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BARONTI BARONTI
11/11/2019 20:54:28
0

Concernant le vent ,méfie toi de13 vents....;))

  
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BARONTI BARONTI
11/11/2019 20:52:53
0

Oui l ai vu avec bourdin et il ne le pousse pas dans la faute....non

Juste un bel échange.

Ok jdarry bonne soirée

  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 20:49:08
0

Lire biogen et non bien...

Oups

  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 20:48:11
0

Je ne porte pas de jugement sur ses compétences mais sur son attitude...défaut de suivi des bpc occasionnant des années de retard ... ingratitude envers AB dans la mesure où il propose une approche d alz similaire à celle d ab sans la citer, mercantilisme promotionnel concomitant avec annonces bien et pas de déclaration d interet malgré des pratiques contestables....voir sur internet une interview d une journaliste digne de ce nom qui le pousse dans ses retranchements sans servir la soupe..

Pour le reste ..bon vent a son aventure medicale


  
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BARONTI BARONTI
11/11/2019 19:31:30
0

Oui je suis d accord pour son bouquin , mais je pense quand qu il faut respecter ce que je connais pas et le professeur Dubois est une référence pour alzheimer comme HERMINE dans un autre domaine...


  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 18:59:25
0

Je suis entre sur AB car touchė egalement via un tres proche, mais depuis trop longtemps pour etre considere leger a modere, susceptible d'etre aide par le masitinib.

Je me souviens surtout de l'episode des bpc et de la colere que j'ai eprouve alors qu'un scientifique était charge d'en certifier l'usage..

Et puis toutes ces interviews interviennent au moment du lancement de son bouquin.


Enfin, en rêvant, je me dis que celui qui trouvera un medoc ralentissant alz et la sla, maladies mortelles sans traitement meritera le Nobel


On le saura bientôt.

  
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BARONTI BARONTI
11/11/2019 18:43:50
0

Moi aussi je comprend, mais ma connaissance scientifique ne me permet pas de juger ce côté.....

Donc pour les malades je souhaite une solution et comme beaucoup touché personnellement dans ma famille.....

et le professeur Dubois aussi joue sa réputation....

Imagine tu as raison, cela peut aller loin....??

  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 18:28:54
0

Je comprends, mais doute au plus haut point de l'objectivité de Dubois, qui encense biogen dont il est partie prenante..et dénigré (par son silence) le masitinib dont il etait charge chez AB de certifier les bpc et qui a probablement ete ecarte ensuite..

Ajoutons a cela l'habituel conflit entre mandarins...surtout qu'ici il y en a un , reçu membre de l académie de medecin qui est susceptible de gagner....ne peut on pas imaginer un potentiel Nobel pour avoir decouvert un moyen de lutter contre la sla et alz ?

  
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BARONTI BARONTI
11/11/2019 18:15:40
0

Jdarry il faut préciser que les 30 patients de l etude Biogen c est la partie du professeur Dubois....

Je pense que chez ab science l etude ne se fait pas a la même adresse et tous les patients habitent le même quartier.....:))

  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 16:55:19
2

Oui bug informatique...regrettable

  
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BARONTI BARONTI
11/11/2019 16:50:18
0

Tu bégaie jdarry .....??

  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 16:42:35
0

Dubois a eu 30 patients dans étude BIOGEN.

En revanche, il y a eu 2 études phase 3 biogen en même temps..

On ne parle que de celle qui a "réussi" et jamais de l'autre qui est en échec complet..

Dubois est un "pas transparent" qui fait la promotion de son livre..

Il retournera sa veste très rapidement quand AB sera en succès..


De plus Dubois était chargé de vérifier les bonnes pratiques bpc chez AB avec le succès qui on connait avec l ANSM

Enfin il vante une approche alz via la même entrée sans une seule fois citer AB

Au final, non actionnaire d ab contrairement au professeur Hermine membre de l Academie...il semble avoir été viré du staff

  
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Jdarry Jdarry
11/11/2019 16:41:58
0

Dubois a eu 30 patients dans étude BIOGEN.

En revanche, il y a eu 2 études phase 3 biogen en même temps..

On ne parle que de celle qui a "réussi" et jamais de l'autre qui est en échec complet..

Dubois est un "pas transparent" qui fait la promotion de son livre..

Il retournera sa veste très rapidement quand AB sera en succès..


De plus Dubois était chargé de vérifier les bonnes pratiques bpc chez AB avec le succès qui on connait avec l ANSM

Enfin il vante une approche alz via la même entrée sans une seule fois citer AB

Au final, non actionnaire d ab contrairement au professeur Hermine membre de l Academie...il semble avoir été viré du staff

  
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BARONTI BARONTI
11/11/2019 13:12:53
0

Alzheimer : le médicament qui change la donneParis Match | Publié le 11/11/2019 à 05h00


Interview Catherine Schwaab


Alzheimer : le médicament qui change la donne DR


Le Pr Bruno Dubois* est une sommité qui fait référence en matière de recherche clinique. Sa force est d'être à la fois chercheur et clinicien. Il connaît les aspects biologiques de la maladie et observe en direct ses effets et ceux des traitements sur les patients. C'est une rareté précieuse. Avec ses équipes, il a participé aux études sur l'aducanumab.


