernement Italien a 15 jours, laisse lui le temps d'arriver. Cela ne changera rien, mais laisse lui quand même le temps de s'installer.

Répondre

On change d' équipe gouvernementale mais le résultat économique ne change pas seule la bourse de Milan a vu le changement à la hausse !
RECESSION + RECESSION + RECESSION + RECESSION + RECESSION = HAUSSE de la bourse !

Répondre

Si la France est officiellement entrée en récession à l'issue de son premier
trimestre 2012 avec un recul de 0,2% du PIB, l'Italie connait elle cette
situation depuis de longs mois.

La péninsule enregistre ainsi son septième trimestre consécutif de baisse du
PIB. Au premier trimestre 2013, l'économie italienne a reculé de 0,5% par
rapport au 4ème trimestre 2012. En l'espace d'un an, le PIb s'est fortement
contracté de 2,3%.

Des chiffres encore plus mauvais que prévu par les économistes qui tablaient
sur un repli trimestriel de 0,3% et de 2,2% en glissement annuel. Pas d'embellie
à attendre pour la suite et les éléments préliminaires pour le second trimestre
vont dans le sens d'ne poursuite de la récession.

© www.abcbourse.com

Répondre