L'avenir de la gestion de patrimoine est au beau fixe.

Les “IA-native” sont les investisseurs de demain

https://www.entreprendre.fr/limpact-de-lia-sur-la-gestion-de-patrimoine/

Trois choses sont absolument nécessaires.

Premièrement de l'or, deuxièmement de l'or, troisièmement de l'or.

D’après une étude de KKR intitulée "loud and clear", la dette privée et les infrastructures sont privilégiées par les family office en 2024 au détriment des actions cotées et du cash.

Le nombre de family offices dans le monde a triplé depuis 2019, ce qui a déclenché une nouvelle course entre les sociétés de capital-investissement, les fonds spéculatifs et les sociétés de capital-risque pour attirer leurs investissements.

Selon un nouveau rapport de Preqin, le nombre de family offices dans le monde a dépassé les 4 500 l'année dernière, avec une concentration en Amérique du Nord.

Selon les experts, les family offices gèrent aujourd'hui au moins 6 000 milliards de dollars, et leurs rangs ne cessent de grossir.

Au cours des deux dernières décennies, la croissance économique mondiale a été assez décente, avec plus de 3 % par an. Cependant, elle a été reléguée au second plan par la croissance de la richesse. Entre 2000 et 2020, celle-ci est passée de 160 billions de dollars, soit quatre fois la production mondiale, à 510 billions de dollars, soit six fois la production.

Bien qu'une grande partie de cette richesse soit immobilisée dans des biens immobiliers et d'autres actifs, la réserve de liquidités est encore très importante et représente un quart du total. Le cabinet de conseil Bain estime qu'il va presque doubler, passant d'un peu plus de 130 000 milliards de dollars à près de 230 000 milliards de dollars d'ici à 2030, ce qui signifie qu'un prix de 100 000 milliards de dollars est à gagner. Ce boom devrait contribuer à faire passer les revenus mondiaux de la gestion de patrimoine de 255 milliards de dollars à 510 milliards de dollars.