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INTEGRAGEN...Fin de fanion...

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mariejemamuse mariejemamuse
10/07/2015 09:05:28
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CercleFinance.com) - IntegraGen a fait état vendredi d'une forte croissance de son carnet de commandes à fin juin à l'occasion de la publication de son chiffre d'affaires du 1er semestre.

La société spécialisée dans le décryptage du génome humain indique avoir enregistré des prises de commandes en hausse de plus de 25% au premier semestre par rapport à la période comparable de 2014.

Pour IntegraGen, ce dynamisme laisse présager d'une 'solide performance' sur la seconde partie de l'année.

Dans son communiqué, l'entreprise explique que le développement des services génomiques a été soutenu par l'augmentation de l'activité de la plateforme à Gustave Roussy et par le lancement de l'activité de séquençage microbien à l'Institut Pasteur.

Le partenariat annoncé cette semaine avec l'Hôpital Européen Georges Pompidou devrait également avoir un impact au cours des prochains mois.

Sur les six premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires d'IntegraGen s'élève à 2,6 millions d'euros, en hausse de 1% par rapport au premier semestre 2014.

IntegraGen met également en avant des résultats scientifiques prometteurs avec de 'nombreuses avancées scientifiques de l'activité diagnostic en oncologie'.

  
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mariejemamuse mariejemamuse
09/06/2015 20:49:11
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Dirigée par Bernard Courtieu, l’entreprise IntegraGen est spécialisée dans le séquençage d’acides nucléiques. Fondée en 2000, la société articule son activité autour de deux axes : le service génomique pour la recherche fondamentale et clinique et l’activité de diagnostic.


Dans le cadre des services génomiques, IntegraGen a notamment noué un partenariat avec l’Institut Gustave Roussy, dans le cadre de projets de recherche clinique, pour permettre aux équipes de l’hôpital de faire de la médecine de précision en attribuant ou non certains traitements aux patients selon leurs spécificités génétiques. Ici, l’entreprise s’appuie essentiellement sur la technologie Illumina. « Nous ne sommes pas un fournisseur de technologie, précise Bernard Courtieu mais nous développons de plus en plus des outils logiciels pour permettre à nos clients de naviguer plus facilement dans les données que nous leur vendons ». En somme, IntegraGen développe l’équivalent d’un Google Chrome ou d’un Safari pour les données génétiques. « Le séquençage de l’exome génère entre 5 et 7 Go de données. Cela monte à 150 ou 200 Go pour le séquençage d’un génome complet » rappelle Bernard Courtieu.


Dans le cadre de son activité de diagnostic, IntegraGen a notamment mis au point un test génétique de diagnostic pour l’autisme. Le test ARISk aide à identifier les enfants ayant un risque plus élevé de présenter un trouble du spectre autistique (TSA) afin de poser un diagnostic le plus tôt possible. Les échantillons d’ADN sont collectés via un simple prélèvement salivaire et envoyés à un laboratoire certifié CLIA, où les marqueurs génétiques spécifiques (SNP) associés sont détectés par des outils d’analyse génomique.
  
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mariejemamuse mariejemamuse
02/06/2015 12:34:50
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CercleFinance.com) - IntegraGen annonce les résultats positifs de deux études présentées au congrès 2015 de l'American Society of Clinical Oncology (ASCO), études qui portent sur la corrélation entre l'expression du marqueur miR-31-3p et les effets du traitement au Panitumumab et Cetuximab chez les patients atteints d'un cancer du côlon métastatique.


Les résultats présentés à Chicago complètent et renforcent les données déjà publiées qui démontrent que l'expression du miR-31-3p dans la tumeur primitive est prédictive des effets du traitement par les anti-EGFR.


'Ces résultats constituent une étape importante avant la mise à disposition aux oncologues d'un test permettant de proposer des thérapeutiques personnalisées aux patients en identifiant ceux qui sont susceptibles de bénéficier du traitement par anti-EGFR', indique le professeur Pierre Laurent-Puig, co-auteur des deux études présentées.


