Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Message complété le 12/04/2017 18:32:09 par son auteur.
Marine Le Pen ironise dans un entretien à paraître mercredi sur la stratégie électorale de François Fillon, qu'elle juge inerte et "congelé" depuis qu'il a décroché l'investiture présidentielle de la droite et du centre.
"Depuis sa victoire, Fillon est tombé dans un trou, il est congelé, il ne bouge plus", raille la présidente du Front national dans le mensuel Causeur.
La candidate d'extrême droite dépeint l'ex-Premier ministre de Nicolas Sarkozy comme un éternel second, qui mènerait une campagne similaire à celle perdue en 1995 par Edouard Balladur, pourtant donné favori pendant plusieurs mois.
"Toute sa vie, Fillon s'est caché derrière quelqu'un. Etre premier réclame des qualités dont ne dispose pas forcément un deuxième", juge-t-elle.
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Message complété le 12/04/2017 16:07:11 par son auteur.
... Je te laisse à tes chimères électorales, j'ai pas le goût. Je vais aller bêcher mon jardin, ça sera plus enrichissant...
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Message complété le 12/04/2017 15:20:07 par son auteur.
Gadin,
On peut sortir aussi toutes les malversations et autres depuis 1981(Mitterand ... hein!)et autres petits 'suicides' de la gauche socialiste et morale: Jean germain,Yves claudey,Claude Massoure, Pierre Beregovoy,
Message complété le 12/04/2017 15:24:36 par son auteur.
J'ai oublie Yves Laurent et.... Francois de Grossouvre!!!
L'histoire socialiste est jonchee de cadavres. Alors la morale a 2 balles, ca suffit
Message complété le 12/04/2017 15:41:30 par son auteur.
Je rajoute puisque c'est d'actualites que Bérégovoy ne fut à aucun moment invité dans la maison de campagne de Mitterand , dans les Landes. Où pourtant Mitterrand avait reçu René Bousquet, ancien chef de la police de Vichy, celui dont il avait dit qu’il « avait rendu des services ». À qui ? Aux nazis ? C’est en effet Bousquet qui, à l’occasion de la Rafle du Vel’ d’Hiv en juillet 1942, livra aux Allemands plus de quatre mille enfants juifs que les nazis ne réclamaient même pas. Tous gazés à Auschwitz, pas un seul n’est revenu, voilà le genre de « service » que rendait Bousquet.
Je rajoutes egalement sur le suicide de François de Grossouvre. Cet homme était un ami de Mitterrand qui lui a servi de prête-nom, et il fut le très théorique locataire de l’appartement du Quai Branly, d’ailleurs propriété de l’État, où le président logeait sa maîtresse Anne Pingeot et leur fille adultérine Mazarine. Ce service très privé valait bien que Grossouvre eût un bureau à l’Élysée, une sinécure (responsable des chasses présidentielles), et un salaire, évidemment. Puis, pour une raison qu’on n’a jamais connue, Mitterrand se mit à lui battre froid, ne le reçut plus et cessa de lui parler, et Grossouvre se suicida de désespoir. Dans l’Histoire de la République, ce fut le seul suicide commis dans le palais présidentiel. Mitterrand n’eut pas un mot de regret.
Je rajoutes enfin le suicide (totalement meconnu)d’un capitaine de gendarmerie, Pierre-Yves Guézou, un lampiste de l’affaire des écoutes téléphoniques de l’Élysée, responsable de rien et qui paya pour tous les autres. Mitterrand n’eut pas plus un mot de regret.
Répondre
|