L’intervention d’UVDL sur des « possibles sanctions » de l’UE, si la nouvelle Italie issue des urnes demain, venait à manquer aux principes « démocratiques » fixés par l’Europe n’est rien d’autre qu’une forme d’impérialisme dictatorial mâtiné d’une couche de morgue très teutonne, surtout venant d’une personne non élue.
Poutine, lui au moins, a été élu et réélu !
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Décidément les fachos ne se cachent même plus. Si l'Italie ne vote pas selon les convenances de Madame, Madame saura sanctionner. Et ça se prétend démocrate
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En mai 2021, quelques jours après la publication de l’article du New York Times, un journaliste du site allemand Netzpolitik.org avait demandé au Secrétariat général de la Commission européenne que lui soient transmis les «SMS et autres documents» ayant menés à la signature de ce contrat de plusieurs milliards d’euros. Demande formulée au nom du règlement n° 1049/2001, qui garantit à n’importe quel citoyen de l’UE un accès «le plus large possible» aux documents des instances décisionnelles européennes.
Trois semaines plus tard, le secrétariat d’Ursula von der Leyen accepta de lui fournir un e-mail, une lettre et un communiqué de presse, mais aucun SMS. Aux yeux de la Commission, ceux-ci ne constituent pas des documents de travail de l’UE. Un «manque de transparence» dénoncé par le média allemand qui avait alors saisi la médiatrice européenne.
«SMS Gate», d’un scandale à un autre
En janvier, cette dernière donne tort à la Commission. «Si le document concerne le travail de l’institution […], c’est son contenu qui importe et non le support», avait tranché Emily O’Reilly, demandant à l’exécutif européen de rendre publics les messages avant la fin avril. Il n’en fut rien. Fin juin, la Commission fera savoir que sa présidente n’est plus en leur possession des fameux SMS. L’institution précisera au passage qu’il n’est pas de son devoir d’enregistrer et de conserver ce type de documents.
Cette affaire est d’autant plus embarrassante pour Bruxelles que ce n’est pas la première fois qu’Ursula von der Leyen et son téléphone portable se retrouvent empêtrés dans ce type d’affaires.
Lorsqu’elle était à la tête du ministère allemand de la Défense, la Cour des comptes avait épinglé les importantes dépenses liées à des contrats attribués à des cabinets de consultants externes (McKinsey et Accenture).
Au-delà du fait qu’Ursula von der Leyen avait elle-même dirigée le bureau berlinois de McKinsey avant d’être propulsée ministre, ce qui avait particulièrement choqué les membres de la Commission parlementaire qui s’était penchée sur son cas, est la manière dont elle aurait fait fi des procédures…
Désignés comme pièces à conviction, deux téléphones portables d’Ursula von Der Leyen saisis par le législateur allemand s’avéreront avoir été expurgés de leurs SMS.
https://www.quotidien-libre.fr/sms-gate-von-der-layen-pfizer-un-scandale-en-cache-un-autre/
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