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Société générale Et erreur de configuration de l'ordinateur

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01/04/2024 17:54:42
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pas gagner l’histoire au palais de l'elysée

Le message de Jouahri à la France :

Nos banques ne sont pas des centres d’appels. La banque n’est pas une entreprise comme les autres

by Nawfal Laarabi 21 mars 2024 Publication le1.ma

Emmanuel Macron ne l’avait visiblement pas vue venir. Pensant user de subterfuges de communication pour décrocher le jackpot en cédant la Société Générale à l’ex-maître incontesté du service client, MHE, mais la réalité est tout autre. Eh non, Monsieur le Président, au Maroc, on ne vend pas une banque comme on vend un centre d’appel. L’acquéreur doit non seulement satisfaire à des exigences rigoureuses, mais également solliciter un nouvel agrément de Bank Al-Maghrib. Abdellatif Jouahri, son gouverneur, l’a lui-même clairement exigé, en présence de témoins : la presse marocaine.

La France a-t-elle misé sur le mauvais cheval pour opérer un de ses désengagements majeurs du système financier marocain ? Si l’on se fie au ton chargé avec beaucoup de sarcasme, et à la fermeté affichée par le gouverneur de la Bank al-Maghrib lors de sa conférence de presse du 19 mars, il semblerait bien que oui.

«Épargnez-moi vos fables, en tant que régulateur je pourrais plutôt vous instruire sur l’état financier de votre entreprise et comment la crise russe impacte vos opérations et filiales», c’est en substance le recadrage qu’Abdellatif Jouahri a infligé au patron français de la Société générale, venu l’informer de son intention de céder la filiale marocaine.

«Nous examinerons votre requête lorsque vous serez prêts. Cependant, les règles sont claires : si cette transaction affecte le contrôle de la banque, une nouvelle autorisation est requise», a souligné Jouahri.

Il précise ensuite : «Puisque vous possédez plus de 50% du capital, l’acquéreur doit obligatoirement solliciter nouvel agrément bancaire».
A ce point de la discussion, tout ce qui a été répété dans la presse médias et et les cercles d’influence à propos du énième coup magistral de Moulay Hafid Elalamy commence à s’évaporer.

Sous ces conditions, l’accès de Saham au métier de la banque, après avoir cédé son activité assurance, devient plus ardu qu’anticipé. MHE, connu pour influencer les décisions financières, politiques et administratives afin de «closer» rapidement ses deals et avaler ses proies, se trouve désormais face à un environnement moins manipulable que par le passé. Pour une fois, il ne pourra pas faire mieux que ses «amis», les Bensallah.

D’autant plus, Jouahri a manifesté son scepticisme envers MHE, un personnage qui n’a cessé de convoiter le trône d’Othman Benjelloun. Le vieux lion, gardien du temple financier, a mis les points sur les i avec le directeur français de la Société Générale : venir me dire que celui-ci est acheteur ne suffit pas. Ce n’est pas ainsi que les choses fonctionnent.

«Je n’accorde aucun agrément sans un examen approfondi du dossier : quel est le projet industriel de l’acheteur, son business plan, sa valeur ajoutée à lui. Si l’opération est rentable pour la banque et pour le Maroc, alors “Bismillah”. Sinon, pas d’agrément.
L’affirmation la plus révélatrice de Jouahri fut :

«Si vous avez décidé de vendre même dans le cadre du Maroc, voici l’acheteur pour qu’on puisse donner notre aval et concrétiser l’opération, et voici les documents requis.»

Abdellatif Jouahri a clairement signalé à la France que les banques marocaines ne sont pas des call centers. Intégrer ou quitter le secteur bancaire marocain est soumis à des règles précises, et une cession ne se résume pas à un simple communiqué de presse.

