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Anjou49
« « Mais oui Jcroiplu. Le propriétaire d’une maison de 300 où 400 000 euros de la Creuse ou de la Lozère après 20 ans de remboursement de crédit est un affreux capitaliste profiteur qu’il faut ponctionner… c’est là une justice sociale élémentaire bien sûr. » »
Normal !!!
Réfléchissez un peu et changez de mentalité.
Les propriétaires d’une maison ont remboursé leurs mensualités ?
Ben ouais, mais pendant le même temps, les non-propriétaires ont payé : des vacances, des restaus, de spectacles, des soirées en boites de nuit, une belle bagnole toute neuve, des…..
Des fois ils n’ont pas pu payer leur loyer parce qu’ils avaient leur vélo tout neuf à payer. Ou leur selle de cheval. (situation vécue)
Les propriétaires d’une maison ont payé quoi de tout ça ?
Que dalle !
Alors, la justice sociale veut qu’ils payent comme les non-propriétaires. Normal !!!
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JCROIPLUS , quand ils n'ont pas gagné les élections, les gauchos disent qu'on leur a " volé " l'élection......
Mais quand eux, ils veulent piquer dans les poches des autres, ce n'est pas du vol. j'essaye de comprendre.
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l'augmentation du nombre d'élus ces 10 dernières années ?
Moins d'élus c'est moins d'impôts
car c'est eux qui les votent
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Mais oui Jcroiplu. Le propriétaire d’une maison de 300 où 400 000 euros de la Creuse ou de la Lozère après 20 ans de remboursement de crédit est un affreux capitaliste profiteur qu’il faut ponctionner… c’est là une justice sociale élémentaire bien sûr.
Tu n’as pas compris « faut faire payer les riches ».
« …sur les propriétaires parce qu'ils ne paient pas de loyers. »
Pas de loyer mais pour un appart sur Angers entre les charges, le foncier, les assurances c’est 650€ mensuels. Pas un loyer mais quand même.
Du coup le problème c’est que beaucoup d’acquéreurs jeunes empruntent au maximum de leurs capacités sans tenir compte du coût global que représente l’ensemble de ces charges s’ajoutant à leur mensualité de prêt. Alors fin de mois difficiles et ça râle, ça râle…
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La gauche envisageait de mettre un impôt nouveau, sur les propriétaires parce qu'ils ne paient pas de loyers.
Les bras m'en tombent!!!
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Se plaindre, râler, réclamer, manifester voilà la devise du français moyen.
Français moyen qui par exemple pour un couple en province locataire ayant un revenu imposable annuel de 35 000 euros paie quoi pour la collectivité :
IRPP ? Zéro ou presque
Impôts locaux ? Zéro
Impôts fonciers ? Zéro
Pour autant il a à disposition toutes les structures communales, départementales, régionales et nationales.
Ce type de couple de français est exceptionnel ? Non c’est pratiquement la moitié de la population. Tient presque autant que la population qui joue avec frénésie à tous ces jeux débiles de grattage, tirage, espérant gagner sans trop d’effort le pactole.
Alors oui il y a des carences de soins, d’infrastructures, d’éducation, de sécurité mais beaucoup veulent tout et rien payer.
Un pays comme ça ? Ben il n’existe pas.
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Oui d'accord mais:
- le CAC a pris 84.33% en 10 ans
- l'or a pris 115.62% en 10 ans
- le DJones a pris 164.09% en 10 ans.
on s'est gavé de chez gavé quand même non?
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Depuis 2013, la taxe foncière a explosé, frappant de plein fouet les propriétaires de biens immobiliers. Une hausse qui atteint une moyenne de 32,9 % au niveau national sur dix ans, selon une étude récente de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI). Cette taxe, incontournable pour tout détenteur d’un bien, est devenue une charge de plus en plus difficile à supporter, surtout dans certaines grandes villes où l’augmentation a pris des proportions spectaculaires.
Paris décroche la palme de la plus forte augmentation dans les grandes villes françaises, avec une envolée de 83 % sur la période 2013-2023. Un record qui s'explique principalement par la hausse du taux communal en 2023 et la revalorisation des bases locatives. Derrière la capitale, des villes comme Strasbourg (+52 %), Limoges (+51,8 %), Grenoble (+49,5 %) et Nantes (+48 %)complètent le top 5.
Mais au-delà des grandes métropoles, certaines petites communes connaissent des hausses encore plus impressionnantes. À Popolasca, en Corse, la taxe foncière a bondi de 202,3 % en dix ans, un véritable record. Des communes comme Freney en Savoie (+155,6 %) ou Thuès-Entre-Valls dans les Pyrénées-Orientales (+153,8 %) ne sont pas en reste.
Plusieurs facteurs se combinent pour expliquer cette hausse. D'abord, l'inflation joue un rôle central, avec une revalorisation des valeurs locatives, c'est-à-dire la base sur laquelle est calculé l'impôt. Cette valeur a grimpé de 7,1 % en 2023 et augmentera encore de 3,9 % en 2024, et de 2 % en 2025. Ensuite, la disparition progressive de la taxe d'habitation a poussé les communes à compenser cette perte de revenus en augmentant d'autres taxes, dont la taxe foncière. En parallèle, les collectivités locales justifient également ces hausses par l'augmentation de certaines taxes locales, comme la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) ou la taxe Gemmapi, dédiée à la prévention des inondations.
Le président de l’UNPI, Sylvain Grataloup, alerte sur les conséquences dramatiques de cette hausse continue : « L'augmentation de la taxe foncière contribue à paupériser les propriétaires, car tout s'accumule : charges, encadrement des loyers, fiscalité immobilière… Quand on fait le crédit et le débit, il ne reste plus rien.» Un exemple concret ? Sur 12 000 euros de revenus locatifs annuels, pas moins de 10 000 euros partent en dépenses, selon les calculs de l’UNPI.
Ce phénomène affecte aussi le marché locatif. En effet, les loyers n'ont augmenté que de 7,7 % sur la même période, bien loin derrière les hausses des impôts fonciers, mettant encore plus de pression sur les propriétaires. Dans certaines villes, la taxe foncière représente désormais l’équivalent de 2,3 mois de loyers.
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