oh mais elle s'envole ! - Page 3
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bonjour colet
je te l'ai dit , si tu doutes , tu changes de valeur , et chacun fait comme il veut ,
je ne pense pas que tu sois désolé,
je te l'ai dit , si tu doutes , tu changes de valeur , et chacun fait comme il veut ,
je ne pense pas que tu sois désolé,
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maintenant on serait plutôt enclin à dire elle s'envolatilise !
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alors domi ?
le 21 tu me disais "tu attends la confirmation que tu désires , ne vas pas contre tes doutes ,
tu devrais peut être changer de valeur si tu doutes tellement , ce n'est pas bon le doute , il te manque la conviction et ce n'est pas les graphiques qui te l'apporteront , un temps oui mais après il faut faire des choix et si tenir "
voilà je m'y tiens toujours, sorry pour toi
je reste à l'écart sans aucun regret mais toujours un oeil dessus !
le 21 tu me disais "tu attends la confirmation que tu désires , ne vas pas contre tes doutes ,
tu devrais peut être changer de valeur si tu doutes tellement , ce n'est pas bon le doute , il te manque la conviction et ce n'est pas les graphiques qui te l'apporteront , un temps oui mais après il faut faire des choix et si tenir "
voilà je m'y tiens toujours, sorry pour toi
je reste à l'écart sans aucun regret mais toujours un oeil dessus !
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LE MONDE | 25.03.2014 à 11h38 • Mis à jour le 25.03.2014 à 13h52 |
Jean-Michel Bezat
A
Le PDG d'Alstom, Patrick Kron.
Le PDG d'Alstom présentera, le 7 mai, les résultats de l'exercice fiscal décalé avril 2013-mars 2014 du groupe. Ils ne seront pas brillants, a prévenu Patrick Kron, le 21 janvier, en annonçant qu'il différait le rebond de sa marge opérationnelle, attendu en 2014-2015.
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Les analystes se demandent si le conglomérat français (équipements pour centrales et construction ferroviaire) a une stratégie de sortie de crise. Crise? M. Kron préfère parler de difficultés, surtout sensibles dans le secteur des nouvelles centrales thermiques, son «marché de prédilection», dit-il. Ce segment souffre de surcapacités : le marché mondial est tombé de 260 gigawatts (GW) en 2008 à moins de 150 GW en 2014.
L'état de santé du groupe, doté d'un carnet de commandes de 51 milliards d'euros (2,5 années de ventes), n'a pourtant rien à voir avec celui de 2003, quand Pierre Bilger avait dû passer à M. Kron les rênes d'une société moribonde.
« Nous n'avions plus de fonds propres ; aujourd'hui, on dispose de 5 milliards, note le PDG. La dette était hors de contrôle, nous avons 3 milliards de trésorerie et de lignes de crédit disponibles. » Et Alstom n'a plus autant de déboires dans la gestion des contrats ferroviaires et le fonctionnement de ses grosses turbines à gaz, qui avaient fait fuir des clients inquiets de la survie même de l'entreprise.
Vidéo suggérée sur le même sujet
Alstom et les renouvelables: Patricia Laurent, François Valmage et Pierre Nougué, dans Green Business – 23/02 3/4
Le 23 février, le financement des énergies renouvelables et l'innovation dans les énergies renouvelables chez Alstom étaient les thèmes abordés par Patricia Laurent, directrice de la rédaction de Green Univers, François Valmage, directeur de la stratégie et du développement d'Alstom Renewable Power, et Pierre Nougué, co-fondateur du Cleantech Open France, avec Nathalie Croisé, dans Green Business, sur BFM Business. Tous les dimanches, Green Business, présentée par Nathalie Croisé, met en avant les démarches de patrons précurseurs, d'entrepreneurs innovants mais aussi et simplement de chefs d'entreprise de plus en plus conscients de leur impact sur l'environnement. BFMBusiness, première chaîne d’informations économiques en France. Retrouvez toute l’actualité économique et financière sur BFMBusiness.com. Pour ne rien manquer de nos vidéos, rendez-vous sur : http://www.bfmtv.com/video/bfmbusiness/
16:55
Sur le papier, Alstom est une belle société. Elle réalise 20,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires. « Elle est au premier rang mondial dans tous ses métiers », insiste M. Kron. Tout sauf un bateau ivre sans cap ni capitaine. «Ma stratégie consiste à privilégier le développement organique sur trois pieds» : croissance, notamment vers les pays émergents ; recherche de l'excellence opérationnelle ; innovation grâce au maintien des crédits de recherche et développement (R & D).
