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Novacyt: approbation d'un test Covid-19 au Royaume Uni

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Twarog Twarog
11/08/2023 21:39:30
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C’était à 14€ 😤😤😤

  
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Twarog Twarog
11/08/2023 17:10:35
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Covid-19 : Royaume-Uni, Etats-Unis… Des experts s’inquiètent d’une possible résurgence du virus

Le nombre de cas augmente dans plusieurs pays, comme en France. Immunité décroissante, apparition de nouveaux variants… Certains signaux alertent des scientifiques.

Le Covid-19, un lointain souvenir ? Certains le pensaient. Hélas, en plein été, l’épidémie que l’on voulait oublier a fait irruption lors des cinq jours de l’édition 2023 des Fêtes de Bayonne. Dans les pharmacies de la région, entre 70 et 90 % des tests se sont révélés positifs, observent Sud Ouest et France Bleu.

A l’échelle nationale, les cas sont aussi en augmentation. Dans son point de surveillance hebdomadaire daté du 1er août, Santé Publique France évoque une "hausse" des passages aux urgences et des hospitalisations, "dans de faibles effectifs", pour suspicion d’infection au Covid-19 du 24 au 30 juillet : + 26 % soit + 149 passages par rapport à la semaine précédente. Cette augmentation concerne "toutes les classes d’âges et notamment chez les adultes". Mais elle reste tout de même faible, bien loin des niveaux connus ces trois dernières années.

L’épidémie repart également au Royaume-Uni. Selon Christina Pagel, professeur de recherche opérationnelle à l’University College de Londres, les infections au Covid-19 pourraient continuer à augmenter à l’automne, au moment du retour à l’école et au travail. "Nous pourrions voir la vague continuer à croître, et croître plus rapidement, en septembre", déclare-t-elle au Guardian.


Joint par L’Express, Antoine Flahault, épidémiologiste et directeur de l’Institut Santé Globale à la Faculté de médecine de l’Unige estime également qu’il y "a toutes les raisons de penser que le Covid-19 va revenir cet automne et cet hiver dans l’hémisphère nord". Il explique : "Il n’a pas cessé de circuler dans l’hémisphère sud durant tout notre été (leur hiver). Il a même entraîné une résurgence assez forte au Japon en juillet, notamment sur l’île d’Okinawa."


Une triple épidémie à l’hiver ?


Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette augmentation des cas détectés : une immunité décroissante, l’apparition de nouveaux variants ainsi que des facteurs météorologiques comme le mauvais temps qui incite la population à rester à l’intérieur.


"Les mutations d’évasion immunitaire continuent d’émerger et la protection croisée s’annonce de plus en plus précaire. Pendant ce temps, l’immunité au-delà d’un an diminue sensiblement", explique au Guardian le professeur Danny Altmann, immunologiste à l’Imperial College de Londres.

"Il n’y a pas besoin de baisse d’immunité pour expliquer les résurgences que l’on a connues avec Omicron depuis la fin 2021", estime quant à lui Antoine Flahault. "En revanche, l’immunité vaccinale et hybride (conférée aussi par les infections précédentes), si elle ne nous protège pas bien contre de nouvelles infections, est efficace contre les formes graves de Covid."

Dans l’hémisphère nord, l’hiver dernier a été marqué par une triple épidémie (Covid-19, grippe et VRS). Des experts craignent une situation similaire cet hiver. "Ce qui m’inquiète le plus, c’est si nous obtenons une répétition de la dernière crise hivernale du NHS (NDLR : National Health Service, le système de santé publique au Royaume-Uni) cet hiver, avec le Covid, la grippe et le VRS qui frappent tous à peu près au même moment", affirme Christina Pagel.


Antoine Flahault se montre plus prudent. "On ne sait pas bien prévoir les épidémies à long et même moyen termes", rappelle l’épidémiologiste. Il n’est pas impossible que le phénomène climatique El Niño entre dans l’équation. "Des travaux que nous avions réalisés dans mon équipe il y a plusieurs années indiquaient que El Niño, que nous vivons actuellement, n’est pas favorable aux épidémies de grippe et donc à la transmission des virus respiratoires", indique-t-il. Si, "statistiquement les épidémies sont moins fortes et moins meurtrières durant ces périodes", en revanche El Niño "est plus propice à la circulation d’autres maladies, notamment transmises par les moustiques dans certains endroits du globe."


Un manque de données


Christina Pagel s’inquiète d’avancer "presque à l’aveugle". La faute au manque de données disponibles sur l’épidémie. Si l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) continue de suivre certaines données sur le Covid-19, comme le nombre d’hospitalisations, de nombreuses études de surveillance sur les niveaux d’infection sont terminées. En Angleterre et au Pays de Galles, des programmes de surveillance des eaux usées ont ainsi été supprimés, comme le déplorent des experts.


Antoine Flahault défend lui aussi cet indicateur qui "permet à moindre coût de surveiller les virus respiratoires, grippe, Covid, VRS, ainsi que l’arrivée des nouveaux variants". "C’est un instrument épidémiologique de choix qu’il faut répandre rapidement dans toute l’Europe et le mettre à disposition des épidémiologistes", souligne-t-il. Afin d’en "finir avec ces épidémies récurrentes de maladies à virus respiratoires", l’épidémiologiste recommande également de travailler sur l’amélioration de la qualité de l’air intérieur qui devrait être "une priorité pour tous les locaux recevant du public, à commencer par les écoles, les hôpitaux et les EHPAD, dès cet hiver."


"Nous avons bien sûr une certaine prévisibilité sur la grippe saisonnière car nous disposons des données sur de nombreuses années. Cependant, avec le Covid, maintenant que nous n’avons plus ces multiples flux de données sur lesquels nous appuyer, il est plus difficile de dire ce qui se passe [dans la population générale]", déclare au Guardian le professeur Rowland Kao, épidémiologiste à l’Université d’Edimbourg.


  
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sergiobress sergiobress
26/11/2021 12:44:28
0

Oui exact, mais les cobayes vont diminuer au fil du temps.

  
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tirelire19 tirelire19
26/11/2021 12:37:02
2
Oui c' est reparti pour toutes les valeurs COVID , une fumisterie bien organisée
  
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F U M E F U M E
26/11/2021 10:12:57
0
c 'est reparti ?
  
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F U M E F U M E
26/11/2021 10:12:35
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(CercleFinance.com) - Novacyt annonce que, suite à l'annonce du 2 novembre, son test PCR en temps réel genesig COVID-19 a été approuvé au Royaume Uni dans le cadre de la réglementation adoptée par l'Agence britannique de sécurité sanitaire (CTDA).

Le spécialiste français du diagnostic clinique va maintenant travailler à la reprise de la vente de ce produit dans le pays et attend des informations sur huit autres produits soumis à la CTDA dans le cadre de son portefeuille de tests Covid-19.

'Avec cette approbation, l'impact financier sur l'année 2021 sera nettement plus faible car le test Covid-19 de genesig représente environ 30% du manque à gagner d'environ trois millions de livres sterling', précise-t-il en référence à son annonce du 2 novembre.

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