Engie : Fin des chaudières au gaz en 2026 ?

Les radiateurs électriques vont remplacer les chaudières à gaz. Payer du gaz à Wladimir Poutine moi ça me mettait mal à l'aise

Fin des chaudières à gaz en 2026 ?

Normal. Cela fait partie de la liquidation de la France.

En interdisant les chaudières à gaz, on fait sauter tout un pan de notre industrie non délocalisable : vendeurs de gaz en bouteilles (chauffage, chalumeaux,..) ou en citerne, « contrôles technique » de ces mêmes contenants, faillites des plombiers-chauffagistes, faillites des fabricants de chaudières gaz, réduction des marchés des fabricants de canalisations , des entreprises de T.P. qui enfouissent ces canalisations,….et, si l’on veut être cohérents, tuer dans l’œuf la naissante méthanisation, dont certains paysans auront engloutis plusieurs millions d’euros.. En pure perte ?

Rapprochons les dates de fin de la mission de macron (2027), et de la fin des chaudières à gaz (2026), et de la fin des voitures à motorisation thermique (2035 – mais quid des engins industriels et agricoles ), de la fermeture de réacteurs nucléaire (si elles sont maintenues).

Tout devra fonctionner avec de l’électricité ……dont la production est nettement insuffisante, transportée par des réseaux ne pouvant supporter une telle surcharge.

Mais macron aura obéi aux ordres de ses patrons US., C à D : Liquidation de la France pour l’engluer dans le cloaque E.U. – liquider un max son industrie, pour être complètement dépendant du marché US.

Les 70% complémentaires au pétrole

on apprend par la Cour des comptes et le Sénat qu’une nouvelle chaudière à gaz a été installée à l’Élysée.

Dans son rapport sur le budget de la présidence rendu public mi-juillet, la Cour des comptes mentionne bien l’acquisition d’une chaudière à gaz pour un montant de 100 000 euros.

Pour tenter de se dépatouiller, le cabinet d’Emmanuel Macron affirme que la chaudière à gaz ne fonctionnera pas plus de 20 à 30 % de la période de chauffe, uniquement en appui de la pompe à chaleur les jours de grand froid.

Le gaz est redescendu à 0.10 €/kwh alors que l'électricité est à 0.20.

Une PAC en relève de chaudière ayant un très mauvais rendement (écart de température eau / extérieur important pour s'adapter aux radiateurs) de l'ordre de 2, l'amortissement d'un tel équipement est impossible.

Quoi de mieux que d'interdire les chaudières pour remédier au problème et permettre à une armée de margoulins d'installer des PAC à 15 ou 20000€.

Après on est en France, donc les autonomes peuvent trouver une solution.

Pour celui qui a une chaudière relativement récente, il suffit d'acheter la même sur le bon coin pour avoir des pièces détachées, prendre un contrat de gaz à prix fixe sur trois ans,...et attendre pour rigoler lorsque le prix de l'électricité va grimper. L'écart de 0.20 à 0.40€/kWh entre la France et l'Allemagne ne sera pas supportable bien longtemps pour la Commission Européenne ou simplement EDF qui va avoir besoin de cash pour financer son parc nucléaire, le rachat de l'énergie renouvelable, et l'arenh.

Il est donc urgent d'attendre sachant que l'idéal pour le propriétaire d'une maison individuelle consiste a disposer de sources d'énergie différentes, ce qui permet de s'adapter aux fluctuations des tarifs, et de solliciter en fonction de la température celle qui procure le meilleur rendement.

Après le Fioul, le Gaz et demain le Bois ???...

Qu'ils aillent se faire foutre...

La transition écologique à marche forcée a bon dos, c'est surtout pour réorganiser les flux de consommation et donc financiers vers le TOUT EDF pour financer la merde en Tube des EPR sans source de financement.

Et donc pour l'instant, on reste incapable d'assurer un débit suffisant pour en assurer le refroidissement comme sur le lit du rhône par exemple...

Chacun appréciera le niveau d'imbécilité..

Je note : "De son côté, l'UFC Que choisir met en doute l'intérêt écologique de cette décision. "Remplacer ces 12 millions de chaudières à gaz par des pompes à chaleur ne va faire qu'augmenter nos émissions de gaz à effet de serre pendant des années", insiste la publication consacrée au pouvoir d'achat. Principal argument : le parc des chaudières au gaz vieillissantes et qui ne pourront plus être remplacées par des modèles récents et performants va engendrer une explosion de la consommation en hiver, de l'ordre de "10 gigawatts de plus en 2035, soit l'équivalent de 10 réacteurs nucléaires supplémentaires", selon les calculs de GRDF. Et cette surconsommation sera approvisionnée par les centrales à charbons très polluantes, par exemple. "

Et donc Engie et GRDF vont vendre quoi , des marrons grillées ???

