Qu'on se le dise !!!! nous descendons du singe !!!!!

le titre est ancien sur ce forum et il est faux , on à un ancetre commun avec les grands singes , avec 1 ere divergence hominidés et chimpanzés d'un coté , gorille et orang outang de l'autre puis plus recemment divergence hominides chimpanzés .

Par rapport au titre.

L’accepter, c’est courir le risque de s’attirer le courroux de pas mal de scientifiques : anthropologues , préhistoriens, voire même géologues,…..

A ce jour, rien n’accrédite cette affirmation. Le fameux « maillon manquant » est toujours manquant !
Et ce maillon , c’est justement cet éventuel et hypothétique point commun entre l’espèce simiesque (les singes) et l’espèce anthropoïde (l'espèce humaine).

Et ce point remonte à environ 15 millions d’années (c’est personnellement ma position, bien que notre plus vieil ancêtre accepté remonte à 7.5 millions d'années. Entre 15 et 7.5 millions d'années, il y a des points communs et des points divergeants).

Autant dire que la réponse n’est pas à portée de main, et qu’on doit s’attendre à bien des discussions, attaques, polémiques,….avant qu’une thèse soit plus ou moins acceptée. Avant remise en cause.

Les « documents » (au sens du chercheur) étant très rares, et très difficiles à interpréter, du fait justement, de la rareté et donc du manque de « documents » de référence.

Le milieu scientifique n’est pas plus tendre que le milieu boursier. Bien au contraire !

A titre d'exemples :

1 ) une structure (dans le Tarn et Garonne) faite de main "d'homme" par une certaine "civilisation" , a été datée de (+ ou - ) 175 années (source 100 % sûre pour moi , qui étais au coeur de la question). Or, cette "civilisation" était sensée n'opérer que vers les 50 000 années.

2 ) La découverte de peintures pariétales, en Espagne, ont fait l'objet d'attaques féroces. L'inventeur ayant été accusé de faux . Avant que des analyses chimiques et scientifiques ne les datent de façon précise. Ce qui a valu un "mea culpa" public du principal accusateur.

Le milieu scientifique n’est pas plus tendre que le milieu boursier. Bien au contraire !

Message complété le 10/04/2021 14:22:29 par son auteur.

a été datée de (+ ou - ) 175 000 années....

Attention au biais d'étude.

Ceux qui ont pas ou peu de partenaires ne vont pas se raser pour rien. Logique.

Et en plus vu qu'a priori on est toujours habillé en public, je ne vois pas comment les poils peuvent avoir une influence sur l'attraction de nouveau partenaires, sauf poils de barbe ou du torse.

Si je voulais faire une étude, je ferais plutôt des test sur la barbe et le torse, deux photos identiques sur tinder mais une avec de la barbe, l'autre non, et voir le taux de match des deux profils identiques.

On pourrait aller plus loin et faire un test avec une photo de profil ou on voit la même personne avec une renault clio, et la même avec une lambo.

simcour , tu te poses bien des questions....

Mais ce n'est pas un reproche ; seuls les simples d'esprit ne s'en posent pas.

Allez , bonne nuit.....

@Jire Cette pétition pour sauver les morpions est amusante et même si c'est implicité on comprend qu'il y a un but humoristique.

Sauvons les morpions

https://www.change.org/p/sauvons-les-morpions

Je me demande si ceux qui se rasent le plus sont ceux étant les plus sexuellement actifs avec différents partenaires.

Ça peut expliquer le fait que ce soient ceux de l'étude ayant eu le plus de MST vu que le fait de multiplier les partenaires est un facteur de risque.

Je me pose aussi des questions sur l'usage du préservatif externe (Dit préservatif masculin) et interne (Dit préservatif féminin) par les sujets de l'étude et dans quelles conditions.

Sinon, pour la propriété y a un vieux truc de moins en moins utilisé ( d'après les statistiques concernant les entes de savon.), ça s'appelle la douche quotidienne

Message complété le 08/04/2021 20:03:57 par son auteur.

les Ventes de savon

Une étude très sérieuse affirme qu'il n'est pas recommandé de se raser les parties intimes lorsque l'on est un homme. Mais pourquoi ?

C'est une question à laquelle tous les hommes se sont déjà confrontés. Faut-il, oui ou non, se raser les parties intimes ? Pour beaucoup, c'est avant tout un problème d'esthétisme ou de "propreté". Mais des scientifiques se sont penchés sur le problème et ont trouvé des arguments très sérieux qui laissent penser qu'il ne vaudrait mieux pas y passer un coup de rasoir ou de tondeuse. On vous explique tout.

Plus de chance d'attraper une IST ?

Ceux qui se rasent les parties intimes ont plus de chance de contracter des maladies sexuellement transmissibles que les autres. C'est le résultat d'une étude menée conjointement par plusieurs universités (Texas, Californie, Missouri) en 2017.

Et les résultats sont criants : s'épiler ou se raser augmente les risques d'attraper une infection sexuellement transmissible de 80% ! 13% des personnes ayant répondu à l'étude ont déjà attrapé une MST. Des statistiques plutôt significatives.

( EN PLUS , ON VA CRIER SI ON SE BLESSE EN S'EPILANT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! )

Des avantages et des inconvénients

Ceux qui se rasent le plus (au moins 11 fois par an) ont le plus de risques d'attraper de l'herpès ou le papillomavirus. Mais ils ont moins de risques d'attraper des morpions. Logique. Et en comparaison à ceux qui ne se rasent pas, les hommes au pubis glabre ont un risque d’IST triplé, et ce risque est même quadruplé pour les adeptes les plus rigoristes de l'épilation ou du rasage. Voilà ce qu'on peut lire dans cette étude.