Moulay Hafid Elalamy, aussi bon qu’il peut être, a démontré au fil des années un opportunisme marqué dans ses affaires. Visant toujours plus grand, il ne s’intéresse pas à un actif mais à l’ensemble du marché. Il se lance ensuite dans une course effrénée de taille avant de céder son affaire et de se remplir personnellement les poches.

Il a cette capacité de gestion des projets d’acquisition et de cession qui le classe davantage parmi les prédateurs que des bâtisseurs.
Le métier de la banque ne se presse pas à ce type de profils d’homme d’affaires. Une banque n’est ni CapInfo, ni BigDeal, ni Phone Groupe.

Les banques, autrefois majoritairement sous contrôle étatique et spécialisées, se distinguent des autres entreprises par leur rôle central dans la gestion de l’argent, un bien commun, et leur capacité à créer de la monnaie.

Cette position unique les rend indispensables à l’économie, mais leur impose de grandes responsabilités et les expose à des risques spécifiques, comme la transformation des dépôts liquides en prêts moins liquides, augmentant leur vulnérabilité à des retraits massifs de dépôts. Leurs interdépendances font qu’une faillite bancaire peut entraîner un risque systémique, déstabilisant l’ensemble du secteur et affectant gravement l’économie. Cela souligne le caractère distinct et fragile des banques, qui, malgré leur concurrence, doivent respecter des réglementations strictes pour préserver la stabilité financière.

De plus, MHE est tombé sur un os : les relations tendues entre Rabat et Paris. Accepter un deal supervisé par l’Élysée reviendrait à faciliter la tâche à un pays peu bienveillant à notre égard.

Moulay Hafid est pour la premier fois se met dans la peau du pigeon :

1. Il a le cash qu’il faut après la cession de Saham Assurance aux sud-africains et de Majorel aux français
2. Il ne réside que peu au Maroc et échappe aux influences de l’environnement politico-économique
3. Il s’est fait la spécialité d’«optimiser» ses impôts.

Il est de notre devoir d’accueillir avec une profonde admiration la position tenue par Abdellatif Jouahri face aux responsables de la Société Générale. La prospérité du pays repose sur la présence continue de ces figures de proue, empreintes d’honneur et d’intégrité.

  
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JD1976 JD1976
10/03/2024 11:13:44
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la Société générale poursuit son désengagement du continent africain


Cette semaine, la nouvelle du désengagement de la Société générale du Maroc a été révélée et vivement commentée, même si elle n’a pas encore été officiellement confirmée.

Selon différents médias, parmi lesquels Jeune Afrique, l'ancien ministre marocain de l'Industrie et du Commerce, Moulay Hafid Elalamy serait prêt à racheter prêt de 60% des parts de la banque pour la somme de 730 millions d'euros.

En 2023, la Société générale a acté son départ de six pays du continent (Congo-Brazzaville, Guinée équatoriale, Mauritanie, Tchad, Burkina Faso et Mozambique), et une réflexion stratégique est en cours en Tunisie. En cas de confirmation de ce désengagement du Maroc, cette décision serait donc dans la continuité de celui de la Société générale sur le continent africain.

Slawomir Krupa arrivé à la tête de la banque française au printemps dernier a infléchi la politique du groupe. « 2023 était une année de transition et de transformation », mettait-il d'ailleurs en avant à l'occasion de l'annonce des résultats financiers de 2023.

Dans son rapport financier, la Société générale met en avant sa volonté de capitaliser sur ses « positions de leader ». Précisant ses priorités sur le continent : « L'accompagnement du développement des PME africaines, le financement des infrastructures, l’inclusion financière et les financements innovants dans les énergies renouvelables et l’agribusiness ».


Cession des franchises les moins rentables


Il y a des ambitions, mais également des difficultés pour la banque. Elle a mis fin à son outil de mobile money par exemple. Lutte contre le blanchiment d'argent, respect des sanctions, etc. Un proche du dossier confiait également à RFI le défi que représente l'« obligation de vigilance ». Faisant peser un poids important - judiciaire notamment - sur les épaules des responsables.

