hellforthem
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La fin du Grand Bluff vendu par hollywood et quelques historiens partisans... et par sardou
L'humanité pourra enfin vivre apaisée avec plusieurs pôles d'égale influence. Bon faut pas non plus croire qu'ils perdront leur pouvoir de nuisance, de manipulation et de déstabilisation...
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Sauf dans le cadre d'un guerre conventionnelle, les matières premières pourraient être "confisquées".
Pour rappel, les USA ont envahi ( euh ? pardon? "intervenu", c'est plus correct) 14 fois le Texas, avant de l'annexer....
Et puis de l'extrême point de l'Alaska au iles du Commandeur ( territoire russe) il n'y a qu'une très faible distance.
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ça pourrait se concevoir dans le cadre d'une autonomie totale mais ils restent dépendants du pétrole de l'uranium et de beaucoup de minerais essentiels à l'industrie
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@fipua,
il y a une réponse à ça :
C'est la guerre, et pas seulement "localisée" en Europe, mais bien au chaud , à l'extérieur des frontières US.
Comment éliminer le pb de la dette pour les US ? tous simplement en éliminant les créanciers....
Plus de créanciers, plus de dettes....
Le futur accord commercial Usa, Asie semble être calibré pour ça.
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Cinq signes avant-coureurs que la fin de l'hégémonie du dollar est proche... Voici ce qui se passera ensuite
Photo de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN
SAMEDI 21 MAI 2022 - 20:30
Écrit par Nick Giambruno via InternationalMan.com,
Ce n'est un secret pour personne que la Chine et la Russie ont caché autant d'or que possible depuis de nombreuses années.
La Chine est le plus grand producteur et acheteur d'or au monde. La Russie est numéro deux. La majeure partie de cet or se retrouve dans les trésoreries des gouvernements russe et chinois.
La Russie possède plus de 2 300 tonnes, soit près de 74 millions d'onces troy, d'or, l'une des plus grandes réserves au monde. Personne ne connaît la quantité exacte d'or dont dispose la Chine, mais la plupart des observateurs pensent qu'elle est encore plus importante que la réserve de la Russie.
L'or de la Russie et de la Chine leur donne accès à une monnaie apolitiquement neutre et sans risque de contrepartie.
N'oubliez pas que l'or est la forme de monnaie la plus durable de l'humanité depuis plus de 2 500 ans en raison de caractéristiques uniques qui le rendent approprié pour stocker et échanger de la valeur.
L'or est durable, divisible, cohérent, pratique, rare et, surtout, le « plus dur » de tous les produits physiques.
En d'autres termes, l'or est la matière première physique « la plus difficile à produire » (par rapport aux stocks existants) et, par conséquent, la plus résistante à l'inflation. C'est ce qui donne à l'or ses propriétés monétaires supérieures.
La Russie et la Chine peuvent utiliser leur or pour s'engager dans le commerce international et peut-être soutenir les devises.
C'est pourquoi l'or représente une véritable alternative monétaire au dollar américain, et la Russie et la Chine en ont beaucoup.
Aujourd'hui, il est clair pourquoi la Chine et la Russie ont eu une demande insatiable d'or.
Ils attendaient le bon moment pour couper l'herbe sous le pied du dollar américain. Et maintenant, c'est ce moment...
C'est un gros problème pour le gouvernement américain, qui récolte un pouvoir insondable parce que le dollar américain est la première monnaie de réserve du monde. Il permet aux États-Unis d'imprimer de la fausse monnaie à partir de rien et de l'exporter vers le reste du monde contre de vrais biens et services - un racket privilégié qu'aucun autre pays n'a.
L'or de la Russie et de la Chine pourrait constituer la base d'un nouveau système monétaire hors du contrôle des États-Unis. De tels mouvements seraient le dernier clou dans le cercueil de la domination du dollar.
Cinq développements récents sont un signe rouge clignotant géant que quelque chose de grand pourrait être imminent.
Panneau d'avertissement n°1 : les sanctions russes prouvent que les réserves en dollars « ne sont pas vraiment de l'argent »
À la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le gouvernement américain a lancé sa campagne de sanctions la plus agressive de tous les temps.
Dépassant même l'Iran et la Corée du Nord, la Russie est désormais la nation la plus sanctionnée au monde.
Dans le cadre de cela, le gouvernement américain a saisi les réserves en dollars américains de la banque centrale russe - l'épargne accumulée de la nation.
C'était une illustration étonnante du risque politique du dollar. Le gouvernement américain peut saisir les réserves en dollars d'un autre pays souverain en un tour de main.
