Carrefour: la Belgique, meilleur élève en Europe

Si je peux me permettre il y a t'il pas erreur objectif 21,00- potentiel plus de 14,37% - Cours à la date de l'analyse

Message complété le 19/12/2014 13:54:27 par son auteur.

24,524 euro

Répondre

http://www.abcbourse.com/analyses/carrefour_la_tendance_moyen_terme_reste_baissiere-4207

Message complété le 19/12/2014 13:46:48 par son auteur.

Prévision Objectif (€) 21,00 - Potentiel 24,524 - Cours à la date de l'analyse
hausse 14,37%

Répondre

C'est qui le maitre?

Répondre

Carrefour : plombé par Tesco

(Bousier.com) - L'effet sectoriel joue à plein sur Carrefour ce mardi en
Bourse de Paris. Le titre s'enfonce de 3,42% à 23,885 euros en fin
d'après-midi, pénalisé par le nouveau profit warning lancé par son concurrent
Tesco. Le distributeur britannique, en pleine tourmente depuis la mise au jour
d'une erreur comptable en septembre, a averti que son bénéfice opérationnel
annuel ne devrait pas dépasser 1,4 milliard de livres, soit environ moitié
moins que l'objectif visé avant l'éclatement du scandale comptable.

Le dossier Carrefour n'est pas le seul à pâtir de l'effet Tesco ce jour.
Sainsbury, Jeronimo Martins, WM Morrison, Delhaize, Casino ou encore Dia
enregistrent de forts replis sur leurs marchés respectifs, dans une séance
boursière il est vrai houleuse en Europe.

Répondre

Carrefour: Bryan Garnier initie à 'achat'.

(CercleFinance.com) - Bryan Garnier initie une couverture sur Carrefour à
'achat', compte tenu d'une valeur intrinsèque ('fair value') évaluée à 30
euros, saluant la nouvelle approche du géant de la grande distribution.

Le courtier souligne que le distributeur se concentre dorénavant sur des
baisses de prix permanentes qui renforcent le flux et la fidélisation,
'approche qui doit lui permettre, à terme, de réaliser pleinement son potentiel
de création de valeur'.

'Des craintes, certes légitimes (comme la déflation en France), ne justifient
pas d'occulter les leviers additionnels', estime l'intermédiaire, qui souligne
que le CEO Georges Plassat a délivré sur l'ensemble des chantiers auxquels il
s'est attelé.

'En Europe, Carrefour a rogné sur sa base de coûts et devrait bénéficier d'un
levier opérationnel important (+60 points de base de marge d'ici à 2016 par
rapport à 2013), une fois acquis le redressement commercial (en particulier en
Espagne)', affirme-t-il ainsi.

Bryan Garnier considère donc que le potentiel (+22%) reste injustement
valorisé, jugeant que la réserve de marge groupe est loin d'être épuisée et
qu'étant donné le niveau de croissance bénéficiaire, la valorisation ne doit
pas être un frein.

Par ailleurs, d'un point de vue sectoriel, dans un marché européen marqué par
la polarisation de l'offre, le broker accorde une prime aux distributeurs qui,
à l'instar de Carrefour et contrairement à Tesco, sont rompus à la concurrence
des indépendants et discounters.

Répondre

Carrefour: la Belgique, meilleur élève en Europe

Pour le deuxième trimestre de cette année, les ventes de l'enseigne française
en Belgique affichent une progression de 3,8%, la plus forte progression des
pays européens où le groupe est présent, y compris la France (+2,1%).

Les ventes en comparable de l'enseigne Carrefour en Belgique affichent une
progression de 3,8% pour le deuxième trimestre de cette année contre une
croissance de 2,1% en France et 3,9% pour l'ensemble du groupe. Pour le
premier semestre 2014, le chiffre d'affaires en Belgique progresse de 2,7%
contre 1,9% en France et 3,3% pour le groupe.

Le groupe français de grande distribution a dégagé un chiffre d'affaires
organique ( à magasins comparables plus ouvertures nettes sur les douze
derniers mois) de 20,51 milliards d'euros, en progression de 0,3% (+4,9% en
organique) , tiré par les bons résultats de la France et de l'Europe alors que
les effets de change continuent de peser sur les pays émergents.

Ce chiffre est légèrement supérieur au consensus médian des analystes, qui
tablait sur des ventes à 20,38 milliards d'euros. Sur le semestre, le groupe
enregistre un chiffre d'affaires de 40,3 milliards d'euros, en baisse de 1,7% en
publié (+4,3% en organique).

La performance du deuxième trimestre a été impactée négativement par des
effets de changes (-4,9%) et une baisse des prix de l'essence (-1%). Elle a en
revanche bénéficié d'un effet calendaire positif de 1,2% du fait du décalage
des fêtes de Pâques. En organique, c'est-à-dire retraité de ces effets, le
groupe réalise une croissance de 4,9% sur le trimestre.

Selon le directeur financier du groupe, Pierre-Jean Sivignon, qui s'exprimait
lors d'une conférence avec les agences, Carrefour a réalisé une "belle
performance" trimestrielle et cette "forte progression est d'autant plus
satisfaisante qu'elle a été réalisée dans un contexte de moindre inflation
sur plusieurs de nos marchés", particulièrement en France, où les acteurs de
la grande distribution se livrent depuis près de deux ans, une bataille
acharnée sur les prix.

Fort de ces résultats, il a une nouvelle fois jugé que le consensus médian
anticipé par les analystes sur le résultat opérationnel courant annuel du
groupe, situé à 2,38 milliards d'euros, était "raisonnable".

Les ventes du groupe au deuxième trimestre, en progression notable par rapport
au premier trimestre (ventes à -5,2% en publié, et +3,7% en organique), ont
été en grande partie alimentées par les bonnes performances de la France,
principal marché du groupe.

Autre fait notable: les performances du groupe dans le reste de l'Europe, qui
restaient négatives jusque-là, repassent dans le vert (+1,1%).
(c) Tijd Realtime

Répondre