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NOVACYT - retour Covid

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Twarog Twarog
14/08/2023 13:19:41
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+8% …

  
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Twarog Twarog
14/08/2023 11:13:13
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+7%

  
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Twarog Twarog
14/08/2023 09:25:36
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Petit vert foncé 😱

  
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Twarog Twarog
14/08/2023 02:45:05
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On va voir a reprise d’école 😨😰🥵

  
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Twarog Twarog
13/08/2023 20:50:02
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« Le test est archi positif. » Test positif, mais mauvaise nouvelle pour Brigitte. Elle vient dêtre diagnostiquée positive au Covid et devra peut-être renoncer à son week-end. « Javais prévu de voir plein de monde », se désole la retraitée bayonnaise. Autour delle, à la Pharmacie de la Nive à Bayonne, tout le monde sactive. Depuis la fin des Fêtes, 90 % des tests effectués sur place se sont révélés positifs.

Entre deux tests, visière de protection sur la tête, Agnès la pharmacienne jette un coup dœil à son écran dordinateur : « Sur Doctolib, tous les créneaux de rendez-vous pour des tests sont pris. » Pour elle, cest certainement le résultat des Fêtes de Bayonne : « Les familles se sont réunies. Depuis des lunes, il ny avait plus de cas et avec les Fêtes, je nen reviens pas, ça explose !

  
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Twarog Twarog
13/08/2023 18:34:24
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2020 - de 0,06€ jusqu’à 14€ !!!

  
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Twarog Twarog
12/08/2023 21:31:22
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Retour du Covid-19 : le nouveau variant Eris particulièrement surveillé

Malgré le suivi allégé des données depuis le vendredi 30 juin, Santé publique France confirme à franceinfo une hausse des tests positifs en laboratoire.

On le sait, les festivals de l'été et les rassemblements familiaux sont propices à la circulation des virus. Santé publique France a signalé mercredi 9 août une hausse des passages aux urgences pour suspicion de Covid, particulièrement chez les moins de deux ans ( 56 % depuis une semaine) et les adultes ( 34%) surtout les plus âgés. Hausse également des appels à SOS Médecins. Ces indicateurs sont désormais les seuls publics puisque le suivi régulier mis en place pendant trois ans de pandémie s'est arrêté le vendredi 30 juin.

Santé publique France a accepté de transmettre à franceinfo les résultats des laboratoires qu'elle continue de faire remonter, autrement dit les cas positifs des cinq régions les plus touchées, à commencer par la Nouvelle-Aquitaine (Landes et Pyrénées-Atlantiques). Les fêtes de Bayonne sont clairement pointées du doigt (1,3 million de personnes brassées jusqu’au 30 juillet). En une semaine si on rentre dans le détail, 789 cas de Covid sont donc signalés en Nouvelle-Aquitaine. Viennent ensuite l'Occitanie (730), l'Île-de-France (689), Provence-Alpes-Côte-d'Azur (638) et Auvergne-Rhône-Alpes (537), des régions de vacances. Tout cela, sans compter les auto-tests.

Il semble bien que le nouveau variant EG5.1 déjà surnommé Eris soit désormais majoritaire. Classé "à suivre" par l'OMS et lié à un sous variant d'Omicron, il s'impose aussi en Grande-Bretagne, aux États-Unis ou encore en Asie. Les cas présentant des signes respiratoires sont en hausse depuis trois semaines mais à ce stade, Eris n'est pas considéré comme violent, d'autant que les vaccins développés contre le précédent (XBB.1) semblent toujours efficaces.

Surcharge des hôpitaux ?

L'inquiétude vient toutefois de l'engorgement potentiel des hôpitaux, en particulier en prévision de l'automne, lorsque les grippes et bronchiolites surgiront. En attendant, Santé publique France rappelle l'importance des gestes barrières dès les premiers symptômes : isolement, masque, aération des pièces, lavage des mains. Attention toutefois à ne pas braquer à nouveau tout le monde, explique l'épidémiologiste Mircea Sofonea qui réclame plutôt une surveillance plus active en France, alors que les données dont il dispose ne viennent plus que de Grande-Bretagne et de Suisse... Santé publique France assure toutefois à franceinfo qu' en cas de reprise épidémique, la publication hebdomadaire des chiffres reprendra immédiatement.

