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Twarog Twarog
24/01/2022 09:15:30
0

Si c’est TESLA direction combien ???

  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
19/01/2022 06:24:29
0

Au départ personne n'y croyait en TESLA.

Qui pouvait deviner que TESLA connaitrait un tel succès ?


Si HOPIUM arrive a vendre 50 000 voitures par an 50 000 € le succès sera assuré ?

  
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fassa fassa
29/06/2021 11:37:52
0

Allez voir les états comptable de cette micro société HMC crée en 2019

Édifiant

  
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fassa fassa
29/06/2021 11:31:02
2

HMC micro boite crée il y a 5 ans de quelques personnes et qui a publié un CA de 67 000 euros en 2017

On est loin de Tesla, méfiance ici c'est du n'importe quoi la valorisation. C'est du Hopium coin...

  
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fassa fassa
28/06/2021 13:36:39
0

et 502 millions de capi sur un simple projet au marché libre...po po po

Attention ici maintenant c'est ultra bullesque

  
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fassa fassa
28/06/2021 10:38:39
1

La voiture est assez jolie mais bon livraison au mieux dans 4 ans du premier modèle si ils y arrivent, ça reste un ticket de loto quand même

  
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Twarog Twarog
28/06/2021 07:50:59
0

Hopium Machina : l'une des plus belles berlines du futur est française et fonctionne à l'hydrogène

Par David Lefevre

Publié le 27/06/21

Pour le moment, le calendrier prévu est respecté. Petit par sa taille mais grand par ses ambitions, le constructeur français Hopium a tenu le pari de présenter, pendant le salon Vivatech 2021, un démonstrateur roulant de sa Machina, dénommée Alpha 0. Cette voiture, entièrement conçue et fabriquée dans le laboratoire du constructeur, au pied du circuit de Montlhéry, a la particularité de fonctionner selon le principe de la combustion du dihydrogène (H2) et du dioxygène (O2) dans une pile à combustible. Cette dernière produit ainsi de l'électricité, laquelle vient alimenter le moteur électrique, dont la puissance est ici portée à 500 cv. Surtout, la pile à combustible ne rejette que de l'eau, permettant ainsi une émission locale du véhicule totalement nulle.

Le principe n'est pas nouveau et fonctionne avec succès puisque c'est exactement sur le même schéma de chaîne de traction que roule la Toyota Mirai par exemple. L'ambition d'Olivier Lombard, le créateur d'Hopium, est en revanche toute autre. S'il existe une vraie volonté d'industrialisation, le développement de la Machina n'est pas du tout positionné sur le même segment. Olivier Lombard, lui, a dans ses gênes la compétition automobile. Non content d'avoir remporté les 24H du Mans dès sa première participation à 20 ans, en catégorie LMP2, il est surtout devenu pilote d'essai du prototype Green GT LMPH2G de la Mission H24, afin de préparer les compétitions automobiles du futur.

Un monde "fascinant"


"C'est à ce moment-là de ma carrière que j'ai découvert le monde fascinant des volts, des moteurs électriques, de la gestion d'énergie. J'ai testé cette technologie dans des conditions extrêmes et elle n'a jamais été prise en défaut", déclare-t-il aux Numériques. "Mon ambition est de créer un véhicule propre localement, positionné sur le segment du mid-luxury, performant et dont on reconnaît l'identité instantanément". Pour ce faire, il a travaillé avec Félix Godard, designer français passé par Porsche, Tesla et Lucid. "L'important était non seulement la silhouette mais aussi la signature lumineuse. Nous nous sommes inspirés du H de l'élément hydrogène, mais aussi des ondes à la surface de l’eau pour concevoir le design des phares."

Si la Machina Alpha 0 ne dépasse pas, durant ses phases de test, les 200 km/h sur les 230 promis, c'est surtout que la pierre d'achoppement de cette voiture est l'autonomie. "Notre ambition est d'avoir au minimum une autonomie de 1000 km. Un projet réaliste puisque Toyota y arrive. Surtout il n'est pas question de passer des heures à la recharger. Avec la Machina, le plein se fait en 3 minutes seulement", promet l'ancien pilote.

L'architecture et le dessin du châssis sont uniques. Olivier Lombard, dont l'un des points forts est de savoir s'entourer, commence à tisser des partenariats avec des investisseurs et des fournisseurs pour rentrer dans la phase d'industrialisation. Les réservoirs d'hydrogène, par exemple, sont en carbone et proviennent du fabricant français Plastic Omnium ; la chaîne de traction, dont l'origine reste secrète, provient aussi de fournisseurs très intéressés par le projet. Cette ambition est d'ailleurs aussi soutenue par des investisseurs, qui ont permis l'introduction d'Hopium en bourse sur le marché Euronext Acess. "Cette nouvelle étape constitue un jalon essentiel dans notre stratégie de développement. Elle doit doter Hopium des moyens de ses ambitions et lui permettre d’acquérir une résonnance internationale", déclare-t-il. Mais le plus important reste à venir, car pour passer à l'étape supérieure il faut développer les outils de production qui permettront l'industrialisation. "J'aborde toutes ces problématiques comme en course automobile, chacun doit uniquement être concentré sur le travail à accomplir".

Une posture intéressante et qui se veut rassurante. Pour Olivier, l'Hopium Machina arrive à point nommé. Le gouvernement mise aussi sur l'hydrogène, avec un plan de 7 milliards d'euros déployés pour la filière d'ici à 2030 et un maillage prévu de 1000 stations de recharge. "L'électrique reste inadapté pour les gros rouleurs et parcourir de grandes distances, c'est une transition".

1000 précommandes en 10 jours

Au-delà d'un réseau de distribution à construire, d'importants problèmes subsistent pour permettre à l’hydrogène de s’imposer et réduire la dépendance au pétrole. Aujourd’hui, 95 % de la production d’hydrogène est issue du vaporeformage du méthane, procédé chimique qui consiste à produire de l'hydrogène à partir du méthane présent dans le gaz naturel ou le biométhane. Et seuls les 5 % restants sont produits par électrolyse de l'eau, permettant de décomposer la molécule d'eau (H2O) en ces deux composants hydrogène et oxygène.

Si le procédé souffrait encore il y a peu d'un rendement énergétique peu avantageux, les nouvelles technologies permettent, à partir du solaire, de l’éolien ou des énergies renouvelables, de produire de l’hydrogène. Pour le gouvernement, l’objectif est de parvenir à 52 % d’hydrogène décarboné en France à l’horizon 2030. Retenons aussi que le stockage de l'hydrogène (sa molécule est particulièrement fuyante à travers les joints et les matériaux), ses propriétés explosives et sa propension à l'auto-enflammage s'il est surcomprimé, le rendent délicat à transporter. Ces défis sont néanmoins en cours d'étude et des dizaines de projets sont en phase de développement ou ont même déjà réussi.

En une dizaine de jours, la majorité des 1000 précommandes prévues pour réserver l'Hopium Machina ont été réalisées, pour un prix de 410 €. Prévue pour 2025, le début de sa commercialisation, elle coûtera tout de même 120 000 €. A ce tarif-là, l'Hopium Machina promet, selon le constructeur, une expérience de conduite unique, basée non seulement sur un véhicule performant, autonome, propre mais aussi totalement tourné vers le conducteur. D'ailleurs, Olivier Lombard a créé parallèlement une société de blockchain permettant de sceller dans la confidentialité toutes les données partagées entre le conducteur, la voiture et le constructeur. Si l'Hopium Machina se veut une vitrine technologique, peut-être arrivera-t-elle en outre à s'imposer comme une percée du savoir-faire français en matière d'automobile.

  
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