Interview Jean Eric Petit du 07 mars 2018
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pardon 6400 MWh par mois .
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il dit
" CHO Power a déjà construit une usine de gazéification avancée à Morcenx, en France, qui convertit chaque année 55 000 tonnes de déchets de bois, de biomasse et de déchets industriels et produit 11MW ."
certes une usine a ete construite mais combien a t'elle converti de dechets combustibles depuis son demmarrage en 2014 .
Combien a t'elle produit de MWh en brut et en net ?
A t'elle depasse la puissance produite brute de 7.5MW atteinte en pointe en juin 2017 .
Pourquoi les 4 moteurs a gaz ont ils tourne 22 jours en 2017 .
Depuis debut 2018 , l'usine pour laquelle le client a accorde la reception definitive en juin dernier a t'elle tourne 82 % du temps et a t'elle produit en brut 6400 MWh ?
pourquoi puisque tout marche d'apres mr petit graf a accepte en plus de l'abandon de 20 ME de pret sur cho morcenx de se separer de 65% de la societe qui allait enfin lui rapporter ?
" CHO Power a déjà construit une usine de gazéification avancée à Morcenx, en France, qui convertit chaque année 55 000 tonnes de déchets de bois, de biomasse et de déchets industriels et produit 11MW ."
certes une usine a ete construite mais combien a t'elle converti de dechets combustibles depuis son demmarrage en 2014 .
Combien a t'elle produit de MWh en brut et en net ?
A t'elle depasse la puissance produite brute de 7.5MW atteinte en pointe en juin 2017 .
Pourquoi les 4 moteurs a gaz ont ils tourne 22 jours en 2017 .
Depuis debut 2018 , l'usine pour laquelle le client a accorde la reception definitive en juin dernier a t'elle tourne 82 % du temps et a t'elle produit en brut 6400 MWh ?
pourquoi puisque tout marche d'apres mr petit graf a accepte en plus de l'abandon de 20 ME de pret sur cho morcenx de se separer de 65% de la societe qui allait enfin lui rapporter ?
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Traduction :
La décharge est à la fois laide et polluante. Mais une nouvelle génération de technologies promet d'en faire une chose du passé, transformant une énorme partie des matériaux de décharge en gaz propre.C'est grâce à un processus appelé gazéification, qui consiste à transformer des matériaux à base de carbone en gaz en les chauffant à haute température sans les brûler. Le gaz peut être stocké jusqu'à ce qu'il soit nécessaire pour la production d'électricité.
Selon ses concepteurs, la gazéification avancée peut être alimentée par le plastique, la biomasse, les textiles - à peu près n'importe quoi sauf le métal et les gravats. De l'autre côté vient le gaz de synthèse - un gaz propre, facilement combustible constitué de monoxyde de carbone et d'hydrogène.
Les bases de la technologie sont anciennes. Au XIXe siècle, des usines de gazéification existaient dans de nombreuses grandes villes d'Europe, transformant le charbon en gaz de houille pour le chauffage et l'éclairage.
La gazéification a diminué après la découverte de réserves de gaz naturel au début du siècle dernier. Puis, au cours des 20 dernières années, il y a eu une petite renaissance, car les usines de gazéification ont vu le jour pour transformer les déchets de bois.
Dans une nouvelle implémentation avancée, cependant, une gamme beaucoup plus large de matériaux peut être traitée, et le gaz de sortie est beaucoup plus propre. "La gazéification gagne clairement en popularité, mais nous l'avons encore approfondie", a déclaré Jean-Eric Petit, de la société française CHO Power, basée à Bordeaux.
Nous pensons que nous sommes les premiers à le craquer.
Jean-Eric Petit, CHO Power, France
Gazéification
La gazéification implique le chauffage sans combustion. À des températures supérieures à 700 ° C, beaucoup de matériaux à base d'hydrocarbures se décomposent en un gaz de monoxyde de carbone et d'hydrogène - gaz de synthèse - qui peut être utilisé comme combustible.
Pour des matériaux tels que le bois, c'est relativement simple. Essayez-le avec d'autres hydrocarbures, et en particulier avec des déchets industriels difficiles à recycler, et la réaction a tendance à générer des polluants, tels que le goudron.
Mais le goudron lui-même n'est qu'un hydrocarbure plus complexe. C'est pourquoi Petit et ses collègues ont mis au point un procédé à plus haute température, à environ 1200 ° C, dans lequel même le goudron est brisé.