Le Wall Street Journal, dans un article intitulé « Si les réserves de change russes ne sont pas vraiment de l'argent, le monde est sous le choc », a noté :
« Les sanctions ont montré que les réserves de change accumulées par les banques centrales peuvent être supprimées. Si la Chine en prend note, cela pourrait remodeler la géopolitique, la gestion économique et même le rôle international du dollar américain.
Le président russe Poutine a déclaré que les États-Unis avaient manqué à leurs obligations et que le dollar n'était plus une monnaie fiable.
L'incident a érodé la confiance dans le dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et a incité des pays importants à utiliser des alternatives dans le commerce et leurs réserves.
La Chine, l'Inde, l'Iran et la Turquie, entre autres pays, ont annoncé ou font déjà des affaires avec la Russie dans leur monnaie locale au lieu du dollar américain. Ces pays représentent un marché de plus de trois milliards de personnes qui n'ont plus besoin d'utiliser le dollar américain pour commercer entre eux.
Le gouvernement américain a incité près de la moitié de l'humanité à trouver des alternatives au dollar en tentant d'isoler la Russie.
Panneau d'avertissement n° 2 : roubles, or et bitcoin pour le gaz, le pétrole et d'autres matières premières
La Russie est le plus grand exportateur mondial de gaz naturel, de bois, de blé, d'engrais et de palladium (un composant essentiel des voitures).
C'est le deuxième exportateur de pétrole et d'aluminium et le troisième exportateur de nickel et de charbon.
La Russie est un important producteur et transformateur d'uranium pour les centrales nucléaires. L'uranium enrichi de la Russie et de ses alliés fournit de l'électricité à 20 % des foyers aux États-Unis.
Hormis la Chine, la Russie produit plus d'or que tout autre pays, représentant plus de 10% de la production mondiale.
Ce ne sont que quelques exemples. Il existe de nombreux produits de base stratégiques que la Russie domine.
En bref, la Russie n'est pas seulement une puissance pétrolière et gazière, mais une superpuissance des matières premières.
Après que le gouvernement américain ait saisi les réserves russes en dollars américains, Moscou n'a plus besoin du dollar américain. Moscou ne veut pas échanger ses biens rares et précieux contre de l'argent politisé que ses rivaux peuvent emporter sur un coup de tête. Le gouvernement américain tolérerait-il un jour une situation où le Trésor américain détient ses réserves en roubles en Russie ?
Le chef du Parlement russe a récemment qualifié le dollar américain d'« emballage de bonbons », mais pas le bonbon lui-même. En d'autres termes, le dollar a l'apparence extérieure de l'argent mais n'est pas de l'argent réel.
C'est pourquoi la Russie n'accepte plus de dollars américains (ou d'euros) en échange de son énergie. Ils ne sont d'aucune utilité pour la Russie. Au lieu de cela, Moscou exige un paiement en roubles.
C'est un problème urgent pour l'Europe, qui ne peut survivre sans les matières premières russes. Les Européens n'ont pas d'alternative à l'énergie russe et n'ont d'autre choix que de s'y conformer.
Les acheteurs européens doivent désormais d'abord acheter des roubles avec leurs euros et les utiliser pour payer le gaz, le pétrole et d'autres exportations russes.
C'est l'une des principales raisons pour lesquelles le rouble a récupéré toute la valeur qu'il avait perdue au cours des premiers jours de l'invasion de l'Ukraine, puis a fait de nouveaux gains.
En plus des roubles, le haut responsable russe de l'énergie a déclaré que Moscou accepterait également de l'or ou du Bitcoin en échange de ses produits de base.
"S'ils veulent acheter, laissez-les payer soit en devises fortes - et c'est de l'or pour nous... vous pouvez également échanger des Bitcoins."
Voici la ligne du bas. Les dollars américains ne sont plus nécessaires (ou voulus) pour acheter des matières premières russes.
Panneau d'avertissement n°3 : Le système du pétrodollar flirte avec l'effondrement
Le pétrole est de loin le marché de matières premières le plus important et le plus stratégique.
Au cours des 50 dernières années, pratiquement tous ceux qui voulaient importer du pétrole avaient besoin de dollars américains pour le payer.
En effet, au début des années 70, les États-Unis ont conclu un accord pour protéger l'Arabie saoudite en échange de la garantie, entre autres, que tous les producteurs de l'OPEP n'acceptent que des dollars américains pour leur pétrole.
Chaque pays a besoin de pétrole. Et si les pays étrangers ont besoin de dollars américains pour acheter du pétrole, ils ont une raison impérieuse de détenir d'importantes réserves en dollars.
