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Avant les annonces du gouvernement, la promesse d'un blocage de Paris

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Fibopivots Fibopivots
26/01/2024 20:18:01
0

100 millions pour 400000, ce n'est pas 70 ct par jour ??

Quelle générosité !!

  
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LeFourbe LeFourbe
26/01/2024 18:48:47
0

Exact Alioche, je vois qu'on a assisté aux mêmes spectacles dans les mêmes coulisses.

  
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voxpop voxpop
26/01/2024 17:27:37
1

Cherches pas ! Notre YGL est très zélé et très servile, sans doute parce que très reconnaissant envers ses maîtres

  
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Alioche Alioche
26/01/2024 17:24:15
4

Il est tout à fait certain que l'état français est toujours TRES en avance sur le passage en droit français des directives européennes (lois +décrets d'application).

D'autres états européens font beaucoup plus de résistance, de deux manières:

- ils tardent à passer les directives européennes dans leur droit local. (Quand je dis, "il tarde", je parle de 20 ans)

- quand ils finissent par passer la directive dans leur droit, ils disent clairement aux industriels concernés, que l'état ne mettra AUCUN moyen de contrôle. C'est une autre façon de dire "rien ne change, faites comme avant.

J'ai bossé 30 ans dans les instruments de mesure, avec 18 sites en Europe. Je connais très bien les réticences de certains pays.

L'Europe n'est qu'une "vue de l'esprit" et seuls ceux qui y croit en pâtissent.

  
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Dubaisan Dubaisan
26/01/2024 17:03:43
2

Concernant l'évolution des normes et règlements sur le carbone, ses émissions et leurs contrôles aux frontières + les taxes et surtaxes qui vont avec, c'est devenu totalement incompréhensible.

Pour les importateurs d'acier, d'aluminium ou de produits réalisés dans ces métaux, de produits chimiques, de ciment, de panneaux photovoltaîques, d'hydrogène (si si H2 aussi !) et d'électricité il va falloir pour chaque importateur justifier via un rapport, du bilan carbone du produit importé.....

C'est la toute dernière mouture concoctée par la Commission Européenne et ses écolos LGBTQ, que les Douanes françaises sont chargées de mettre en place et faire appliquer....

Dans le collimateur, la Chine bien évidemment....qui ne va pas tarder à répliquer et ça va faire très mal....

C'est du n'importe quoi !!!

  
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JCROIPLU JCROIPLU
26/01/2024 16:59:36
0

Rencontre "filtrée"...

  
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syjo syjo
26/01/2024 16:47:30
0

@mcm je pense surtout que le consommateur se jette sur le moins cher sans réfléchir.

  
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LeFourbe LeFourbe
26/01/2024 16:13:46
1

Les fonctionnaires européens producteurs de normes et de règlementations sont une plaie, mais le législateur français n'en est pas moins coupable.

Par exemple la France a été le premier pays de l'UE à transposer la directive CSRD (reportings durabilité ESG machins trucs) il y'a quelques semaines...


Devinette :

Hyperinflation de textes européens

+

Sur-excitation des petits hommes gris français qui s'empressent de faire appliquer des textes techniques et contre-productifs (au sens littéral) tandis que d'autres pays européens pensent de plus en plus à eux avant de vouloir se faire bien voir par VdL et sa clique

=

?

  
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moicmoi moicmoi
26/01/2024 15:29:17
2

syjo
« « C'est la conséquence évidente d'un consommateur qui n'achète pas français. »
»

Et pourquoi le consommateur n'achète pas français ?
Faudrait regarder par le bon bout de la lorgnette.
Parce que les producteurs français ne sont pas compétitifs , qu’ils sont donc obligés de vendre plus cher que les autres pays , à cause des impôt, concurrence déloyales permise par Schengen , de la redondance de normes…etc…
Il faut savoir que la France est le pays où l’on paye les plus d’impôts au monde.

  
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moicmoi moicmoi
26/01/2024 15:20:34
6

Y’à un truc que je ne comprendrais jamais.

Ce sont les députés et ministres qui pondent les lois, mais à chaque manif, on prend en otage les travailleurs qui subissent eux aussi les lois , au même titre que les manifestants.
Et pendant ce temps là, les parlementaires sont tranquilles comme Batiste.

Le blocage du pays ? Ils s’en foutent royalement, leur paye ne sera pas remise en cause. Contrairement aux travailleurs pris en otage. S’il y a de la casse, elle sera financée par nos impôts.

Ne serait il pas plus logique de laisser les travailleurs gagner leur casse-croûte, et d’aller tirer les oreilles aux parlementaires ?

  
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syjo syjo
26/01/2024 14:43:20
2

C'est la conséquence évidente d'un consommateur qui n'achète pas français.

  
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glanglois glanglois
26/01/2024 14:00:14
4
Ce n'est pas des annonces que nous attendons mais du concrets nous savons aussi par expérience que Renaissance ou LREM ne tient jamais leurs promesses ..nous voulons des actes immédiats ...et le versement de notre dû sous 48H sinon nous durcirons encore plus le mouvement ..
  
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glanglois glanglois
26/01/2024 14:00:14
0
Des agriculteurs manifestent sur l'A16, à Amblainville, dans l'Oise, le 26 janvier 2024
Des agriculteurs manifestent sur l'A16, à Amblainville, dans l'Oise, le 26 janvier 2024 (AFP/Dimitar DILKOFF)

Déjà plusieurs centaines de kilomètres de routes bloquées à travers la France et une colère qui ne faiblit pas: avant les annonces du Premier ministre Gabriel Attal attendues en fin d'après-midi, les agriculteurs annoncent le blocage d'accès majeurs à Paris à partir de 14H00.