  
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Twarog Twarog
12/08/2023 04:29:54
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Covid-19 : que sait-on du variant Eris, qui fait repartir l'épidémie en France ?

Par Coralie Lemke le 11.08.2023 à 18h00

Un nouveau variant du Covid-19, appelé Eris, circule en France et plus largement en Europe. Il pourrait bientôt devenir majoritaire. Sévérité, transmissibilité, vaccination... Sciences et Avenir fait le point.

Eris, un nouveau variant du Covid-19, circule depuis plusieurs semaines et risque bien de devenir la souche majoritaire à la rentrée. Il fait en tout cas repartir les contagions à la hausse en France. Sévérité, transmissibilité, vaccin... Sciences et Avenir fait le point avec Etienne Simon-Loriere virologue et responsable du Centre national des virus respiratoires pour la moitié Nord de la France, qui dirige une équipe de recherche sur l'évolution génomique des virus à ARN.

Sciences et Avenir : Que sait-on de ce virus, qui fait progresser le nombre de cas en France ?

Etienne Simon-Loriere : On sait que EG.5.1, son nom scientifique, fait partie de la lignée d'Omicron, aussi appelé XBB. L’une de ses mutations signature lui donne un léger avantage de transmissibilité. Il s’agit d’une mutation sur la position 456, arrivée par hasard chez plusieurs descendants d’Omicron. Concrètement, ce variant est un peu plus difficile à neutraliser pour l’organisme : à la surface du virus, la protéine Spike, qui est la porte d’entrée du SARS-Cov-2 dans notre organisme, est légèrement différente. Nos anticorps vont moins bien neutraliser le virus. La combinaison de sites sur lesquels nos anticorps peuvent se coller change légèrement mais reste très proches des autres variants Omicron. Il s’agit là d’une évolution de petite ampleur, rien à voir avec l’arrivée des premiers variants comme Delta, Alpha ou le premier Omicron, qui étaient tous très différents.

"Les personnes qui croisent ce virus vont être réinfectées, c'est certain"

Le virus est-il plus sévère que d’autres croisés précédemment ?

Les personnes qui croisent ce virus vont être réinfectées, c'est certain. Mais en terme de sévérité, pas d'inquiétude pour la population générale. En revanche, comme toujours avec le Covid-19, Eris menace les plus fragiles et les immunodéprimés. Il faut sensibiliser ces personnes à faire un rappel du vaccin Covid-19, n'importe quelle version. Et j'appelle les compagnies pharmaceutiques à sortir une version mise à jour du vaccin basé sur XBB (le variant Omicron) dès que possible.

Depuis quand Eris circule-t-il en France ? Risque-t-il d'être le variant majoritaire cet automne ou cet hiver ?

Il a été classifié depuis plusieurs mois déjà. Il est en tout cas plausible qu'il atteigne 51% de circulation en septembre et en octobre, au vu de sa trajectoire. Il monte tranquillement, sans que ce soit une course effrénée. En revanche, impossible de savoir de quoi décembre sera fait. En parallèle, il est d'ailleurs également en phase ascendante aux Etats-Unis et en Asie.

"Le Covid-19 reste une sorte de loterie : même ceux en bonne santé peuvent faire des formes sévères"

A quelle fréquence faut-il se faire vacciner désormais, qu'on soit une personne fragile ou non ? Quelles sont les recommandations en vigueur ?