Certains analysent dans cette politique, la cession des franchises les moins rentables pour réduire les coûts. Cependant note le média spécialisé Sikafinance, la cession marocaine « crée l'incertitude ». « Il est impératif de réfléchir à la possibilité de la désintégration du groupe bancaire le plus influent en Côte d'Ivoire », alerte-t-il.


La Société générale revendique être la première banque internationale en Afrique de l'Ouest, avec une présence forte en Côte d'Ivoire, au Sénégal et au Cameroun. En 2023, les filiales africaines ont compté pour 8% du produit net bancaire du groupe.

  
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08/03/2024 12:54:40
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Date de création: 08 mars 2024 09:42

(Agence Ecofin) - La cession n'est pas encore officiellement confirmée. Dans l'hypothèse où cela se précisait, l'homme d'affaires marocain Moulay Hafid Elalamy signerait un retour en force dans le secteur financier marocain.

La cession par le groupe financier français, Société Générale, de sa participation de 57% dans sa filiale marocaine serait en passe d'être finalisée selon des sources citées par le média marocain Le360.ma, le jeudi 7 mars 2024. L'homme d'affaires et ancien ministre de l'Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie, Hafid Elalamy (photo), est cité comme le repreneur de ces parts.

Un accord aurait déjà été trouvé et la transaction fait l'objet de discussions en vue de sa prochaine approbation par les autorités compétentes au Maroc. La valeur de l'opération est annoncée à environ 803 millions de dollars, pour une filiale qui, en 2023, a contribué à hauteur de 484 millions d'euros (529,07 millions de dollars) au produit net bancaire (équivalent du chiffre d'affaires) du groupe Société Générale.

Une cession non annoncée officiellement

Dans son rapport annuel 2023, Société Générale ne citait pourtant pas le Maroc sur la liste des filiales mises en cession, ou même en revue stratégique comme c'est le cas pour la Tunisie. La filiale marocaine est la première du groupe en Afrique en termes de chiffre d'affaires et occupe la cinquième place au Maroc sur cet indicateur.

Société Générale a commencé à mettre en œuvre une stratégie de cession de ses filiales africaines vers 2022, avec deux premières opérations finalisées en République du Congo (décembre 2023) et au Tchad (janvier 2024). Quatre autres filiales (Mozambique, Burkina Faso, Mauritanie et Guinée équatoriale) sont en cours de finalisation. La filiale tunisienne fait l'objet d'une revue stratégique et rien d'officiel n'est encore révélé sur les 10 filiales restantes, y compris celle de Côte d'Ivoire, première banque au sein de l'UEMOA et deuxième filiale africaine du groupe.

Un retour en force pour Moulay Hafid Elalamy

Une confirmation de la cession de sa participation marocaine et l'acquisition de cette dernière par Moulay Hafid Elalamy permettrait à celui-ci de revenir en force dans le secteur de la finance, après que son groupe Saham a cédé son pôle assurance à la branche acquisition du groupe sud-africain Sanlam.

MHE, comme on le désigne, s'offrirait ainsi la cinquième banque au Maroc en termes de produit net bancaire, mais prendrait aussi au passage des participations minoritaires ou le contrôle sur les 13 filiales de Société Générale Maroc, dont des sociétés d'assurance, de gestion d'actifs et de crédit à la consommation.

Si cette opération se confirme, elle marquerait un tournant majeur dans le paysage bancaire marocain, avec le retrait d'un acteur historique français et la montée en puissance d'un homme d'affaires marocain de premier plan. Les autorités marocaines et françaises, ainsi que les deux parties prenantes, devront encore officialiser la transaction dans les prochaines semaines.

Rappelons qu'au terme de l'année 2023, Société Générale a revendiqué 4,5 millions de clients en Afrique. Le continent a contribué à hauteur 1,9 milliard d'euros au PNB du groupe financier, soit environ 7% de son chiffre d'affaires global, en baisse de 1 point de pourcentage comparativement à 2022.