FINANCEMENT
RETROUVER UNE MARGE DE MANOEUVRE
Alstom n'en reste pas moins en convalescence. Au mieux de sa forme en 2008-2009, il souffre aujourd'hui de la frilosité de ses clients. En Bourse, son action est, de l'aveu de M. Kron, « massacrée » : le cours est tombé à 20,30 euros (35 euros il y a un an). M. Kron indiquait en janvier qu'il faudra «amplifier la réduction de coûts» et qu'après l'annonce de 1 300 suppressions d'emplois (sur 93 000) «il faudra, hélas, d'autres ajustements».
Le groupe cherche de 1 à 2 milliards d'euros, mais n'a, en revanche, «aucun projet d'augmentation de capital. Il n'en a pas besoin», tranche son patron. Une entrée de l'Etat au capital – la rumeur a couru – « est une pure élucubration ». Alstom s'est lancé dans la cession d'actifs non stratégiques et dans la recherche de partenaires – industriels ou financiers – intéressés par une prise de participation dans la branche Alstom transport.
Mais le vendeur n'est pas dans la meilleure position pour négocier et nombre d'analystes jugent que le scénario le plus plausible est celui d'une introduction en Bourse qui pourrait drainer jusqu'à 1 milliard d'euros. « Je ne veux en aucun cas céder la branche transport », assure M. Kron. Entrée en Bourse ou entrée de partenaires industriels ou financiers, « la décision ne sera pas prise dans les prochains mois ».
CONCURRENCE
CONTRER LA BAISSE DES PRIX
L'environnement a profondément changé depuis que M. Kron a pris les commandes du conglomérat. A ses rivaux traditionnels – General Electric (GE), Siemens, ABB, Bombardier… – se sont ajoutés ceux venus des pays émergents.
La guerre des prix est sans merci, même dans les pays aux poches profondes comme la Chine ou les monarchies du golfe Arabo-Persique. «Je ne sous-estime pas la concurrence ; il faut encore baisser nos coûts, dit M. Kron. Nous y sommes parvenus. Notre marge brute, en pourcentage des ventes, est restée stable ces dernières années quand nos prix baissaient. C'est la preuve qu'il se passe quelque chose sur nos coûts. Mon objectif est de les réduire de 1,5 milliard d'ici à 2016.»
INNOVATION
DE NOUVEAUX MÉTIERS
La croissance doit s'appuyer, selon M. Kron, sur des investissements en R & D. Avec 737 millions d'euros en 2013, ils sont à « un niveau élevé historique » et portent leurs fruits, assure-t-il : « Sur les douze derniers mois, 20 % des équipements vendus n'existaient pas il y a trois ans : turbines, éoliennes offshore, signalisation ferroviaire… C'est la preuve que la finalité de la R & D, ce sont les nouveaux produits. »
Il est vital pour Alstom de garder une avance technologique, par exemple avec l'automotrice à grande vitesse (AGV), qui succède au TGV. Et de se diversifier. Le groupe s'est développé dans les réseaux « intelligents », un de ses quatre métiers avec les centrales, les énergies renouvelables et le transport.
Il a aussi fait le pari du solaire, des énergies marines et de l'éolien offshore, comme Siemens et GE. C'est un pari risqué au moment où les pays européens revoient à la baisse leurs aides aux énergies renouvelables matures. « Dans l'éolien offshore, on propose une turbine de six mégawatts, l'Haliade 150, qui marche bien et répond aux besoins du marché. Sur ce point, notre stratégie me paraît la bonne. » M. Kron n'envisage donc pas de partenariat sur le modèle Areva-Gamesa ou Vestas-Mitsubishi.
RAPPROCHEMENTS
AVEC QUI ET DANS QUELS MÉTIERS ?
Les mariages appâtent les banquiers d'affaires, friands de fusions lucratives. Surtout depuis que Bouygues a déprécié la valeur de ses 29,4 % d'Alstom de 1,4 milliard d'euros du fait du recul du titre en Bourse et de la baisse des prévisions de flux de trésorerie. Va-t-il sortir ? Le scénario d'une fusion avec Areva a vécu ; certains évoquent celui d'un accord avec Siemens pour créer un « Airbus du ferroviaire » ou un rapprochement avec Thales dans la signalisation ferroviaire.