La Haute autorité de santé (HAS) ou Santé publique France (SPF) doivent émettre des recommandations à la rentrée. Récemment, beaucoup de discussions entre spécialistes ont eu lieu pour essayer d'avoir une idée claire du temps idéal pour se faire vacciner après la dernière exposition. Si c'est trop rapproché, le boost n'est pas aussi fort et si on attend trop longtemps, on prend un risque. Dans tous les cas, le vaccin permet de faire remonter le taux d’anticorps, peu importe le booster utilisé.

Le coeur de l'épidémie est derrière nous. Alors que penser du Covid-19 désormais ? Est-ce devenu un simple virus qui circule, comme celui de la grippe, et contre lequel il faut protéger les plus faibles ?

Il y a beaucoup de biais sur cette question. Les personnes de mon entourage qui n'ont jamais de forme sévère n'ont pas la même perception que ceux qui ont perdu des proches. Moi-même, je fais partie de ceux qui sont plus prudents. Au Centre national des virus, quand je vois les rapports sur des cas sévères, ça me fend le coeur. Il ne faut pas oublier que le Covid-19 reste une sorte de loterie puisque certains, même en bonne santé, font malheureusement des formes sévères.

  
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Twarog Twarog
11/08/2023 21:40:28
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C’était à 14€ 😤😤😤

  
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Twarog Twarog
11/08/2023 16:47:59
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Retour du Covid-19 : le nouveau variant Eris particulièrement surveillé

Malgré le suivi allégé des données depuis le vendredi 30 juin, Santé publique France confirme à franceinfo une hausse des tests positifs en laboratoire.

On le sait, les festivals de l'été et les rassemblements familiaux sont propices à la circulation des virus. Santé publique France a signalé mercredi 9 août une hausse des passages aux urgences pour suspicion de Covid, particulièrement chez les moins de deux ans ( 56 % depuis une semaine) et les adultes ( 34%) surtout les plus âgés. Hausse également des appels à SOS Médecins. Ces indicateurs sont désormais les seuls publics puisque le suivi régulier mis en place pendant trois ans de pandémie s'est arrêté le vendredi 30 juin.


Santé publique France a accepté de transmettre à franceinfo les résultats des laboratoires qu'elle continue de faire remonter, autrement dit les cas positifs des cinq régions les plus touchées, à commencer par la Nouvelle-Aquitaine (Landes et Pyrénées-Atlantiques). Les fêtes de Bayonne sont clairement pointées du doigt (1,3 million de personnes brassées jusqu’au 30 juillet). En une semaine si on rentre dans le détail, 789 cas de Covid sont donc signalés en Nouvelle-Aquitaine. Viennent ensuite l'Occitanie (730), l'Île-de-France (689), Provence-Alpes-Côte-d'Azur (638) et Auvergne-Rhône-Alpes (537), des régions de vacances. Tout cela, sans compter les auto-tests.



Il semble bien que le nouveau variant EG5.1 déjà surnommé Eris soit désormais majoritaire. Classé "à suivre" par l'OMS et lié à un sous variant d'Omicron, il s'impose aussi en Grande-Bretagne, aux États-Unis ou encore en Asie. Les cas présentant des signes respiratoires sont en hausse depuis trois semaines mais à ce stade, Eris n'est pas considéré comme violent, d'autant que les vaccins développés contre le précédent (XBB.1) semblent toujours efficaces.


Surcharge des hôpitaux ?


L'inquiétude vient toutefois de l'engorgement potentiel des hôpitaux, en particulier en prévision de l'automne, lorsque les grippes et bronchiolites surgiront. En attendant, Santé publique France rappelle l'importance des gestes barrières dès les premiers symptômes : isolement, masque, aération des pièces, lavage des mains. Attention toutefois à ne pas braquer à nouveau tout le monde, explique l'épidémiologiste Mircea Sofonea qui réclame plutôt une surveillance plus active en France, alors que les données dont il dispose ne viennent plus que de Grande-Bretagne et de Suisse... Santé publique France assure toutefois à franceinfo qu' en cas de reprise épidémique, la publication hebdomadaire des chiffres reprendra immédiatement.


  
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