Toutefois, il faut dire que cette performance est réalisée sur un volume d'actifs qui ne représente que 2% du total consolidé. Enfin le groupe a généré un revenu net de 297 millions d'euros

  
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JD1976 JD1976
08/03/2024 11:23:41
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Banque : au Maroc, Société Générale sur le point de passer la main à Saham

Le groupe français, qui s’est offert fin 2023 les services d’un expert de la transformation pour ses activités africaines, serait sur le point de finaliser un deal de 732,5 millions d’euros pour la cession de sa participation de 57% dans sa filiale locale à la holding marocaine Saham.

Société Générale en passe de se retirer du marché marocain ? C'est en tout ce qui semble se confirmer au fil des jours. Le groupe bancaire français serait en négociations bien avancées avec la holding Saham (connue pour ses investissements dans les assurances), de l'homme d'affaires et ancien ministre marocain de l'Industrie Moulay Hafid Elalamy, pour la cession de sa participation majoritaire de 57% dans Société Générale Maroc. Selon les révélations du média Le 360 ce jeudi, un accord aurait déjà été signé et serait en attente de l'approbation de Bank Al Maghrib. Les termes du deal s'élèveraient à 8 milliards de dirhams, soit environ 732,5 millions de dollars.


Pas de démenti cette fois

Ces informations viennent lever le voile sur des bruits de couloir persistants ces dernières semaines, mais que le groupe bancaire, contacté par la presse locale, n'a ni confirmé, ni infirmé. Ce qui laissait davantage planer le doute, puisque lorsque de telles rumeurs se sont répandues les années précédentes, la banque n'a souvent pas hésité à démentir, comme l'été dernier, lorsqu'elle annonçait le retrait de quatre marchés du continent.


Une restructuration qui s'étend

En juin 2023 en effet, Société Générale a annoncé son départ du Congo Brazzaville, de la Guinée équatoriale, de la Mauritanie et du Tchad, évoquant clairement sa volonté de d'étudier le cas de la Tunisie. Des entités que se sont arrachés des groupes africains, en l'occurrence les burkinabè Coris Bank et Vista Bank et le gabonais BGFI Bank.

En novembre dernier, le géant français de la banque a confié ses activités à un de ses « anciens », François Bloch, présenté comme un expert des opérations de transformation, démontrant une fois de plus sa volonté de restructurer sa présence africaine. Si à la veille de la décennie, le groupe bancaire envisageait « une belle croissance » sur le continent à l'horizon 2030, multipliant les initiatives (inclusion financière, soutien à l'entrepreneuriat féminin comme avec le mouvement Women In Africa, ...), la banque a essuyé quelques échecs dont le projet Yup, supprimé de sept marchés début 2022.


Au Maroc, la cession des parts de Société Générale France au groupe Saham suscite un vif intérêt, en raison notamment de l'importance de la filiale marocaine sur le marché, car listée parmi « les teneurs du marché » bancaire national par Bank Al Maghrib.

  
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JD1976 JD1976
15/02/2024 17:31:25
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— La Société Générale campe à 21,70 euros ce jeudi, alors que Goldman Sachs reste prudent sur le dossier avec un objectif de cours de 23,30 euros, tandis que sur les trois derniers mois de l'exercice fiscal, le résultat net part du groupe de la banque a reculé de 59,8% sur un an, à 430 ME, au-dessus des 333 ME de consensus de place. Le produit net bancaire a quant à lui baissé de 9,9% au quatrième trimestre, à 5,96 Milliards d'euros. Les activités de marché ont reculé de 0,8%, a encore indiqué la banque, la bonne performance des activités actions ayant contrebalancé le recul de 22,1% des activités taux, crédit et change.

