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La France et les Pays-Bas prennent l'avenir d'Air France-KLM en main

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lem34 lem34
01/03/2019 17:25:08
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Le compte n’y est pas il manque 10%

  
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sfumato sfumato
01/03/2019 17:17:35
0

+ 5.07% à l'instant, dans deux séances de bourse on aura rattrapé le cours d'avant l'arrivée de l'état néerlandais !

  
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lem34 lem34
01/03/2019 16:45:28
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A quand l’entree De KLM dans le capital d’adp Pour faire baisser indirectement ces coûts d’aeroports?


Je vois la tête de Bruno!

  
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JD1976 JD1976
01/03/2019 16:12:48
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La maquilleuse n'a pas bien fait son job.

  
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sergiobress sergiobress
01/03/2019 16:10:12
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Il est un peu pâlichon notre Lemaire, aurait-il reçu un peu de farine ?

  
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JD1976 JD1976
01/03/2019 16:02:36
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L’entrée surprise de l’État néerlandais au capital du groupe a été mal accueillie. En réaction, le titre a perdu plus de 10% le 27 février à la Bourse de Paris. Toutefois, la valorisation du groupe demeure attractive. Faut-il se laisser tenter ?

Mouvement d’ampleur au tour de table du transporteur aérien.

En l’espace d’à peine une semaine, les Pays-Bas ont acquis 12,7% du capital d’Air France-KLM et envisagent à terme de porter leur participation au niveau de l’État français, qui est actionnaire à hauteur de 14,3% mais contrôle 22,7% des droits de vote.

En toute logique, le gouvernement néerlandais devrait demander un siège au conseil d’administration du groupe piloté par Benjamin Smith. En mettant sur la table 600 à 700 millions d’euros, il entend protéger les intérêts de KLM – troisième employeur du secteur privé aux Pays-Bas – dont il possède 6% du capital depuis la fusion en 2004.

Rappelons que l’aéroport de Schiphol, à Amsterdam, est l’une des deux grandes plateformes de correspondance d’Air France-KLM, aux côtés de Roissy-CDG à Paris. Avec un chiffre d’affaires de 11 milliards d’euros l’an passé, KLM reste, par ailleurs, le principal contributeur aux bénéfices du groupe, avec 80% des 1,3 milliard d’euros de résultat d’exploitation dégagé en 2018 et une marge de 9,8%

Un niveau près de 8 points supérieur à celui d’Air France, qui a totalisé 16 milliards d’euros de revenus. L’an dernier, la compagnie nationale hexagonale avait, il est vrai, été plombée par d’importantes grèves des salariés.

Cette irruption surprise au capital s’est faite sans que l’État hollandais informe très en amont la direction du groupe et le gouvernement français, qui a fait part de sa stupéfaction.

Elle intervient juste après la décision de renouveler le mandat de Pieter Elbers en tant que président du directoire de KLM et sa nomination comme directeur général adjoint d’Air France-KLM suite à la mobilisation en sa faveur d’une grande partie du personnel de la compagnie nationale batave.

En échange, le directeur général du transporteur franco-néerlandais, Benjamin Smith, a obtenu de pouvoir être admis au conseil de surveillance de KLM lors de sa prochaine assemblée générale en avril prochain.

En Bourse, cette annonce a entraîné un décrochage du titre de plus de 10% le 27 février dernier. Cette chute succède cependant à une envolée de 24% en seulement une semaine, a priori soutenue par les achats de titres réalisés par les Pays-Bas.

Les investisseurs semblent peu favorables à l’arrivée d’un second actionnaire public de référence. De fait, le risque d’interférences politiques s’accroît pour le groupe, qui évolue dans un secteur ultra-concurrentiel.

Au-delà, cela renforce le caractère spéculatif de la valeur, qui reste réservée aux lecteurs qui ne craignent pas les trous d’air boursiers. Le pari sur le redressement des performances d’Air France-KLM, à la valorisation bon marché, paraît encore d’actualité.

Alors ? Acheter l'action Air France ???

  
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lem34 lem34
01/03/2019 15:23:49
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Dis papa c’est ça l’Europe ?

Le chômage les coups en douce entre copains européens on a hâte d’un vrai changement avec des hommes de caractère. Tout le monde quitte la politique pour fuir leurs erreurs et incompétences

Que va t il se passer aux élections alors que notre grand ventilateur se balade devant son incapacité à régler le mouvements des gilets jaunes?

Et le carburant augmente de plus belle vaut il pas réglementer les prix le libéralisme bête a ces limites comme pour l’alimentation ou les chaînes s’en mettent plein les poches pendant que des commerces meurent et aussi des hommes Côme dans l’agriculture.

Ns devons faire comme eux en spéculant pour survivre de nos trop petites retraites

  
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lem34 lem34
01/03/2019 15:10:22
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Il doit être habitué maintenant ,c’est pro des échecs :Ford,alsthom Siemens,ford ,ascoval etc et tout cela en 19 mois!