Cela crée un énorme marché artificiel pour les dollars américains et oblige les étrangers à absorber bon nombre des nouvelles unités monétaires créées par la Fed. Naturellement, cela donne un formidable élan à la valeur du dollar.
Le système a contribué à créer un marché plus profond et plus liquide pour le dollar et les bons du Trésor américain. Cela permet également au gouvernement américain de maintenir des taux d'intérêt artificiellement bas, finançant ainsi d'énormes déficits qu'il serait autrement incapable de financer.
En bref, le système du pétrodollar a été le fondement du système financier américain au cours des 50 dernières années.
Mais tout cela est sur le point de changer… et bientôt.
Après avoir envahi l'Ukraine, le gouvernement américain a expulsé la Russie du système du dollar et a saisi des centaines de milliards de dollars de réserves de la banque centrale russe.
Washington menace de faire de même avec la Chine depuis des années. Ces menaces ont contribué à faire en sorte que la Chine réprime la Corée du Nord, n'envahisse pas Taïwan et fasse d'autres choses que les États-Unis voulaient.
Ces menaces contre la Chine sont peut-être un bluff, mais si le gouvernement américain les mettait à exécution – comme il l'a récemment fait contre la Russie – ce serait comme larguer une bombe nucléaire financière sur Pékin. Sans accès aux dollars, la Chine aurait du mal à importer du pétrole et à s'engager dans le commerce international. En conséquence, son économie s'arrêterait brutalement, une menace intolérable pour le gouvernement chinois.
La Chine préférerait ne pas dépendre d'un adversaire comme celui-ci. C'est l'une des principales raisons pour lesquelles il a créé une alternative au système du pétrodollar.
Après des années de préparation, le Shanghai International Energy Exchange (INE) a lancé un contrat à terme sur le pétrole brut libellé en yuan chinois en 2017. Depuis lors, tout producteur de pétrole peut vendre son pétrole pour autre chose que des dollars américains… dans ce cas, le yuan chinois.
Il y a un gros problème, cependant. La plupart des producteurs de pétrole ne veulent pas accumuler une grande réserve de yuans, et la Chine le sait.
C'est pourquoi la Chine a explicitement lié le contrat à terme sur le brut à la possibilité de convertir le yuan en or physique - sans toucher aux réserves officielles de la Chine - via les bourses de l'or à Shanghai (le plus grand marché de l'or physique au monde) et à Hong Kong.
PetroChina et Sinopec, deux compagnies pétrolières chinoises, fournissent des liquidités aux contrats à terme sur le brut en yuan en étant de gros acheteurs. Ainsi, si un producteur de pétrole veut vendre son pétrole en yuan (et en or indirectement), il y aura toujours une offre.
Après des années de croissance et de résolution des problèmes, le contrat à terme sur le pétrole INE yuan est maintenant prêt pour les heures de grande écoute.
Et maintenant que les États-Unis ont banni la Russie du système du dollar, il y a un besoin urgent d'un système crédible capable de gérer des centaines de milliards de ventes de pétrole en dehors du dollar américain et du système financier.
L'échange international d'énergie de Shanghai est ce système.
Retour en Arabie Saoudite…
Pendant près de 50 ans, les Saoudiens ont toujours insisté pour que quiconque voulant leur pétrole paie en dollars américains, confirmant leur part du système des pétrodollars.
Mais tout pourrait bientôt changer…
N'oubliez pas que la Chine est déjà le plus grand importateur de pétrole au monde. De plus, la quantité de pétrole qu'elle importe continue de croître car elle alimente une économie de plus de 1,4 milliard de personnes (plus de 4 fois plus que les États-Unis).
La Chine est le premier client de l'Arabie saoudite. Pékin achète plus de 25 % des exportations de pétrole saoudien et veut en acheter davantage.
Les Chinois préféreraient ne pas avoir à utiliser le dollar américain, la monnaie de leur adversaire, pour acheter une denrée essentielle.
Dans ce contexte, le Wall Street Journal a récemment rapporté que les Chinois et les Saoudiens avaient entamé des discussions sérieuses pour accepter le yuan comme moyen de paiement pour les exportations de pétrole saoudien au lieu du dollar.
L'article du WSJ affirme que les Saoudiens sont en colère contre les États-Unis pour ne pas les avoir suffisamment soutenus dans leur guerre contre le Yémen. Ils ont en outre été consternés par le retrait américain d'Afghanistan et les négociations nucléaires avec l'Iran.
En bref, les Saoudiens ne pensent pas que les États-Unis tiennent leur part du marché. Ainsi, ils ne se sentent pas obligés de tenir leur rôle.
Même le WSJ admet qu'une telle décision serait désastreuse pour le dollar américain.