Le résultat est un gaz de synthèse qui, sans tenir compte des autres processus thermiques, ne crée pas de polluants dangereux. En fait, il est suffisamment puissant pour être injecté directement dans des moteurs à gaz à haut rendement, produisant de l'électricité avec deux fois plus d'efficacité que les turbines à vapeur utilisées avec la gazéification conventionnelle, explique M. Petit.
CHO Power a déjà construit une usine de gazéification avancée à Morcenx, en France, qui convertit chaque année 55 000 tonnes de déchets de bois, de biomasse et de déchets industriels en 11 mégawatts d'électricité.
En décembre, l'UE a annoncé qu'elle allait recevoir un prêt de 30 millions d'euros de la Banque européenne d'investissement pour la construction d'une autre usine dans la région française de Thouarsais.
L'entreprise n'est pas la première à tenter une gazéification avancée à l'échelle commerciale. Mais, dit Petit: «Nous pensons que nous sommes les premiers à le casser.
La décharge est à la fois laide et polluante. Mais une nouvelle génération de technologies promet d'en faire une chose du passé, transformant une énorme partie des matériaux de décharge en gaz propre.C'est grâce à un processus appelé gazéification, qui consiste à transformer des matériaux à base de carbone en gaz en les chauffant à haute température sans les brûler. Le gaz peut être stocké jusqu'à ce qu'il soit nécessaire pour la production d'électricité.
Selon ses concepteurs, la gazéification avancée peut être alimentée par le plastique, la biomasse, les textiles - à peu près n'importe quoi sauf le métal et les gravats. De l'autre côté vient le gaz de synthèse - un gaz propre, facilement combustible constitué de monoxyde de carbone et d'hydrogène.
Les bases de la technologie sont anciennes. Au XIXe siècle, des usines de gazéification existaient dans de nombreuses grandes villes d'Europe, transformant le charbon en gaz de houille pour le chauffage et l'éclairage.
La gazéification a diminué après la découverte de réserves de gaz naturel au début du siècle dernier. Puis, au cours des 20 dernières années, il y a eu une petite renaissance, car les usines de gazéification ont vu le jour pour transformer les déchets de bois.
Dans une nouvelle implémentation avancée, cependant, une gamme beaucoup plus large de matériaux peut être traitée, et le gaz de sortie est beaucoup plus propre. "La gazéification gagne clairement en popularité, mais nous l'avons encore approfondie", a déclaré Jean-Eric Petit, de la société française CHO Power, basée à Bordeaux.
Nous pensons que nous sommes les premiers à le craquer.
Jean-Eric Petit, CHO Power, France
Gazéification
La gazéification implique le chauffage sans combustion. À des températures supérieures à 700 ° C, beaucoup de matériaux à base d'hydrocarbures se décomposent en un gaz de monoxyde de carbone et d'hydrogène - gaz de synthèse - qui peut être utilisé comme combustible.
Pour des matériaux tels que le bois, c'est relativement simple. Essayez-le avec d'autres hydrocarbures, et en particulier avec des déchets industriels difficiles à recycler, et la réaction a tendance à générer des polluants, tels que le goudron.
Mais le goudron lui-même n'est qu'un hydrocarbure plus complexe. C'est pourquoi Petit et ses collègues ont mis au point un procédé à plus haute température, à environ 1200 ° C, dans lequel même le goudron est brisé.
Le résultat est un gaz de synthèse qui, sans tenir compte des autres processus thermiques, ne crée pas de polluants dangereux. En fait, il est suffisamment puissant pour être injecté directement dans des moteurs à gaz à haut rendement, produisant de l'électricité avec deux fois plus d'efficacité que les turbines à vapeur utilisées avec la gazéification conventionnelle, explique M. Petit.
CHO Power a déjà construit une usine de gazéification avancée à Morcenx, en France, qui convertit chaque année 55 000 tonnes de déchets de bois, de biomasse et de déchets industriels en 11 mégawatts d'électricité.
En décembre, l'UE a annoncé qu'elle allait recevoir un prêt de 30 millions d'euros de la Banque européenne d'investissement pour la construction d'une autre usine dans la région française de Thouarsais.
L'entreprise n'est pas la première à tenter une gazéification avancée à l'échelle commerciale. Mais, dit Petit: «Nous pensons que nous sommes les premiers à le casser.
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