Alstom est une compagnie de fin de cycle, dont l'activité chute après celle des autres et redémarre plus tard. Toute la difficulté est, selon M. Kron, de «trouver le bon équilibre entre notre capacité à résister en période de basses eaux et notre aptitude à rebondir ensuite».
Jean-Michel Bezat
A
Le PDG d'Alstom, Patrick Kron.
Le PDG d'Alstom présentera, le 7 mai, les résultats de l'exercice fiscal décalé avril 2013-mars 2014 du groupe. Ils ne seront pas brillants, a prévenu Patrick Kron, le 21 janvier, en annonçant qu'il différait le rebond de sa marge opérationnelle, attendu en 2014-2015.
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Les analystes se demandent si le conglomérat français (équipements pour centrales et construction ferroviaire) a une stratégie de sortie de crise. Crise? M. Kron préfère parler de difficultés, surtout sensibles dans le secteur des nouvelles centrales thermiques, son «marché de prédilection», dit-il. Ce segment souffre de surcapacités : le marché mondial est tombé de 260 gigawatts (GW) en 2008 à moins de 150 GW en 2014.
L'état de santé du groupe, doté d'un carnet de commandes de 51 milliards d'euros (2,5 années de ventes), n'a pourtant rien à voir avec celui de 2003, quand Pierre Bilger avait dû passer à M. Kron les rênes d'une société moribonde.
« Nous n'avions plus de fonds propres ; aujourd'hui, on dispose de 5 milliards, note le PDG. La dette était hors de contrôle, nous avons 3 milliards de trésorerie et de lignes de crédit disponibles. » Et Alstom n'a plus autant de déboires dans la gestion des contrats ferroviaires et le fonctionnement de ses grosses turbines à gaz, qui avaient fait fuir des clients inquiets de la survie même de l'entreprise.
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Alstom et les renouvelables: Patricia Laurent, François Valmage et Pierre Nougué, dans Green Business – 23/02 3/4
Le 23 février, le financement des énergies renouvelables et l'innovation dans les énergies renouvelables chez Alstom étaient les thèmes abordés par Patricia Laurent, directrice de la rédaction de Green Univers, François Valmage, directeur de la stratégie et du développement d'Alstom Renewable Power, et Pierre Nougué, co-fondateur du Cleantech Open France, avec Nathalie Croisé, dans Green Business, sur BFM Business. Tous les dimanches, Green Business, présentée par Nathalie Croisé, met en avant les démarches de patrons précurseurs, d'entrepreneurs innovants mais aussi et simplement de chefs d'entreprise de plus en plus conscients de leur impact sur l'environnement. BFMBusiness, première chaîne d’informations économiques en France. Retrouvez toute l’actualité économique et financière sur BFMBusiness.com. Pour ne rien manquer de nos vidéos, rendez-vous sur : http://www.bfmtv.com/video/bfmbusiness/
16:55
Sur le papier, Alstom est une belle société. Elle réalise 20,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires. « Elle est au premier rang mondial dans tous ses métiers », insiste M. Kron. Tout sauf un bateau ivre sans cap ni capitaine. «Ma stratégie consiste à privilégier le développement organique sur trois pieds» : croissance, notamment vers les pays émergents ; recherche de l'excellence opérationnelle ; innovation grâce au maintien des crédits de recherche et développement (R & D).
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RETROUVER UNE MARGE DE MANOEUVRE
Alstom n'en reste pas moins en convalescence. Au mieux de sa forme en 2008-2009, il souffre aujourd'hui de la frilosité de ses clients. En Bourse, son action est, de l'aveu de M. Kron, « massacrée » : le cours est tombé à 20,30 euros (35 euros il y a un an). M. Kron indiquait en janvier qu'il faudra «amplifier la réduction de coûts» et qu'après l'annonce de 1 300 suppressions d'emplois (sur 93 000) «il faudra, hélas, d'autres ajustements».