Les revenus de la division banque de détail en France, banque privée et assurances sont ressortis en repli de 14,3%, mais Société Générale a souligné que ce trimestre avait été "néanmoins marqué par le début du rebond de la marge nette d'intérêt"...


Loin du compte ?

Le directeur général du groupe, Slawomir Krupa, avait dévoilé en septembre dernier un plan stratégique visant à redresser la banque, précisant que l'établissement visait des économies brutes de coûts d'environ 1,7 Milliard d'euros à l'horizon 2026. La rentabilité sur actifs net tangibles s'est établie à 1,7% au dernier trimestre de l'année passée, encore loin de l'objectif présenté en septembre, qui prévoit d'atteindre un ratio de rentabilité des fonds propres tangibles de 9% à 10% en 2026...


Le groupe a enfin annoncé vouloir proposer un dividende de 0,90 euro par action. Société générale prévoit également de lancer un programme de rachat d'actions à hauteur de 280 millions d'euros... Parmi les avis de brokers, Citigroup reste à l'achat sur la SG, mais avec un objectif ramené à 33 euros. BNP Paribas Exane reste 'neutre' avec un objectif de cours ajusté de 27 euros. Depuis le début de l'année, le titre perd près de 10%.


  
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Rollier1 Rollier1
09/02/2024 11:52:45
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C’est, malheureusement, souvent le cas des sociétés qui sont rachetées par plus gros 😕

  
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cool13 cool13
09/02/2024 11:45:23
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Extrait de la lettre aux actionnaires
Avec notre nouveau plan stratégique et financier, présenté en septembre 2023, nous écrivons un nouveau chapitre dans l’histoire du Groupe qui, depuis 160 ans, accompagne des millions de clients dans le cadre de relations de long terme. À leur service jour après jour, nous soutenons leur développement et leurs projets, et notre contribution à leur croissance et à la réalisation de leur potentiel fait notre fierté.

(Le plus grand pipotage, cette lettre, ils n’expliquent pas, la conséquence de la fusion : Des agences du Crédit du Nord). À savoir, pour les clients concerner, un effet kiss-cool, mais en tout cas, un effet inattendu. Disions, c’est changer de navire en pleine mer, sans passée par une passerelle. Ensuite, pour l’ensemble des personnels du crédit du nord, la société générale les a placées Persona non grata.

Donc, le cout de cette histoire l’avenir nous manque, en crédible ?

  
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JD1976 JD1976
09/02/2024 08:52:09
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Lettre de l'Actionnaire N°139


Chers actionnaires,

Après une année de transition et de transformation, nous entrons dans une année centrée sur l’exécution de la nouvelle feuille de route stratégique.

L’année 2023 était pour le Groupe une année de transition et de transformation. La très forte dynamique de BoursoBank avec le franchissement du seuil de 6 millions de clients en janvier 2024, la force de nos franchises dans la Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs, la performance de nos activités bancaires internationales dans toutes les régions ainsi que la capacité de notre nouvelle banque en France et d’Ayvens à engager des transformations sans précédent sont des motifs importants de satisfaction. 2023 a aussi été marquée par une forte baisse de la marge d’intérêt dans la Banque de détail en France et des coûts d’intégration de LeasePlan élevés, tout en maintenant une gestion rigoureuse des coûts, des risques et du capital.

Au total, les revenus du Groupe atteignent 25,1 milliards d’euros sur l’année et le résultat net part du Groupe ressort à 2,5 milliards d’euros sur 2023, en hausse de 37 % par rapport à 2022.

Parallèlement, le ratio CET 1 du Groupe s’élève à 13,1 %1 soit environ 340 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire. Sur ces bases, le Conseil d’administration proposera à l’Assemblée générale des actionnaires du 22 mai 2024, une distribution équivalente à 1,25 euros par action2 se décomposant en un dividende en numéraire de 0,90 euro par action et un programme de rachats d’actions d’environ 280 millions d’euros, équivalent à 0,35 euro par action.