Confronté à sa première crise depuis sa nomination, Gabriel Attal doit se rendre vendredi dans une exploitation bovine de Haute-Garonne, où il échangera avec des agriculteurs et tentera de répondre à leur colère, a indiqué Matignon.

En attendant ses annonces, les agriculteurs ont mis en place des blocages dès l'aube sur des axes routiers majeurs. Et visent Paris: la section d'Ile-de-France du syndicat majoritaire agricole FNSEA prévoit de mettre en place des barrages au niveau de cinq péages dans le sens province-Paris à partir de 14H00.

Près de 400 kilomètres sur un axe allant du sud de Lyon vers l'Espagne ont déjà été fermés à la demande des autorités, a indiqué Vinci Autoroutes.

L'A1, reliant Paris au nord de l'Europe, est aussi fermée à la circulation à la fois au niveau de Senlis, dans l'Oise, et de Seclin, au sud de Lille.

"On attend des réponses du Premier ministre et si on n'en a pas on continuera le mouvement", résume Jérémy Allard, président des Jeunes agriculteurs du canton de Quesnoy-sur-Deûle, sur le barrage de Seclin.

"Ça fait des mois et des années qu'on réclame ces choses simples, on veut vivre de notre métier et pas toujours subir la concurrence déloyale d'autres pays", clame-t-il.

- "On joue notre survie" -

Rencontrés dans de multiples lieux de France par l'AFP, les agriculteurs ont des revendications diverses, selon qu'ils sont éleveurs de volailles frappés par la grippe aviaire l'an dernier, viticulteurs dont les vins se vendent moins, cultivateurs bio aux légumes boudés par les Français, ou grands céréaliers.

Certains réclament une baisse du GNR (gazole non routier). D'autres veulent un prix minimum pour leurs produits, ou le versement d'aides ou d'indemnisations dues de longue date, voire un moratoire sur l'interdiction des pesticides, comme nouvellement demandé par la FNSEA. Une partie des 140 revendications portées par le syndicat majoritaire nécessitent une loi ou des négociations à Bruxelles.

Un peu partout dans le pays, les manifestants s'en sont pris jeudi à des symboles de l'Etat et des grandes surfaces, donnant l'image d'une colère se radicalisant.

Des agriculteurs manifestent à Bordeaux, le 25 novembre 2024
Des agriculteurs manifestent à Bordeaux, le 25 novembre 2024 (AFP/Philippe LOPEZ)

Vendredi matin, en plus du blocage d'autoroutes, ils ont organisé des barrages filtrants, comme sur la N164 à hauteur de Trémorel dans le Finistère, et des opérations escargot, comme sur la rocade autour de Bordeaux.

Autour de Montpellier, des convois venant de toute la région étaient en passe de converger ensemble vers la préfecture de l'Hérault, tandis que le syndicat agricole basque ELB a bloqué le port de Bayonne, notamment pour "dénoncer les accords de libre-échange".

Vinci, qui gère le plus vaste réseau autoroutier en France, recommande aux conducteurs de "bien s'informer sur les conditions de circulation avant tout déplacement"

Dans l'Oise, une poignée d'hommes a passé une nouvelle nuit sur l'autoroute A16, au niveau du péage d'Amblainville, se réchauffant à la flamme et aux cafés brûlants.

"À un moment il faut durcir le mouvement, on n'a rien sans rien", a dit à l'AFP Rémi Voltaire, 31 ans, espérant que le convoi se dirige vers Paris, sans même attendre les annonces du gouvernement.

"On éviterait bien d'aller à Paris", a avancé de son côté Christophe Hillairet, président de la chambre d'agriculture de la région Île-de-France, sur BFMTV. "Notre job nous, c'est de cultiver, de produire de la nourriture, mais pas d'emmerder les gens, sauf qu'aujourd'hui on joue notre survie."

- "Débloquer la situation" -

Sylvain Maillard, président du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, l'assure: sur le GNR, "il y aura des annonces fortes tout à l'heure", et face à l'empilement des normes, il faut "un choc de facilité".

Surtout, le Premier ministre devrait selon lui annoncer une "feuille de route" qui devrait "débloquer la situation".

Alors que les agriculteurs sont également mobilisés en Allemagne, Belgique, Pologne ou Suisse, le mouvement est populaire en France, mais tous les syndicats ne plaident pas pour sabrer les normes environnementales. La Confédération paysanne, 3e syndicat représentatif, classé à gauche, propose des solutions bien différentes de celles des syndicats FNSEA, Jeunes agriculteurs et Coordination rurale.

Les ONG écologistes s'alarment des appels à débrider les règles sur l'eau ou les pesticides.

Un agriculteur manifeste avec son tracteur, salué par une passante avec un drapeau français, à Agen, dans le Lot-et-Garonne, le 25 janvier 2024
Un agriculteur manifeste avec son tracteur, salué par une passante avec un drapeau français, à Agen, dans le Lot-et-Garonne, le 25 janvier 2024 (AFP/Christophe ARCHAMBAULT)

L'eurodéputée écologiste Marie Toussaint a regretté vendredi sur France Bleu Poitou que "quand la FNSEA demande quelque chose, l'arrêt des législations sur les pesticides, (...) qu'on aille plus lentement sur la transition écologique, le gouvernement cède en permanence".

Il faut plutôt selon elle "sortir le carnet de chèque" pour aider les paysans.

burs-jum/ak/gvy

© 2024 AFP

  
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