Punaises de lit: le gouvernement tente de contenir l'émoi général
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Pour l’ambiance générales, antre misère intellectuels et intellectualismes, la guerre aux punaises est déclarée, ce n’est pas moi qui le dis, C’est Coluche, il doit bien se marrer.
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FEREZE
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Quelques centaines de punaises à l'Assemblée Nationale ferait le plus grand bien, car il ou elle ne pourrait plus dormir sur leur lieu de travail, Si on peut appeler ça un travail ?
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Message complété le 05/10/2023 10:14:27 par son auteur.
Sorry,je comptais poster mais l'inspiration m'a fait défaut.
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"L’invasion des punaises de lit" pourrait être un prétexte pour faire passer une loi qui permet la violation du domicile.
"Il faut qu'on puisse imposer le fait d'entrer dans les logements pour les traiter", estime Mendes de Renaissance.
pire qu'en Chine, ils sont très déterminés!
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Comme disait le philosophe né la même année que Charlie Chaplin,...
La lumière de ce qui est public obscurcit tout !
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papygaga
« « "Les insectes suceurs de sang sont habitués des chambres..."
Mince ! je ne savais pas que nos politiciens étaient habitués des chambres! » »
Les chambres, je ne sais pas, mais pour sucer le sang du contribuable, ça, ils savent faire.
Les punaises de lit, on en parle , sans le crier à tue-tête, depuis 3 ou 4 ans. Et d’une seul coup, la presse les découvre.
Et pis, le retour du Covid (ça a l’air de moins bien marcher). Et pis encore, la venue du Pape, et macron à la messe, et pis la coupe du monde du rugby, et pis les J.O. en 24, et pis.. (*)
Et pis macron qui va construire des gendarmeries, des centrales nucléaires, réviser le statut des référendums, et nos impôts qui vont baisser, et pis…augmenter les enseignants, et pis....etc….
J’me d’mande si tout ça, ce ne serait pas des fumigènes pour masquer les gros problèmes : genre l’inflation qui n’en finit pas de baisser mais qu’on paye toujours aussi cher, prix des carburants, de l’électricité, la dette qui s’aggrave en continu, le mur des faillites qui se monte brique après brique, la chômage qui baisse tout l’temps malgré les fermetures de PME-PMI, la crise du logement qui s’annonce redoutable, la récession qui guette au coin du bois, l’immigration qui ne diminue pas, et pis……
J’me d’mande si je ne les ai pas inventé, ces petites misères.
(*) Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, macron a bien souligné que ces évènements, tout en même temps, se sont bien déroules, sans bagnoles crâmées, sans boutiques dévalisées.
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une nouvelle distraction du théâtre des guignols qui permet de ne pas parler des choses vitales au pays !!
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"Les insectes suceurs de sang sont habitués des chambres..."
Mince ! je ne savais pas que nos politiciens étaient habitués des chambres!
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Y'a boucoup moins de Sollicitude et de tapage médiatique quand ce genre de problème touche la province...
A quelques mois de l'ouverture des jeux olympiques, ça fait vraiment tâche... Mais on continue de louer partout et notamment à la capitale les chantres de la mondialisation...
Le pire encore, c'est que ce sont les riches qui sont les pires vecteurs de déplacement des sources de contaminations.
ça vous rappelles rien ????
Vous avez la mémoire courte : Il semble bien qu'il y a eu une station de ski autrichienne où s'était donné une fiesta de riches et où les participants sont rentrées avec le Covid contaminer leurs congénères
Un petit rappel :
"Plus de 6 000 personnes de 45 pays différents affirment qu’elles ou leurs proches ont été contaminés dans la station de ski d’Ischgl en mars 2020. La responsabilité des autorités est pointée du doigt.
Cluster à Ischgl : la gestion autrichienne de la pandémie de Covid-19 devant les tribunaux
Le premier procès intenté par une des familles endeuillées par le Covid-19 dans la station de ski d’Ischgl dans le Tyrol autrichien s'ouvre vendredi à Vienne. La responsabilité et la négligence des autorités en mars 2020 sont pointées par l'avocat de Sieglinde Schopf, plaignante dont le mari a succombé au Covid en quelques jours.
Publié le : 17/09/2021
https:// www.france24.com/fr/europe/20210917-propagation-du-covid-19-%C3%A0-ischgl-la-gestion-de-la-pand%C3%A9mie-devant-les-tribunaux
Dans l'univers agricole, on a pour habitude de dire que l'on ne récolte que ce que l'on mérite...
ce serait bien que les écologiste se soucient de l'extermination de ces pauvres petites bêtes, non ?
D'habitude, ils ont toujours des avis ????