Avec notre nouveau plan stratégique et financier, présenté en septembre 2023, nous écrivons un nouveau chapitre dans l’histoire du Groupe qui, depuis 160 ans, accompagne des millions de clients dans le cadre de relations de long terme. À leur service jour après jour, nous soutenons leur développement et leurs projets, et notre contribution à leur croissance et à la réalisation de leur potentiel fait notre fierté.

Notre ambition est de positionner Société Générale parmi les banques européennes de premier plan, solide et durable et de créer de la valeur à long terme pour toutes nos parties prenantes, y compris par un engagement majeur d’inscrire notre action en cohérence avec les objectifs de développement durable définis par les Nations Unies.

Nous abordons avec confiance et détermination l’année 2024, qui sera celle d’une exécution méticuleuse de la feuille de route et d’une détermination totale pour réaliser nos objectifs financiers qui passe notamment par une efficacité opérationnelle accrue. Nous rendrons compte de nos avancées de façon précise, régulière et transparente.

Je tiens à vous remercier pour la confiance que vous placez dans notre Groupe ainsi que votre engagement de long terme à nos côtés.


Slawomir Krupa

Directeur général



  
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JD1976 JD1976
09/02/2024 08:41:13
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Société Générale (-1%) a pourtant dépassé les attentes des analystes, grâce notamment à la reprise de son activité de banque de détail en France.

Sur les trois derniers mois de l'exercice fiscal, le résultat net part du groupe de la banque a reculé de 59,8% sur un an, à 430 ME, au-dessus des 333 ME de consensus de place. Le produit net bancaire a quant à lui baissé de 9,9% au quatrième trimestre, à 5,96 Milliards d'euros, soit au-dessus des 5,86 MdsE attendus ici aussi par les analystes.

Les activités de marché ont reculé de 0,8%, a encore indiqué la banque, la bonne performance des activités actions ayant contrebalancé le recul de 22,1% des activités taux, crédit et change.

  
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cool13 cool13
08/02/2024 12:02:45
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HIER ?
Plan d’économies. La décision intervient dans un contexte où Société Générale cherche à réaliser des économies substantielles. Le plan, premier du genre sous la direction de Slawomir Krupa, directeur général depuis mai 2023, vise à économiser 1,7 milliard d’euros d’ici 2026.

AUJOURD’HUI ?
Société Générale : un milliard d'euros pour les actionnaires
Actualité publiée le 08/02/24 08:18
(CercleFinance.com) - A l'occasion de la publication de ses résultats 2023, Société Générale indique que son conseil d'administration a arrêté sa politique de distribution au titre de l'exercice écoulé, qui vise à distribuer 1,25 euro par action, soit un montant global d'environ un milliard d'euros.

Cette distribution se composera de rachat d'actions pour environ 280 millions d'euros, ainsi que d'un dividende en numéraire de 0,90 euro par action. Proposé à l'AG du 22 mai prochain, ce dividende sera détaché le 27 mai et mis en paiement le 29 mai.

BON, OK, j’ai loupé un épisode ou explication.

DEMAIN ?

Message complété le 08/02/2024 12:43:30 par son auteur.

Société générale, semble se diriger vers les bas, en mensuel et journalier, un support a 20.688€, la tendance reste baissière. En journalier un autres support H.Majeur 18.196€.

  
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cool13 cool13
07/02/2024 17:31:54
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BON, la société générale, un passé de fait divers, fusion à haut risque.

Une « amende transactionnelle » de 4,5 millions d’euros a été imposée à la Société Générale pour « déductions non justifiées de commissions d’intervention » et acceptée par la banque, a annoncé la répression de la fraude (DGCCRF) lundi sur son site web.
Boursorama filiale 100% SG, demande les identifiants et mots de passe des impôts, la CNIL la met en demeure Je vous demande de vous arrêter !

https://next.ink/899/boursorama-demande-identifiants-et-mots-passe-impots-cnil-met-en-demeure/

L’aire deviens, de moins en moins respirable. Entreprise vérolée, durer de vie incertaine ?