"La décision saoudienne pourrait éroder la suprématie du dollar américain dans le système financier international, sur lequel Washington s'est appuyé pendant des décennies pour imprimer des bons du Trésor qu'il utilise pour financer son déficit budgétaire."
Voici la ligne du bas.
L'Arabie saoudite, pivot du système du pétrodollar, flirte ouvertement avec la Chine pour vendre son pétrole en yuan. D'une manière ou d'une autre – et probablement bientôt – les Chinois trouveront un moyen de contraindre les Saoudiens à accepter le yuan.
La taille même du marché chinois rend impossible pour l'Arabie saoudite – et d'autres exportateurs de pétrole – d'ignorer les demandes de la Chine de payer en yuan indéfiniment. De plus, l'utilisation de l'INE pour échanger du pétrole contre de l'or adoucit davantage l'accord pour les exportateurs de pétrole.
Bientôt, il y aura beaucoup de dollars supplémentaires qui circuleront soudainement à la recherche d'une maison maintenant qu'ils ne sont plus nécessaires pour acheter du pétrole.
Cela signale un changement imminent et énorme pour quiconque détient des dollars américains. Il serait incroyablement stupide d'ignorer ce panneau d'avertissement rouge géant.
Panneau d'avertissement n° 4 : impression d'argent hors de contrôle et augmentation record des prix
En mars 2020, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a exercé un pouvoir insondable…
À l'époque, c'était le pic du krach boursier au milieu de l'hystérie COVID. Les gens paniquaient en voyant le marché s'effondrer et ils se sont tournés vers la Fed pour faire quelque chose.
En quelques jours, la Fed a créé plus de dollars à partir de rien qu'elle n'en avait eu pendant les près de 250 ans d'existence des États-Unis. Il s'agissait d'une quantité sans précédent d'impression monétaire qui s'élevait à plus de 4 000 milliards de dollars et a presque doublé la masse monétaire américaine en moins d'un an.
Un billion de dollars, c'est presque une somme d'argent insondable. L'esprit humain a du mal à s'enrouler autour de tels chiffres. Permettez-moi d'essayer de mettre cela en perspective.
Il y a un million de secondes, c'était il y a environ 11 jours.
Il y a un milliard de secondes, c'était en 1988.
Il y a mille milliards de secondes, c'était il y a 30 000 av.
Pour plus de perspective, la production économique quotidienne de l'ensemble des 331 millions de personnes aux États-Unis est d'environ 58 milliards de dollars.
D'une simple pression sur un bouton, la Fed créait plus de dollars à partir de rien que la production économique de l'ensemble du pays.
Les actions de la Fed pendant l'hystérie de Covid - qui sont en cours - ont représenté la plus grande explosion monétaire jamais survenue aux États-Unis.
Lorsque la Fed a lancé ce programme, elle a assuré au peuple américain que ses actions n'entraîneraient pas de fortes hausses de prix. Mais malheureusement, il n'a pas fallu longtemps pour prouver que cette affirmation absurde était fausse.
Dès que la hausse des prix est devenue apparente, les médias grand public et la Fed ont affirmé que l'inflation n'était que « transitoire » et qu'il n'y avait pas lieu de s'inquiéter.
Bien sûr, ils avaient tout à fait tort, et ils le savaient – ils étaient en train d'allumer du gaz.
La vérité est que l'inflation est hors de contrôle, et rien ne peut l'arrêter.
Même selon les propres statistiques tordues de l'IPC du gouvernement, qui sous-estiment la réalité, l'inflation est en hausse. Cela signifie que la situation réelle est bien pire.
Récemment, l'IPC a atteint un sommet en 40 ans et montre peu de signes de ralentissement.
Je ne serais pas surpris de voir l'IPC dépasser ses précédents sommets du début des années 1980 alors que la situation devient incontrôlable.
Après tout, l'impression d'argent en cours en ce moment est d'un ordre de grandeur supérieur à ce qu'elle était alors.
Panneau d'avertissement n°5 : le président de la Fed admet que la suprématie du dollar est morte
"Il est possible d'avoir plus d'une monnaie de réserve."
Ce sont les mots récents de Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale.
C'est un aveu étonnant de la part de la personne qui a le plus de contrôle sur le dollar américain, la monnaie de réserve mondiale actuelle.
Ce serait aussi ridicule que Mike Tyson de dire qu'il est possible d'avoir plus d'un champion poids lourd.
En d'autres termes, le gabarit est en place.
Même le président de la Réserve fédérale ne peut plus accepter la farce de maintenir la suprématie du dollar… et vous non plus.
Conclusion
Il est clair que les jours de domination incontestée du dollar américain se terminent rapidement, ce que même le président de la Fed admet ouvertement.