Le groupe cherche de 1 à 2 milliards d'euros, mais n'a, en revanche, «aucun projet d'augmentation de capital. Il n'en a pas besoin», tranche son patron. Une entrée de l'Etat au capital – la rumeur a couru – « est une pure élucubration ». Alstom s'est lancé dans la cession d'actifs non stratégiques et dans la recherche de partenaires – industriels ou financiers – intéressés par une prise de participation dans la branche Alstom transport.
Mais le vendeur n'est pas dans la meilleure position pour négocier et nombre d'analystes jugent que le scénario le plus plausible est celui d'une introduction en Bourse qui pourrait drainer jusqu'à 1 milliard d'euros. « Je ne veux en aucun cas céder la branche transport », assure M. Kron. Entrée en Bourse ou entrée de partenaires industriels ou financiers, « la décision ne sera pas prise dans les prochains mois ».
CONCURRENCE
CONTRER LA BAISSE DES PRIX
L'environnement a profondément changé depuis que M. Kron a pris les commandes du conglomérat. A ses rivaux traditionnels – General Electric (GE), Siemens, ABB, Bombardier… – se sont ajoutés ceux venus des pays émergents.
La guerre des prix est sans merci, même dans les pays aux poches profondes comme la Chine ou les monarchies du golfe Arabo-Persique. «Je ne sous-estime pas la concurrence ; il faut encore baisser nos coûts, dit M. Kron. Nous y sommes parvenus. Notre marge brute, en pourcentage des ventes, est restée stable ces dernières années quand nos prix baissaient. C'est la preuve qu'il se passe quelque chose sur nos coûts. Mon objectif est de les réduire de 1,5 milliard d'ici à 2016.»
INNOVATION
DE NOUVEAUX MÉTIERS
La croissance doit s'appuyer, selon M. Kron, sur des investissements en R & D. Avec 737 millions d'euros en 2013, ils sont à « un niveau élevé historique » et portent leurs fruits, assure-t-il : « Sur les douze derniers mois, 20 % des équipements vendus n'existaient pas il y a trois ans : turbines, éoliennes offshore, signalisation ferroviaire… C'est la preuve que la finalité de la R & D, ce sont les nouveaux produits. »
Il est vital pour Alstom de garder une avance technologique, par exemple avec l'automotrice à grande vitesse (AGV), qui succède au TGV. Et de se diversifier. Le groupe s'est développé dans les réseaux « intelligents », un de ses quatre métiers avec les centrales, les énergies renouvelables et le transport.
Il a aussi fait le pari du solaire, des énergies marines et de l'éolien offshore, comme Siemens et GE. C'est un pari risqué au moment où les pays européens revoient à la baisse leurs aides aux énergies renouvelables matures. « Dans l'éolien offshore, on propose une turbine de six mégawatts, l'Haliade 150, qui marche bien et répond aux besoins du marché. Sur ce point, notre stratégie me paraît la bonne. » M. Kron n'envisage donc pas de partenariat sur le modèle Areva-Gamesa ou Vestas-Mitsubishi.
RAPPROCHEMENTS
AVEC QUI ET DANS QUELS MÉTIERS ?
Les mariages appâtent les banquiers d'affaires, friands de fusions lucratives. Surtout depuis que Bouygues a déprécié la valeur de ses 29,4 % d'Alstom de 1,4 milliard d'euros du fait du recul du titre en Bourse et de la baisse des prévisions de flux de trésorerie. Va-t-il sortir ? Le scénario d'une fusion avec Areva a vécu ; certains évoquent celui d'un accord avec Siemens pour créer un « Airbus du ferroviaire » ou un rapprochement avec Thales dans la signalisation ferroviaire.
Alstom est une compagnie de fin de cycle, dont l'activité chute après celle des autres et redémarre plus tard. Toute la difficulté est, selon M. Kron, de «trouver le bon équilibre entre notre capacité à résister en période de basses eaux et notre aptitude à rebondir ensuite».
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Augustus
25/03/2014 18:03:30
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maintenant il faut aller vers 21
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Alstom : le pire est passé ?
Le 24/03/2014, 11:11 BOU
Alstom se sort plutôt bien d'une séance difficile pour le CAC40, en s'adjugeant 1,1% à 20,38 euros, dans près de 1,35 million d'actions négociées à 11h00 sur le marché parisien.