  
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cool13 cool13
07/02/2024 15:14:36
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La vérité d'hier est morte, celle de demain est encore à bâtir. Aucune synthèse valable n'est entrevue, et chacun d'entre nous ne détient qu'une parcelle de vérité. Antoine de Saint-Exupéry

Est oui, entre les projet d’hier et la dure réalité économique du jour, une fusion à très, très, très, haut risque.

Société Générale - Crédit du Nord, une fusion à haut risque
L’Agefi révèle le rapport d’expert de Secafi sur le projet de rapprochement des réseaux de la banque en France, qui a motivé l’avis négatif rendu par les syndicats.

https://www.agefi.fr/news/banque-assurance/societe-generale-credit-du-nord-une-fusion-a-haut-risque

  
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JD1976 JD1976
07/02/2024 14:37:31
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Société Générale : coup de poker gagnant pour Slawomir Krupa ?

Publié le 06/02/2024


Cette mesure, révélée hier, fait partie d’une stratégie plus large visant à améliorer la rentabilité de la banque après des années de résultats en dents de scie, marquées par des crises et des scandales financiers. Les suppressions d’emplois, qui représentent environ 5% des effectifs de son siège et moins de 2% de son effectif global, sont envisagées sans départs contraints, incluant les départs en retraite non remplacés et les départs volontaires.


Plan d’économies

La décision intervient dans un contexte où Société Générale cherche à réaliser des économies substantielles. Le plan, premier du genre sous la direction de Slawomir Krupa, directeur général depuis mai 2023, vise à économiser 1,7 milliard d’euros d’ici 2026.

Les suppressions d’emplois touchent principalement les services centraux, les fonctions supports (back office et informatique), la banque d’investissement, le conseil, la direction financière, et les ressources humaines. Elles s’inscrivent dans une démarche de rationalisation des processus, de regroupement et de mutualisation de certaines activités, et de suppression de strates hiérarchiques pour alléger les processus de décision.

Cette réorganisation survient après une période difficile pour la banque, qui a vu son cours en Bourse chuter de 83% depuis son pic de 2007, en raison de réglementations défavorables en Europe, de crises financières, et de divers scandales, notamment les affaires Jérôme Kerviel et Panama Papers. Les plans de réduction de coûts passés, y compris la fusion des réseaux de banque de détail Société Générale et Crédit du Nord, ainsi que la réduction significative du nombre d’agences, n’ont pas suffi à rassurer les marchés ni à stabiliser la situation.


De nouvelles suppressions de postes à venir ?

Les syndicats craignent que ces suppressions d’emplois ne traduisent une faiblesse sous-jacente de l’activité de la banque et de ses perspectives de profit. De plus, des rumeurs de plus en plus insistantes suggèrent que Société Générale pourrait envisager la vente de certaines de ses activités, notamment Société Générale Securities Services et Société Générale Equipment Finance, ce qui pourrait entraîner d’autres réductions d’effectifs.


Signes de tension

Alors que Société Générale entame les négociations avec les partenaires sociaux, le paysage bancaire français montre des signes de tension avec d’autres grandes banques cherchant également à recruter malgré un contexte économique incertain. La multiplication des plans sociaux à Société Générale soulève des questions sur l’avenir du secteur bancaire en France, confronté à la nécessité de s’adapter à un environnement en rapide évolution tout en mainte

  
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JD1976 JD1976
25/01/2024 08:52:18
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Société Générale cherche à se séparer de la néobanque Shine, rapporte Les Echos


PARIS (Reuters) - Société Générale est en quête d'un repreneur pour Shine, la néobanque destinée aux professionnels que le groupe a acquise en 2020, rapporte mercredi le journal Les Echos, sans identifier ses sources.

Contacté par Reuters, un porte-parole de Société Générale a refusé de commenter cette information.