Pour récapituler, voici les cinq signes d'avertissement rouges clignotants imminents indiquant que la fin de l'hégémonie du dollar est proche.
Panneau d'avertissement n°1 : les sanctions russes prouvent que les réserves en dollars « ne sont pas vraiment de l'argent »
Panneau d'avertissement n° 2 : roubles, or et bitcoin pour le gaz, le pétrole et d'autres matières premières
Panneau d'avertissement n°3 : Le système du pétrodollar flirte avec l'effondrement
Panneau d'avertissement n° 4 : impression d'argent hors de contrôle et augmentation record des prix
Panneau d'avertissement n°5 : le président de la Fed admet que la suprématie du dollar est morte
Si nous prenons du recul et effectuons un zoom arrière, la vue d'ensemble est claire .
Nous sommes probablement à l'aube d'un changement historique… et ce qui va suivre pourrait tout changer.
* * *
La trajectoire économique est inquiétante. Malheureusement, il n'y a pas grand-chose qu'un individu puisse faire pour changer le cours de ces tendances en mouvement. Le mieux que vous puissiez et devriez faire est de rester informé afin de pouvoir vous protéger de la meilleure façon possible, et même profiter de la situation. C'est précisément pourquoi l'auteur à succès Doug Casey et ses collègues viennent de publier un nouveau rapport PDF urgent qui explique ce qui pourrait arriver ensuite et ce que vous pouvez faire à ce sujet. Cliquez ici pour le télécharger maintenant.
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L'indicateur à contre-courant dit acheter
If you have been waiting for what probably is the most accurate contrarian signal, BofA's bull and bear indicator, it is now in buy territory. The overall tone from Hartnett remains bearish, so guess this would be a quick buy only. The investment bank writes: "...vulnerable to bear rally but we would still argue “sell-any-rips”
Source: BofA
Source: BofA
SPX's love for double bottoms - is this one more?
The bigger sell offs since last May have been violent and have reversed (at least in the short term) with the classical double bottom. Is this just another frustrating double bottom to add to the track record?
Source: Refinitiv
Oversold, but
Equities are oversold, but they are actually not at extremely oversold levels, and the problem with oversold is that it often stays oversold for long periods of time...
Source: Refinitiv
SPX 3k base case - "3600 is the new bull case"
Hartnett reminds us of a few historic stats: "19 US equity bear markets past 140 years…average price decline = 37.3% & average duration 289 days; if repeated today's bear ends Oct 19th 2022 with S&P500 at 3000...Japan yen & Swiss franc hedges for this…pretty much every Wall St crash past 40 years seen sharp, quick yen appreciation".
His latest note is called "3600 is the new bull case" for a reason...
Source: Refinitiv
Source: BofA
Short gamma dealers waiting for Monday
We have been mentioning the pillars of the "erratic market" over past weeks: short gamma and poor liquidity (this one stays intact for now). A lot of gamma is rolling off today (more here). The chart is showing the most recent buy high sell low frustration well. As Nomura's McElligott writes this has been the longest period of dealer short gamma seen in years (in case you still wonder about the wild swings...)
Source: Nomura
Valuation never matters, until it does
European Industrials have gone through their biggest bubble in history. The correction has been steep but has further to run. Dotcom and GFC 'bubble deflations' were ~60% and took two years. The sector has been over-earning, margins are coming down. Although European Industrials have derated from NTM EV/Sales 2.9x to 1.9x (~35%), they are still ~25% higher than their long-run average. The sector has been over-earning since the Covid stimulus was unleashed, margins are only now becoming to come down.
Source: Morgan Stanley
What's the right multiple?
This is an extremely complex question. Hartnett's view: "...some say 21st Century multiple of 19x still appropriate, we say 20th Century multiple of 14x more appropriate for stagflation". You decide...
Source: BofA
Equities have not dropped enough to crash spending
Not what the bulls want to hear but that is what TS Lombard's Blitz writes. He explains the situation: "the Fed has yet to raise rates sufficiently to turn growth into recession and the equity market is far from having dropped enough to crash spending." Equities can drop further, but the "Fed is s sending out a soft-put signal by suggesting they are close to being done". Expect less aggressive pace of tightening after the summer. Regarding the recession he writes: "In the end, recession is not created until the Fed drives short rates into real territory and they are far from there – betting still on inflation being transitory".
Source: TS Lombard
Systematic positioning at an extreme
3rd lowest in 10 years...
Source: Deutsche Bank
Don't show this chart to Saylor
Bitcoin does not like tighter financial conditions.
Source : STIFEL
il y a 2 jours à 1:28
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