'Cela permettra d'éviter des traitements inutiles et coûteux ainsi que les effets indésirables associés et d'orienter plus rapidement les patients vers des alternatives thérapeutiques mieux adaptées', poursuit-il.


IntegraGen dispose d'une licence exclusive mondiale sur les droits d'exploitation du biomarqueur miR-31-3p. Celle-ci a été obtenue à travers un accord de licence avec l'Université Paris Descartes, l'INSERM, le CNRS et l'AP-HP, qui sont, avec IntegraGen, copropriétaires du brevet correspondant.

  
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mariejemamuse mariejemamuse
05/05/2015 17:14:21
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Jean-Laurent Bruel
Président du directoire et gérant au sein de la société Gestys

Genfit, Cellectis, Transgene, Nicox, AB Science, Celyad, Integragen : quelques préconisations phares à avoir à l'esprit avant de se positionner sur les biotechs françaises
Publié le 05 Mai 2015

Quel regard portez-vous sur la performance des valeurs biotechs françaises ?
Les valeurs biotechs défraient la chronique depuis fin 2013. Beaucoup pensaient que cela allait être un feu de paille comme ce que l’on a connu dans le domaine de l’internet au début des années 2000. La tendance s’avère finalement plus pérenne.

Comment l’expliquez-vous ?
En premier lieu les sociétés ont énormément avancé dans la maturité de leur cycle de produit. Elles sont nombreuses à être dans des phases II, voire des phases III d’essais cliniques ou proches de la commercialisation sur le marché.
De plus, a été relevé un intérêt grandissant des investisseurs américains, qui ont une expertise solide dans le domaine, sur ces valeurs.

Certains parcours boursiers paraissent spectaculaires : sur trois ans Genfit a gagné plus de 1800 %, Innate Pharma plus de 800%, Adocia plus de 450%. Sommes-nous selon vous entrés dans une phase de complaisance ?
Je ne le pense pas, si l’on compare des sociétés qui se trouvent dans le même domaine d’activité -qui visent à traiter la même pathologie, qui développent une technologie similaire- de part et d’autre de l’Atlantique.
Il y a trois ans, la Nash n’avait pas été reconnue comme pathologie par la FDA. Quand cela s’est produit, à la fois Genfit et son concurrent direct Intercept, ont avancé dans leurs travaux. Alors que la société américaine qui a su publier des résultats assez tôt a été valorisée plus de six milliards de dollars, Genfit s’inscrit encore bien en deça de ce niveau. Pourtant, il est admis que sa molécule pourrait s’avérer équivalente voire meilleure.
De multiples autres exemples vont dans ce sens. Globalement, le rapport de valorisation entre les sociétés françaises et leurs homologues américaines va de 1 à 5, voire plus.

Comment expliquez-vous que les valorisations américaines donnent le « la » du marché ?
Les analystes américains donnent une probabilité plus importante de succès et plus précoce aux résultats de phase II et phase III d’une molécule.
Qui plus est le chiffre d’affaires évalué pour les sociétés biotech d’outre Atlantique vaut pour un seul vaste territoire américain, de 350 millions d’habitants. A l’inverse le chiffre d’affaires pour les sociétés biotechs françaises vaut pour des territoires européens morcelés.

D’aucuns déplorent que le rallye boursier n’a pas été discriminant. Toutes les valeurs biotechs auraient été tirées à la hausse quelque soit leurs fondamentaux ?
Cette affirmation me parait inexacte.
La taille du segment des biotechs françaises est relativement petite. En termes de capitalisation, elles représentent entre 7 et 8 milliards d’euros, ce qui n’est pas grand chose. Probablement 15% à 20% de la capitalisation des biotechs sont détenues entre les mains des petits porteurs, soit environ 1,5 milliard d’euros. Tout buzz fait sur certains titres est susceptible d’amener à un comportement moutonnier et à ne pas faire le tri du bon grain de l’ivraie.
Cependant on s’aperçoit qu’une certaine clairvoyance est opérée par les investisseurs. Ainsi certains dossiers qui n’ont pas délivré n’ont pas bien performé.
Cela a notamment été le cas de Transgene et de Nicox. Le cours de Transgene a ainsi perdu près de 28% depuis le début de l’année. Nicox qui a été une valeur plébiscitée par le marché pendant longtemps et qui a fortement déçu avec le Naproxcinod a gagné 2% depuis janvier et enregistre un repli de 30% sur trois ans alors que la compagnie a rebasculé son développement sur les Etats-Unis et noué un deal avec Bausch & Lomb racheté depuis par Valeant.