La volonté de Société Générale de céder Shine s'inscrit dans une stratégie plus large de restructuration destinée à se relancer en bourse.

D'après Les Echos, la banque a déjà approché plusieurs acquéreurs potentiels pour Shine.



  
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JD1976 JD1976
24/01/2024 15:30:37
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La remontée du cours de l’action de la troisième banque vient d’être stoppée par l’avertissement de sa filiale Ayvens. La banque n’a plus droit à l’erreur.


L'effet Ayvens

Son actualité. Après les déceptions du plan stratégique et des résultats à fin septembre, la remontée du titre de la banque a été cassée net par l’avertissement de sa filiale de leasing Ayvens.

Avec un résultat opérationnel de 1,2 milliard d’euros pour les neuf premiers mois de 2023, Ayvens est un gros contributeur aux résultats de la Société Générale, qui consolide sa filiale à hauteur de 52,6 % (51 % compte tenu des émissions d’actions à bons de souscription d’actions).

Le résultat net des métiers de la Société Générale atteignait 3,7 milliards fin septembre 2023 (-12,3%).

L’effet est d’autant plus préjudiciable que cette activité de financement spécialisé était vue comme l’un des fleurons de la Société Générale et une source de revenus plus stable que les activités bancaires proprement dites.

  
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cool13 cool13
23/01/2024 11:39:50
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Société générale “Et erreur de configuration de l'ordinateur”

Bon ok, ont est pas obliger de croire aux baliverne, apprêt jérôme kerviel, maintenant c’est la configuration de l’ordinateur, il va leurs rester, à spolier l’argent des déposent.

Amende, la Société Générale reçoit une « erreur informatique »

22/01/2024 14:28:14 News Briefs en anglais, traduction non garantie, vue de l’extérieur, ont dois bien ce marrer ?

Faits marquants : Fines, la Société Générale reçoit une « erreur informatique ». Les faits en question, détectés au cours d'une enquête menée entre avril 2019 et janvier 2021, «relatés à l'infraction de pratique commerciale trompeuse», précisent la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la prévention de la fraude. L'enquête a été menée par le service CCRF de la Direction départementale de la protection des populations des Hauts-de-Seine (DDPP92).

Les faits en question, détectés au cours d'une enquête menée entre avril 2019 et janvier 2021, «à la fin de l'infraction de pratique commerciale trompeuse», précisent la Direction générale de la répression des fraudes.

Une « amende transactionnelle » de 4,5 millions d’euros a été imposée à la Société Générale pour « déductions non justifiées de commissions d’intervention » et acceptée par la banque, a annoncé la répression de la fraude (DGCCRF) lundi sur son site web.
Les faits en question, détectés au cours d'une enquête menée entre avril 2019 et janvier 2021, «relatés à l'infraction de pratique commerciale trompeuse», précisent la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la prévention de la fraude.
Le service dépendant du Ministère de l'économie indique en outre que l'amende de règlement, "proportionnée à la gravité des faits", a été proposée avec l'accord du ministère public de Nanterre et acceptée par l'entreprise.

Pour sa part, la Société Générale « confirme avoir conclu un accord transactionnel » à la suite d'une enquête « concernant des frais bancaires injustifiés », dans un communiqué de presse à l'AFP publié lundi.

“Et erreur de configuration de l'ordinateur”

« Dès qu’elle a été identifiée en 2020, la Société Générale a décidé de mettre fin à cette pratique tarifaire qui résultait d’une erreur de configuration informatique dans l’application des commissions d’intervention », elle assure en souhaitant « préciser que tous les clients individuels » touchés par ces déductions indues des commissions d’intervention « ont été intégralement remboursés ».

L'enquête a été menée par le service CCRF de la direction départementale pour la protection des populations des Hauts-de-Seine (DDPP92), la DGCCRF précisée sur son site web, sans donner plus de détails.
• Économie

  
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