Renault on cherchera à attraper un point bas sur le titre

Du fait de ses positions importantes en Russie, le constructeur automobile français est aux premières loges de la crise actuelle. Difficile aujourd'hui de mesurer l'impact précis sur les comptes 2022, mais les investisseurs ont pris les devants et ont expédié le titre sur des niveaux de valorisation très bas.

Techniquement on note une zone de support autour de 2à,50 euros. Un niveau qui avait déjà concentré de l'intérêt lors de la crise sanitaire. Nous revenons donc sur ces paliers de stress. Sur l'aspect de l'analyse technique on s'attachera donc à ce niveau. Un achat sur ces bases limite tout de même les risques par rapport à la capitalisation du groupe sur le marché et permet de se placer à bon compte pour le moyen terme. Gardons néanmoins en tête que la nervosité est toujours présente sur le dossier et par conséquent la volatilité va demeurer élevée. Il faudra savoir en profiter pour rentrer le plus bas possible.

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