Bloomberg signale que le directeur financier du groupe, interrogé lors de la conférence globale sur l'industrie de BofA ML, a estimé que le pire est passé pour le groupe, même s'il a concédé que le redressement sera lent.
La prudence reste de mise parmi les courtiers sur le dossier, avec 9 avis négatif, 11 neutres et seulement 4 positifs chez les 24 analystes qui se sont prononcés depuis le début de l'année.
L'objectif de cours moyen ressort malgré tout à 23,55 euros.
Le 24/03/2014, 11:11 BOU
Alstom se sort plutôt bien d'une séance difficile pour le CAC40, en s'adjugeant 1,1% à 20,38 euros, dans près de 1,35 million d'actions négociées à 11h00 sur le marché parisien.
Bloomberg signale que le directeur financier du groupe, interrogé lors de la conférence globale sur l'industrie de BofA ML, a estimé que le pire est passé pour le groupe, même s'il a concédé que le redressement sera lent.
La prudence reste de mise parmi les courtiers sur le dossier, avec 9 avis négatif, 11 neutres et seulement 4 positifs chez les 24 analystes qui se sont prononcés depuis le début de l'année.
L'objectif de cours moyen ressort malgré tout à 23,55 euros.
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20,15 belle clôture
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heureusement que tu ne l'as pas fait tu n'aurais pas pu écrire , plaie d'argent n'est pas mortel si on reste raisonnable , et avec le temps on cicatrise il faut un peu de patience , nul n'est devin , on serait tous très riches !
20,065 c'est un bon début
20,065 c'est un bon début
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20,03 !!! enfin
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et j'ai arrete le chocolat
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maintenant tu as appris la sagesse , tu attends ,
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en ce qui me concerne je suis rentré à 24 ( ce jour là j'aurais du m'arracher le bras droit avec le gauche ) quand elle a chuté de 29 € à 24 , en pensant qu'alstom ne pouvait pas chuter plus bas ... je suis passé du doute à la résignation ...rires !
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on cherche tous à faire une pv , lol , ce qui est normal , c'est pour cela que je te conseille de changer de valeur car tu n'arrives pas à faire le choix , de l'extérieur je te sens trop dans le doute ,
je respecte le choix de chacun ,
je respecte le choix de chacun ,
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chacun ses choix et sa technique
tu dis cela parce que tu voudrais qu'elle remonte
moi je cherche une PV !
tu dis cela parce que tu voudrais qu'elle remonte
moi je cherche une PV !
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tu attends la confirmation que tu désires , ne vas pas contre tes doutes ,
tu devrais peut être changer de valeur si tu doutes tellement , ce n'est pas bon le doute , il te manque la conviction et ce n'est pas les graphiques qui te l'apporteront , un temps oui mais après il faut faire des choix et si tenir
tu devrais peut être changer de valeur si tu doutes tellement , ce n'est pas bon le doute , il te manque la conviction et ce n'est pas les graphiques qui te l'apporteront , un temps oui mais après il faut faire des choix et si tenir
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domi
tu t'énerves là !
je ne cesse de dire que j'attend pour en prendre éventuellement
mais pour l'instant au cas où u=tu comprendrais pas bien, je reste à l'écart !.
peux pas être plus clair avec Augustus on attend une confirmation
tu t'énerves là !
je ne cesse de dire que j'attend pour en prendre éventuellement
mais pour l'instant au cas où u=tu comprendrais pas bien, je reste à l'écart !.
peux pas être plus clair avec Augustus on attend une confirmation
Message complété le 21/03/2014 14:36:15 par son auteur.
j'ai déjà écrit que je ne voulais pas me faire plumer il y a quelques jours et ai eu raison à ce moment là de ne pas croire certains, avec Augustus d'ailleurs !
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Augustus
21/03/2014 14:20:58
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@ domin on aime bien aussi ALSTOM c'est pour cela qu'on la suit
Message complété le 21/03/2014 14:21:59 par son auteur.
ps:pas de titres
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je ne m'affole pas , je suis là pour un temps certain ,
au fait qu'attends tu ?
le sais tu ?
que veux tu ?
en as tu ?
au fait qu'attends tu ?
le sais tu ?
que veux tu ?
en as tu ?
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t'affoles pas
j'ai un oeil sur son carnet ... instructif pour savoir les forces en présence
j'ai un oeil sur son carnet ... instructif pour savoir les forces en présence
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