Paris Match. Ce traitement, testé par les laboratoires Biogen, vous semble-t-il prometteur ?

Pr Bruno Dubois. Très. Il a prouvé son efficacité sur des études préliminaires à la fois en faisant baisser les lésions dans le cerveau et en améliorant les symptômes cognitifs. Jusqu'alors, on avait testé des médicaments efficaces sur les lésions mais qui n'entraînaient par d'amélioration des symptômes. Cela interrogeait notre connaissance de la maladie d'Alzheimer. Avec l'aducanumab, on a l'impression, si je puis dire, qu'on tient le bon bout.


A la Salpêtrière, vous avez participé aux études sur cette thérapie.

Oui, avec 33 de nos patients, nous sommes le centre le plus impliqué dans cette expérimentation.


Cette étude a connu des rebondissements inattendus...

En effet, au milieu de l'étude, le laboratoire a voulu effectuer une "analyse de futilité", c'est-à-dire demander à un organisme indépendant d'observer les résultats entre le groupe placebo et le groupe traité. Ceux-ci étaient nuls. Vu l'investissement financier, le laboratoire était à deux doigts de laisser tomber. Entre-temps, on a ajouté 300 patients et, trois mois plus tard, coup de théâtre, on a découvert une amélioration objective des lésions, des symptômes cognitifs et de l'autonomie du patient ! C'est pour cela que je n'arrête pas de marteler qu'il faut toujours aller au bout de l'expérience, que le temps scientifique n'est pas celui des actionnaires. Il faut donner sa chance au produit !


On observe une stabilisation de la maladie ; en clair, les pertes de mémoire sont freinées


Comment fonctionne l'aducanumab ?

Pour simplifier, c'est un anticorps qu'on a prélevé dans du sang de personnes âgées qui n'ont pas développé la maladie. Il reconnaît les fameuses plaques amyloïdes qui signent Alzheimer. On l'injecte, il traverse la barrière hémato-encéphalique pour atteindre le cerveau et dissoudre la protéine bêta-amyloïde. Au bout d'un an environ, on observe une stabilisation de la maladie ; en clair, les pertes de mémoire sont freinées.


Depuis 2007, vous travaillez avec vos équipes sur la détection précoce de la maladie, dix, vingt ans avant les symptômes typiques. C'est la clé d'un traitement possible ?

Oui, tout comme on n'attend pas que le malade parkinsonien soit grabataire pour le traiter, on ne doit pas attendre la démence pour traiter Alzheimer. Mis à part la présence de plaques amyloïdes repérables à l'IRM (et qui ne signifient par forcément qu'on va développer la maladie), il existe aussi des biomarqueurs sanguins détectables facilement.


Biogen devrait obtenir son autorisation de mise sur le marché. Alors pourquoi ne pas administrer l'aducanumab en vaccin à tous les sexagénaires pour prévenir la maladie ?

Pas de précipitation. C'est une première étape. Il y a encore des incertitudes à explorer. Et le traitement coûte cher. S'il faut envisager un remboursement, les Etats sont prudents. De plus, l'aducanumab a des effets secondaires. Il a le défaut de ses qualités : dans les zones où il résorbe les plaques amyloïdes (qui seront évacuées par le flux sanguin), il produit des œdèmes.


Vous êtes en train d'entamer une étude à grande échelle en France intitulée "Santé-cerveau". Pourquoi ?

Justement pour repérer les facteurs qui peuvent déclencher la maladie d'Alzheimer. C'est une étude large, sur le long terme, qui va être assez coûteuse, dans les 3 millions d'euros, mais qui est fondamentale pour cerner les terrains à risque.


Cela semble en effet indispensable. Avez-vous son financement ?

Pas vraiment. Nous travaillons avec l'Agence régionale de santé (ARS), mais l'Etat finance mal les recherches cliniques. Il aide la recherche fondamentale avec des modèles cellulaires ou animaux. Nous avons ici besoin d'équipes dédiées, de soignants, de chercheurs, de spécialistes des datas installés directement à l'hôpital pour accueillir les cohortes de patients qui participeront à l'étude. Et là, on fera vraiment un grand pas thérapeutique avec l'aducanumab.

* Chef de l'unité de neurologie et directeur de l'Institut de la mémoire et de la maladie d'Alzheimer à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, il publie « Alzheimer.

La vérité sur la maladie du siècle

  
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