Si on quitte la France, un autre dossier emblématique est Thrombogenics, jadis la plus grande société biotech européenne par sa capitalisation, spécialisée dans la recherche et le développement de produits bio-thérapeutiques notamment destinés au traitement de troubles ophtalmiques. La société représentait 35% des valeurs du Next biotech en 2012. Le cours de bourse est passé de près de 50 euros à environ 5 euros. La capitalisation boursière a ainsi évolué d’1,5 milliard d’euros à moins de 200 millions d’euros avec plus de 100 millions d’euros de cash. La correction est par ailleurs de près de 20% depuis le début de l’année.
En cela nous pouvons dire qu’une discrimination est bel et bien faite.

N'êtes vous pas d'avis que les évaluations faites par certains brokers notamment français sur certaines sociétés sont exagérées ...
Il faut bien comprendre une chose : ces brokers ont un peu américanisé leur approche. Les pourcentages de réussite affectés aux phases de développement sont plus importants. Le marché potentiel a mieux été pris en compte. Ainsi, dans le cas où une affaire valorise 100 millions d’euros en bourse, alors qu’elle est en phase III, et que son marché lui donne une capacité de chiffre d’affaires de plusieurs milliards d’euros sur un blokbuster ou de plusieurs dizaines de millions d’euros sur une maladie orpheline, il est légitime de présager le fait qu’elle peut être valorisée bien davantage. Dans ce cas, il n’y a pas d’excès. C’est le jeu d’anticipation du marché.

Une inquiétude est alimentée sur l'existence d'une bulle dans la sphère biotech aux Etats-Unis dont l’éclatement pourrait générer un effet de contagion sur le segment des biotechs françaises. Qu’en pensez-vous ?
Je ne parlerai pas d’effet de contagion mais d’effet de réaction. Si les Etats-Unis s’enrhument, l’Europe ne sera pas immunisée. Cependant le Nasdaq biotech a progressé d’environ 400% depuis 2010. Parallèlement le Next Biotech a connu une variation de moins de 100%. L’indice américain s’approche des 4000 points tandis que l’indice européen est à 1880 points. Il existe donc un important matelas de sécurité qui devrait nous protéger en cas de correction majeure. Les investisseurs américains qui sont entrés ne vont pas fuir précipitamment, d’une part parce que cela les affecterait et d’autre part parce qu’ils disposent de décotes qui offrent un potentiel de hausse en prévision d’un surcroit de chiffre d’affaires. Nous ne devrions pas avoir de remise à zéro du compteur.
En 2014, le Nasdaq Biotech avait corrigé sur une certaine période d’une vingtaine de pourcents. Le repli avait également été perceptible de ce coté-ci de l’Atlantique mais dans une moindre mesure.

La thématique de la biotech étant porteuse, de plus en plus de nouvelles sociétés font leur entrée sur la cote, ce d’autant plus que le rôle des capital risqueurs s’est beaucoup amoindri dans le financement de ces sociétés, à coté des fonds d’amorçage et de la Bourse. Pour certains, des sociétés insuffisamment matures sont amenées à faire leur entrée sur le marché. Croyez-vous que nous connaissons un déclin de la qualité des sociétés qui s’introduisent en bourse ?
Il est indéniable que la configuration du marché est propice à la cotation de sociétés qui sont très en amont de leur processus de développement. Ces sociétés sont en mesure d’attraire des investisseurs qu’elles n’auraient pas pu attraire il y a deux ans.
Il est également incontestable que plus une société entre tôt dans le process de validation d’une molécule, plus le risque sous jacent est grand. Il n’y pas ou peu d’historique, pas ou peu d’investisseur de référence au capital et la probabilité que le processus aboutisse est encore très limitée.

