le coté biomedical est ignoré pour le moment
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article sur la voix du nord interessant sur les biomems:
Lille un peu plus à la pointe dans la lutte contre le cancer
PUBLIÉ LE 20/06/2014
LAURENT DECOTTE
L
Prestigieux. En début de semaine, la signature d’une convention a officiellement lancé l’implantation d’un laboratoire appelé SMMIL-E au CHR Oscar-Lambret.
Le directeur adjoint de l’université de Tokyo, le directeur de la recherche au CNRS et le P r Éric Lartigau, du CHR. PH. CH. LEFEBVREVDN
Rien de très excitant pour le profane. Sauf si l’on écoute le médecin qui porte le projet, le Pr lillois Éric Lartigau, accessoirement classé deuxième radiothérapeute de France fin avril par Capital.fr : il n’aime pas l’emploi du terme « révolutionnaire » mais il parle d’un projet important dans la recherche contre le cancer.
Ce laboratoire, qui doit se matérialiser à l’horizon 2018 par la construction d’un bâtiment de 1000 m2, va abriter des chercheurs japonais et français. Via un partenariat avec l’université de Tokyo, les premiers vont apporter leurs connaissances – à la pointe mondiale – des BioMEMS, ces microsystèmes (issus à la base de la recherche industrielle) utilisés dans la biologie et la santé. Et travailler en collaboration avec les médecins chercheurs du pôle hospitalo-universitaire lillois.
Ces microtechnologies, comme les micropincettes en silicium, permettent des expériences sur l’ADN, du tri cellulaire, notamment des recherches sur les cellules souches. Ou encore des dispositifs visant la croissance de tissus pour la cicatrisation suite à une intervention chirurgicale.
Un vrai enjeu économique
Outre l’essentiel, la lutte contre le cancer, les enjeux sont aussi économiques, avec la perspective de créations de start-ups (par exemple de fabrication de micropincettes). Mais aussi des enjeux universitaires avec deux masters impliqués. Et ce laboratoire sera l’un des points forts de la candidature IDEX (des millions d’euros de l’État à la clef). Enfin, pour Éric Lartigau, cette recherche de pointe peut aussi aider à colmater la fuite des médecins formés à Lille, par exemple sur la Côte d’Azur.
Lille un peu plus à la pointe dans la lutte contre le cancer
PUBLIÉ LE 20/06/2014
LAURENT DECOTTE
L
Prestigieux. En début de semaine, la signature d’une convention a officiellement lancé l’implantation d’un laboratoire appelé SMMIL-E au CHR Oscar-Lambret.
Le directeur adjoint de l’université de Tokyo, le directeur de la recherche au CNRS et le P r Éric Lartigau, du CHR. PH. CH. LEFEBVREVDN
Rien de très excitant pour le profane. Sauf si l’on écoute le médecin qui porte le projet, le Pr lillois Éric Lartigau, accessoirement classé deuxième radiothérapeute de France fin avril par Capital.fr : il n’aime pas l’emploi du terme « révolutionnaire » mais il parle d’un projet important dans la recherche contre le cancer.
Ce laboratoire, qui doit se matérialiser à l’horizon 2018 par la construction d’un bâtiment de 1000 m2, va abriter des chercheurs japonais et français. Via un partenariat avec l’université de Tokyo, les premiers vont apporter leurs connaissances – à la pointe mondiale – des BioMEMS, ces microsystèmes (issus à la base de la recherche industrielle) utilisés dans la biologie et la santé. Et travailler en collaboration avec les médecins chercheurs du pôle hospitalo-universitaire lillois.
Ces microtechnologies, comme les micropincettes en silicium, permettent des expériences sur l’ADN, du tri cellulaire, notamment des recherches sur les cellules souches. Ou encore des dispositifs visant la croissance de tissus pour la cicatrisation suite à une intervention chirurgicale.
Un vrai enjeu économique
Outre l’essentiel, la lutte contre le cancer, les enjeux sont aussi économiques, avec la perspective de créations de start-ups (par exemple de fabrication de micropincettes). Mais aussi des enjeux universitaires avec deux masters impliqués. Et ce laboratoire sera l’un des points forts de la candidature IDEX (des millions d’euros de l’État à la clef). Enfin, pour Éric Lartigau, cette recherche de pointe peut aussi aider à colmater la fuite des médecins formés à Lille, par exemple sur la Côte d’Azur.
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MEMSCAP SA fournit des produits et solutions à base de micro-électro-mécaniques (MEMS) pour l'aéronautique / défense, des communications optiques, médicale et biomédicale, et les marchés informatiques / des consommateurs à travers le monde. Les MEMS sont des systèmes mécaniques microscopiques qui associent des éléments mécaniques, optiques, électromagnétiques, thermiques et fluidiques à de l'électronique des semi-conducteurs électroniques de substrat. Les solutions de capteurs de la société comprennent des capteurs de pression, capteurs de pression et des détecteurs de pression pour diverses applications, tels que les ordinateurs de données de l'air, la pression cabine, commande du moteur, altimètres, baromètres, des instruments du poste de pilotage, et les ensembles de test de données de l'air. Il offre également recouvert d'or et les transducteurs en titane à base de pression, des dômes de plastique, ligne-jeux, et leurs accessoires; et magnétiques interrupteurs / relais, ainsi que des fournitures de capteurs de pression implantables pour la surveillance de la pression et de la moelle anévrisme de l'aorte abdominale, etc En outre, la société fournit des puces MEMS optiques pour atténuateurs optiques variables dans les marchés des télécommunications optiques; conçoit et développe des micro relais pour des applications dans les industries sans fil, des télécommunications, et de test et de mesure; et fournit les multi-utilisateurs MEMS processus (oreillons) comprenant PolyMUMPs, SOIMUMPs et MetalMUMPs qui offrent aux clients un accès à la technologie des MEMS prototypage et la transition vers la production en volume. En outre, il propose des produits, y compris les plaquettes, MEMS meurt, et les dispositifs emballés au niveau de la plaquette; et petit, moyen et grand volume de services de fabrication, ainsi que des services de prototypage. La société sert également les entreprises Fortune 500, les industries de haute technologie, des instituts de recherche, des universités et d'autres. MEMSCAP SA a été fondée en 1997 et est basée à Crolles, France.
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