Cascade de démission chez les F.O.

Cascade de démission chez les F.O.

https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-demissions-en-cascade-le-grand-malaise-des-forces-de-lordre/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=fa85e32890-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-fa85e32890-30496269&mc_cid=fa85e32890&mc_eid=fa0b50df48

Je copie-colle 2 extraits. A vous de lire l’intégralité de l’article, si le coeur vous en dit. (lien ci-dessus)

« Et le réel, alors, il ressemble à quoi ? Pas de moyens, pas de considération, pas de concrétisation des arrestations, des remises en liberté pour des agresseurs sauvages qui se moquent de vous le lendemain matin, des horaires pénibles, la peur au ventre quand on rentre chez soi, les représentants du peuple qui vous traitent d'assassin, des juges gauchistes qui démolissent ce que vous faites : la vie d'un policier ou d'un gendarme n'est pas amusante. »

« les forces de l'ordre méritent le respect des gens ordinaires. Les policiers, les gendarmes, sont des gens ordinaires. Et comme si cela ne suffisait pas à leur malheur, on ne cesse de leur dire que tout le monde les déteste. »

Et , une fois rentrés chez eux, une fois l’uniforme retiré, une fois redevenus des civils, ils savent bien que , au même titre que tous les civils, l’état ne cesse de les « empapaouter » . Comme tous les citoyens Français. Et encore pire, Ils savent bien qu’ils sont les salariés les plus surveillés par la police de la pensée.

Leurs dires, leurs écrits, et ce, jusque dans leur vie privée , sont espionnés en permanence. Selon une déclaration publique de leur patron.
Bien sûr , pour minimiser le phénomène, nos z’élites diront : c’est à cause du stress passager, des horaires, (en oubliant de parler des heures sup non payées), et ...passez muscade.

De mon côté, je me demande s’il ne s’agit pas là d’une prise de conscience , d’un revirement.

Les ex-flics, mais aussi les ex-futurs- candidats à la grande famille des flics , montés les uns contre les autres (policiers vs gendarmes), ne seraient-ils pas sur le point de se rallier à la cause de ceux qu’ils sont chargés de mâter par ordre du 1er flic de France ?
L’une des conditions de la révolte , ..une de plus. Reste la dernière barrière : le ralliement d’une forte proportion de politiciens. Ces mêmes politiciens actuellement plus attachés à leur plan de carrière qu’aux souhaits et avis du Peuple.
Simple avis. Mais avis fort.