  
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dematons dematons
01/03/2019 14:54:16
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Il suffit de regarder la tête de LeMaire pour comprendre qu'il s'est fait rouler dans la farine.
Bien joués les Néerlandais qui ont montré le ridicule des Français étatistes et politiques à vouloir diriger une entreprise privée où ils sont minoritaires et ... incompétents.
  
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dematons dematons
01/03/2019 14:54:16
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Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire (d) et son homologue Wopke Hoekstra (g) lors d'une conférence de presse à Paris, le 1er mars 2019 (AFP/ERIC PIERMONT)

La France et les Pays Bas ont décidé de prendre en main l'avenir d'Air France-KLM et mis en place vendredi un groupe de travail sur l'avenir de l'entreprise, après les fortes tensions déclenchées par la prise de participation surprise des Néerlandais.

"Je suis conscient que notre prise de participation n'est pas très orthodoxe mais elle part de bonnes intentions", a assuré le ministre néerlandais Wopke Hoekstra, à l'issue d'une rencontre d'une heure trente avec son homologue Bruno Le Maire.

L'irruption mardi de l'Etat néerlandais au sein du capital d'Air France-KLM avec une prise de participation de 14%, proche de celle de l'Etat français (14,3%) avait fait l'effet d'une douche froide à Paris.

Bercy avait évoqué une décision "inamicale" et des méthodes de "trader". Le président Emmanuel Macron était monté au créneau pour demander aux Pays-Bas de "clarifier leurs intentions".

Vendredi la tension semblait être retombée, les deux ministres assurant suivre le même objectif, celui d'améliorer la compétitivité du groupe et de consolider son développement, dans un "environnement complexe" et dans un "marché très concurrentiel".

"La France et les Pays Bas sont des partenaires européens et des amis, nous voulons aujourd'hui ouvrir une nouvelle page de l'histoire d'Air France-KLM", a expliqué M. Le Maire.

"Nous regardons vers l'avenir", a expliqué pour sa part M. Hoekstra affirmant la volonté des Pays Bas de "bâtir une meilleure compagnie et de s'assurer que les intérêts des deux pays soient pris en compte".

Pour solder les incompréhensions entre les deux pays, les deux ministres ont convenu de mettre en place un groupe de travail présidé par Martin Vial, le directeur général de l'Agence de participations de l'Etat (PAE) et son homologue Chritiaan Rebergen, trésorier général du ministère des Finances néerlandais.


Actionnariat d'Air France-KLM (AFP/Jean Michel CORNU)

Ce groupe de travail, qui doit rendre ses conclusions fin juin, "visera à renforcer la coopération entre la France et les Pays-Bas avec comme objectifs la bonne gouvernance du groupe Air France-KLM, son développement, sa croissance et l’amélioration des résultats", selon un communiqué conjoint des deux ministres.

- "Règles de bonne conduite" -

Plusieurs points seront examinés, selon ce texte, dont les "participations des deux Etats" dans Air France-KLM et "la structure de capital de KLM et d’Air France", "les règles de gouvernance et le respect par les deux Etats de règles de bonne conduite", "la composition du Conseil d’administration" et "la défense des intérêts" des hubs de Paris–Charles de Gaulle et d'Amsterdam-Schiphol.

Au cours de ce processus, seront également abordés les questions sur les "visions respectives sur la stratégie de long terme d'Air France-KLM". Les accords du 16 octobre 2003, qui avaient scellé le rapprochement des deux compagnies, figurent également parmi les points abordés.

Le résultat final "devra être équitable et équilibré pour les deux parties", selon le communiqué.

Les Néerlandais avaient expliqué leur raid boursier par leurs doutes sur la stratégie du groupe.

"La position de KLM s'est sans cesse érodée ces derniers mois", avait déploré M. Hoekstra.

L'une des craintes de La Haye est aussi qu'à terme, une grande partie des vols de KLM ne soit transférée à Paris, ce qui ferait perdre à l'aéroport de Schiphol sa fonction de hub.

Le blitz boursier est intervenu au terme d'un bras de fer autour de la reconduction du mandat du patron de KLM Pieter Elbers, finalement confirmée le 19 février.

Les tensions semblaient dissipées: M. Elbers a même décroché le poste de directeur général adjoint au côté du Canadien Benjamin Smith, arrivé en septembre à la tête du groupe et auquel les deux ministres ont "réaffirmé leur soutien" vendredi.

Fort du succès de la signature d'accords salariaux chez Air France, M. Smith avait réaffirmé récemment son intention de faire d'Air France-KLM un "leader en Europe".

Même si Air France pèse plus lourd que KLM dans l'alliance, en termes de chiffre d'affaires (16 milliards d'euros en 2018 contre 11 pour le néerlandais), KLM et ses pilotes ont toujours eu la sensation, depuis la fusion de 2004, de contribuer davantage à la rentabilité que leurs homologues français. La marge d'exploitation de KLM était de 9,8% en 2018 et de seulement 1,7% pour Air France.

© 2019 AFP

  
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