Fin des chaudières au gaz en 2026 ? Calendrier, ménages concernés… Voici ce que l’on sait

12 JUIN 2023

Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, le gouvernement veut interdire d'ici à 2026 les chaudières au gaz qui équipent plus de 12 millions de foyers.

Fin mai, lors de la présentation de son plan de réduction des gaz à effet de serre, la Première ministre Élisabeth Borne s'était prononcée pour l'interdiction des chaudières au gaz d'ici à 2026. Malgré la levée de boucliers des professionnels, une concertation sur le sujet a été lancée en début de semaine et doit s'achever le 28 juillet pour déterminer les conditions de mise en place de cet objectif.

Combien de foyers sont concernés ?

Douze millions de foyers se chauffent au gaz dont 5 millions en maison individuelle 3,5 millions en logements collectifs avec chauffage individuel et 3,5 millions en chauffage collectif. Soit au total, 40% des ménages, rapporte l'UFC Que Choisir.

Quel est l'objectif du gouvernement ?

Cette volonté vient avec la nécessité de réduire les émissions à effet de serre d'ici à 2030. Pour autant, 2026 ne serait pas la date de remplacement obligatoire de toutes les chaudières au gaz, mais la fin des nouvelles installations.

Dans un premier temps, il serait interdit d'installer une chaudière au gaz, mais le remplacement de celles qui existent déjà n'est pas encore acté, même s'il devrait arriver à une échéance plus ou moins longue. Le gouvernement prévoit une économie de 8 millions de tonnes de CO2 par an grâce au recul des chaudières à fioul et à gaz dans le logement.

Par quoi remplacer la chaudière au gaz ?

Après l'interdiction des chaudières au fioul, l'exécutif s'attaque donc à celles au gaz pour limiter les sources fossiles. L'idée est de privilégier les pompes à chaleur notamment pour les maisons et les immeubles en chauffage collectif et la pose de radiateurs électriques pour les appartements au chauffage individuel.
Y aura-t-il des aides financières pour les particuliers pour les pompes à chaleur ?

Pour l'instant, il n'y a pas d'indications très claires sur le sujet, mais Olivier Klein a déjà parlé d'un "accompagnement" via MaPrimeRenov, le dispositif du gouvernement censé financer une partie des travaux de rénovations énergétiques des particuliers, mais qui est très décrié. Pour mémoire, actuellement, l'installation d'une chaudière au gaz coûte beaucoup moins cher qu'une pompe à chaleur air-eau, en moyenne trois fois moins.

Un réél intérêt écologique ?

De son côté, l'UFC Que choisir met en doute l'intérêt écologique de cette décision. "Remplacer ces 12 millions de chaudières à gaz par des pompes à chaleur ne va faire qu'augmenter nos émissions de gaz à effet de serre pendant des années", insiste la publication consacrée au pouvoir d'achat. Principal argument : le parc des chaudières au gaz vieillissantes et qui ne pourront plus être remplacées par des modèles récents et performants va engendrer une explosion de la consommation en hiver, de l'ordre de "10 gigawatts de plus en 2035, soit l'équivalent de 10 réacteurs nucléaires supplémentaires", selon les calculs de GRDF. Et cette surconsommation sera approvisionnée par les centrales à charbons très polluantes, par exemple.
Qu'en pensent les acteurs du secteur ?

"Stigmatiser le gaz n'est pas positif pour la France", a réagi mardi 6 juin sur franceinfo Jean-Christophe Repon.

"Je pense que si on veut réussir le défi de la transition énergétique, il faut travailler avec le gaz, en le travaillant mieux, en le verdissant, en travaillant sur des systèmes hybrides de chaudières" a indiqué le vice-président de l’Union des entreprises de proximité (U2P) et président de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).

Le 24 mai dernier, ce dernier déjà indiqué que le calendrier n’était pas tenable. "On ne peut pas dire qu'en 2026, on supprime la chaudière à gaz et qu'on forme 200 000 chauffagistes à la pompe à chaleur", avait-il déclaré lors d’un point presse.