Pour autant, des gardes fous existent. Des dossiers d’introduction très complets sont établis. De nombreux éléments d’information sont communiqués qui donnent matière à réflexion. Une bonne due diligence peut en cela être faite.
Par ailleurs, ce n’est pas parce qu’une société se trouve encore au début de son processus de développement qu’elle ne peut pas être prometteuse. Ainsi une société comme Cellectis est actuellement valorisée à environ 1 milliard d’euros, alors que ses essais cliniques de phase I n’ont pas débuté, ce en grande partie du fait du partenariat noué avec Pfizer qui a renforcé la crédibilité du business model de la société.
Enfin, l’essence même de la bourse est de financer des sociétés en pleine émergence. Il est assez naturel que des jeunes pousses y trouvent un terreau d’investissement.

Ne craignez-vous pas que la déroute de l’une d’entre elles jette l’opprobre sur l’ensemble de l’industrie ?
Je ne pense pas. Comme dans tout secteur, des entreprises peuvent plus ou moins réussir, plus ou moins faillir du fait de leur modèle économique. La déroute d’une société n’entrainera d’autant pas la déroute de tout le secteur que celui-ci a gagné en maturité.

Un autre sujet d’inquiétude réside dans le fait que les autorités ne mettent pas en place la dynamique nécessaire pour que les essais cliniques qui sont les éléments clés de la réussite des sociétés du secteur se fassent à des conditions moins laborieuses ?
Tout autant que l’avancée technologique de la molécule, la réalisation des essais cliniques est effectivement un véritable challenge qui peut laisser place à des déconvenues, conduire à des sanctions par le marché et affecter la valorisation.
Les sociétés biotech doivent ‘’designer’’ à chaque fois leur étude, déposer un dossier exhaustif auprès des autorités compétentes, mobiliser les moyens requis pour réunir les candidats à l’expérimentation. Les cohortes des patients peuvent être plus ou moins abondantes en fonction des niveaux de phase et du degré de technicité. Certaines études peuvent demander 30 personnes, d’autres 500 ou 1000.

En quoi consiste votre stratégie d’investissement ? A quels critères attachez-vous le plus d’importance ?
En premier lieu, il faut que le management soit expérimenté. Certaines sociétés peuvent ainsi apparaitre en bourse à un stade précoce dans leur processus de développement alors qu’elles ont une équipe de management constituée depuis longtemps et reconnue par le monde médical.
Un autre point important a trait à la technologie de la société : est-ce une technologie de rupture ? Ainsi en est-il de la technologie des « CARs » qui vise à traiter certaines formes de cancer, ou encore de la technologie des patchs pour guérir certaines allergies.
Il faut par ailleurs un état d’avancement des recherches régulier et favorable qui accompagne la technologie innovante.
Enfin, avoir une visibilité financière pour la société est primordial. En cela la trésorerie doit au moins représenter 12 à 18 mois d’activité pour éviter de se retrouver in extremis avec un problème de refinancement de la structure. Adocia ou Innate Pharma ont de la sorte plusieurs années de financement devant elles.

Quelles autres préconisations pourriez-vous faire ?
Il est préférable d’éviter les sociétés qui ont un risque binaire comme AB Science. La société a 13 phases III qui portent sur une seule et même molécule, le masitinib. Si cette molécule n’est pas validée, l’ensemble de l’activité d’AB Science pourrait être compromise.
Mieux vaut mettre l’accent sur des sociétés qui ont plusieurs cordes à leur arc, des molécules différentes, des technologies diverses, comme Transgene même si elle a quelque peu déçu.
Il est essentiel de ne pas rester attaché à une valeur en particulier. De nombreux petits porteurs ont tendance à tomber « amoureux » d’un titre en particulier et ne veulent plus le lâcher. Ca les amène à avoir un pourcentage important de leur patrimoine financier sur cette action. Le contrecoup peut s’avérer très lourd si les résultats ne sont pas au rendez vous ; s’il y a un retrait de la licence de commercialisation ; si la technologie s’avère trop couteuse à mettre en production, ou encore si une nouvelle technologie plus efficace développée par un concurrent arrive sur le marché.

