On va voir le scénario habituel.
Argent public + BPI + quelques institutionnels pour amorcer le système.
Introduction en bourse lorsque les perspectives seront bonnes.
Rinçage des petits porteurs.
L'objectif de déploiement des SMR affiché par EDF étant la décennie 2030, la procédure pourra se dérouler tranquillement.
En attendant et en justification la méthode par l'urgence on achètera des réacteurs américains.
Le SMR de NuScale étant en cours de certification, il sera rapidement sur étagère prêt à l'export.
Vu la main mise de la commission européenne sur l'énergie, pourquoi pas un contrat d'achat direct de réacteurs par l'Europe, comme cela a été fait pour les vaccins ou le GNL.
A 2,5 Mds € l'unité c'est une bricole pour l'UE.
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Comme le climat est un peu humide, la peinture a du mal à sécher.
EDF a promis une mise en route fin 2023, reste ensuite à savoir combien de temps le couvercle de la cocotte tiendra le coup.
Fin 2024, s'il a marché plein pot toute l'année, la part investissement sur le MWh sera de 5200 €.
A ce régime, même dans un siècle il ne sera toujours pas rentable.
Hollande aurait mieux fait de satisfaire les écolos en arrêtant l'EPR dès son élection plutôt que de fermer ensuite Fessenheim.
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Le nucléaire est-il mort à Flamanville ?
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AFP
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Une start-up d'ingénierie de petits réacteurs modulaires nucléaires est en train de voir le jour à Belfort, née du foisonnement de l'association Apsiis, fondée par des syndicalistes de General Electric et des entrepreneurs locaux, a-t-on appris mardi auprès des fondateurs.
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Assistons nous à la naissance des sauveurs de la filière nucléaire Française?
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