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Il n'y a rien d'autre pour faire peur ? 👎 Il faudrait éviter de tomber dans la psychose .....
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"Il n'y a pas de recrudescence": le gouvernement tente de rassurer face à l'angoisse suscitée par des signalements de punaises de lit, rapportés frénétiquement jusque dans les médias étrangers qui rappellent que Paris accueillera les Jeux olympiques l'an prochain.
Les insectes suceurs de sang sont habitués des chambres mais les usagers des métros et des trains les craignent aussi, bien que RATP et SNCF assurent n'en avoir pas trouvés récemment, après des signalements. Pour convaincre le grand public, le ministre délégué aux Transports leur a demandé d'être transparent.
"J'ai demandé à l'ensemble des opérateurs de publier les données sur les cas signalés, les cas avérés" et "les actions" mises en œuvre, a déclaré le ministre, Clément Beaune, lors d'un point presse mercredi après avoir réuni des entreprises de transport (dont l'aérien), martelant qu'il n'y avait "pas de recrudescence" de la présence de punaises de lit dans les transports publics.
Il y a une "préoccupation réelle", a insisté M. Beaune, mettant toutefois en garde contre "les fake news".
Le gouvernement a programmé une réunion interministérielle sur le sujet vendredi, qui débouchera sur "des décisions et des orientations", a assuré mercredi le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, soucieux de "répondre à l'angoisse légitime des Français".
En cette rentrée, les punaises de lit semblent s'être immiscées dans les moindres recoins du quotidien des Français. Dans les discussions en terrasse comme dans le métro parisien, où plus personne ne s'étonne de voir ses voisins inspecter leur siège avant de s'asseoir.
Les cinémas UGC ont tenté de rassurer les esprits début septembre après que certains spectateurs ont fait état sur les réseaux sociaux de punaises dans un de leur établissement. Ils avaient fait le point sur leur procédure d’urgence, s’engageant à l’enclencher dès qu’il y aurait un signalement remonté par les spectateurs.
Malgré la mise au point, certains spectateurs évoquent depuis sur les réseaux sociaux leur crainte de retourner dans les salles obscures...
- Inquiétude générale -
Disparus de la vie quotidienne dans les années 1950, ces insectes qui se nourrissent de sang humain ont fait leur grand retour depuis une trentaine d'années dans les pays développés à la faveur d'un mode de vie plus nomade, de consommations favorisant l'achat de seconde main et d'une résistance croissante aux insecticides.
Rien n'indique une brusque invasion, mais la tendance de long terme est réelle. Les chiffres dévoilés en juillet par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) indiquent qu'en France, plus d'un foyer sur dix a été touché par les punaises de lit ces cinq dernières années.
"J'en ai eu de 2018 jusqu'en 2020", confie à Paris l'une de ces Françaises, Myriam Dufrasne, conseillère indépendante en immobilier. "Plusieurs fois, j'ai été obligée de jeter la literie, les vêtements, à les laver à plus de 60 degrés, ça veut dire les vêtements de mes enfants plus mes vêtements dans les laveries..."
La faculté de droit d’Aix-en-Provence a, elle, décidé mercredi de ne pas organiser de cours jusqu'à vendredi dans deux amphithéâtres, fréquentés par quelques 3.000 étudiants, "par précaution", après que des étudiants ont affirmé avoir vu des punaises de lit.
Avant cela, au moins deux établissements scolaires infectés dans le sud du pays ont dû fermer temporairement. Dans le nord, un service d'urgence hospitalier a dû être délocalisé une journée après la découverte de foyers de punaises de lit.
- "Zéro cas avéré" -
Si ces nuisibles suscitent une telle inquiétude, "c'est parce que le problème concerne tout le monde, quel que soit l'âge ou le statut social, les riches comme les pauvres", estime Pascal Delaunay, parasitologue et entomologiste médical au CHU de Nice (sud-est). "Certes la punaise de lit n'est pas vecteur de maladies, mais c'est épuisant physiquement et nerveusement".
Quant à sa prolifération en France, "c'est une réalité devenue difficile à nier. Depuis cinq à sept ans, on assiste à une augmentation exponentielle des foyers d'infestation", poursuit le spécialiste.
Mais le ministre chargé des Transports insiste: "Il n'y a pas de recrudescence des cas, pas de psychose, pas d'angoisse à avoir".
"Ces dernières semaines, une dizaine de cas ont été signalés à la RATP (...) tous ont été vérifiés" et il y avait "zéro cas avéré". A la SNCF, il y a eu "37 cas" signalés "ces dernières semaines" et, là aussi, "tous vérifiés, zéro avéré", a-t-il ajouté.
er-cl-iw-may-ays/ys/ico/dch
© 2023 AFP
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