Une diversification s’impose.
Pour ma part, la majorité des lignes en portefeuille ne représentent pas plus de 5%. Ainsi même s’il y a une forte déception sur un dossier, la probabilité est élevée que sur moyenne longue période d’autres dossiers prennent le relai et compensent les pertes subies.

Détenir plusieurs sociétés a pour inconvénient de ne pas récupérer pleinement le rallye effectué le cas échéant sur une valeur spécifique. Cependant sur la durée une certaine sécurisation du placement est assurée. L’objectif poursuivi étant d’avoir un retour sur investissement plus pérenne.

Pourriez-vous nous citer des convictions du moment ?
Une première conviction est Celyad, anciennement Cardio3 Biosciences, spécialisée dans la thérapie régénératrice du muscle cardiaque et des « CARs ».
Des résultats de phase III sont attendus pour 2016 sur sa thérapie cellulaire C-Cure. Qui plus est, la société a également acquis une entité américaine qui a une approche intéressante sur les cellules CAR. Une étude en phase I a été lancée sur l’approche développée. Il y a une volonté affichée de se coter au Nasdaq. La capitalisation n’est que de 400 millions d’euros, autrement dit relativement faible au regard de compétiteurs américains.

Une autre société que nous aimons bien est Integragen, la première plate-forme de génomique privée en France censée permettre de personnaliser le traitement des patients. Des revenus sont déjà tirés de l’activité exercée. Le seuil de rentabilité devrait être atteint en 2016. Cette société qui n’est pas encore sous le feu des projecteurs pourrait connaitre demain un parcours notable.




  
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ppseudo ppseudo
04/11/2014 19:29:31
0
si vous particeperez vous-meme, svp n'oubliez pas de rendre compte des nouvelles

cordialement
  
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mariejemamuse mariejemamuse
03/11/2014 20:50:56
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INTEGRAgen va participer pour la 1ère fois, au Salon Actionaria, Palais des Congrès, 2 place de la Porte Maillot dans le 17ème. Si tu habites dans le coin....21&22 novembre.
  
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ppseudo ppseudo
31/10/2014 20:02:43
0
31/10 captivant cours audessus 5 et audessus 20 mm jours
est-ce que vous prevoyez des nouvelles pour enflamber le titre ?
  
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argilo argilo
02/09/2014 10:08:32
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Quelques news et sortie du biseau de consolidation
obj mt 7€
  
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argilo argilo
05/08/2014 10:26:37
0
Pas de décollage, surveiller une fin de biseau avec passage d'oblique...
source L R
- La société a réussi une augmentation de capital de 4,6 millions d'euros en juin et élargi sa
base d'investisseurs en se donnant des moyens supplémentaires.
- la société a passé un accord avec Pfizer en avril dernier
- L'accélération de la croissance devrait permettre premier bénéfice opérationnel fin 2016
- le recul du titre paraît lié à des éléments techniques : prises de bénéfices, sortie
d'investisseurs historiques, suite à la l'élargissement du flottant.(portzamparc...)
  
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argilo argilo
12/06/2014 10:07:10
0
Fin de fanion - phase 1
  
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argilo argilo
02/06/2014 10:15:39
0
Passage de l'oblique baissière, fin de fanion.
  
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argilo argilo
03/04/2014 12:49:05
0
Le rebond récent de novembre 2013 a donné lieu à une phase de conso de 3 mois...
Février avec une exagération vers 10 et drapeau en cours...
  
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