LVMH : POURQUOI, MALGRÉ UNE CROISSANCE SUPÉRIEURE AUX ATTENTES, LVMH C

non, il y a une intention de ta part pour appuyer ton graphique...et en lisant il n'y a pas que BFM...

c'est dommage....

Je ne piges pas que tu sois étonné…. Je n’ai mis qu’une rédaction de BFM sur lvmh

hello,

je pige pas que tu sois étonné que Lvmh ne monte pas après les résultats alors que tu publies un graphique?

si tu mets le graphique sur 2 ans et tu vois ce qui se passe? tu comprendrais que lvmh n'explose pas à la hausse, l'action n'a jamais réussi à franchir à la hausse la M200 si ce n'est dernièrement, donc après un mouvement qui franchit difficilement, le mouvement légitime rapide est la consolidation (sens contraire).

toute la question va être si c'est de la consolidation ou un redémarrage à la baisse car le MACD n'est pas rassurant, ou un pull back va se déclencher si l'action rebondit soit sur sa M20 qui vient de franchir la M200 soit sur sa M200 (résistance devient support) et là on peut voir les ratios fibo...et envisager l'achat....

BFM Bourse) - Le groupe de luxe a vu ses revenus renouer avec la croissance sur le dernier trimestre, avec une progression de 1% en données comparables, alors que le consensus anticipait un recul. Mais les investisseurs, eux, avaient certainement placé la barre plus haute à la suite des publications de Richemont et Burberry.


Au vu de son excellent parcours boursier depuis le début d'année (+18% à la clôture de mardi, la plus forte hausse du CAC 40), LVMH ne pouvait se permettre de livrer une copie mitigée.

Or le numéro un du luxe a publié mardi soir des résultats, certes, corrects, mais pas immaculés pour autant.

Le marché sanctionne en conséquence les annonces du numéro un du luxe. L'action LVMH abandonne 6% à la Bourse de de Paris, accusant le plus fort repli du CAC 40. Le titre entraîne dans son sillage Kering, qui abandonne 6%, et dans une bien moindre mesure Hermès, qui trébuche de 0,6%.

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Pourtant, LVMH a publié une activité supérieure aux attentes au quatrième trimestre. Sur la période allant d'octobre à fin décembre, la société a dégagé des revenus de 23,93 milliards d'euros et a renoué avec la croissance. En données comparables, les ventes ont ainsi progressé de 1%, à comparer avec un repli de 3% au troisième trimestre.


La société a nettement dépassé les anticipations des analystes. Selon un consensus cité par Royal Bank of Canada, ils tablaient sur des revenus en baisse de 1% en données comparables au quatrième trimestre.

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Des attentes du marché différentes de celles des analystes

Dans le détail, la division mode et maroquinerie, la plus importante du groupe, a accusé un repli de 1%, en données comparables, alors que le consensus anticipait une baisse de 3%. La division "montre et joaillerie" a également dépassé les attentes, affichant une croissance de 3% en données comparables, contre un repli de 3% attendu par les analystes. La distribution sélective, qui inclut Sephora et la distribution dans les aéroports, a vu ses revenus progresser de 7% quand le consensus tablait sur une hausse plus limitée, de 3%.


Seulement les attentes des analystes ne se confondent pas nécessairement avec celles des investisseurs.

Royal Bank of Canada qualifie les résultats de "mitigés" et souligne que les revenus supérieurs au consensus ne constituent pas une réelle surprise. La banque canadienne note que le marché s'attendait probablement à des revenus meilleurs que prévu, après les résultats publiés ces dernières semaines par le suisse Richemont, le britannique Burberry et l'italien Brunello Cucinelli.

Ces trois sociétés avaient publié une activité nettement supérieure aux attentes (ou, dans le cas de Burberry, beaucoup moins mauvaise que prévu), amenant les investisseurs à se montrer plus optimiste pour le luxe. Et à miser sur des résultats plus robustes qu'initialement anticipé pour le quatrième trimestre.


"Le quatrième trimestre montre une amélioration séquentielle (d'un trimestre sur l'autre, NDLR) mais pas aussi bonne qu'espéré", résume Deutsche Bank. La banque allemande souligne que les investisseurs avaient rehaussé la barre sur leurs attentes, après les publications de Richemont et Burberry. Dans la division mode et maroquinerie, les opérateurs de marché tablaient probablement sur une croissance de 2% à 3% en données comparables, contre, donc, un repli de 1%, ajoute Deutsche Bank.

Même constat du côté du Stifel. Dans une note rédigée lundi soir, la banque estime que la performance de LVMH sur l'activité est restée en retrait des attentes des "buy-side" (pour simplifier: les investisseurs) qui attendait une croissance de 1% à 4% dans la division mode et maroquinerie. Ce qui risque de déclencher des "prises de bénéfices" sur l'action LVMH, a prévenu Stifel dans cette note.


La rentabilité déçoit

Par ailleurs, même si elle est un peu moins scrutée par le marché que l'activité, la rentabilité de LVMH a déçu. La marge opérationnelle s'est établie, sur l'ensemble de 2024, à 23,1% contre 26,5% en 2023. Or le consensus attendait un taux supérieur à 24% pour l'ensemble de l'exercice.

Le directeur financier, Jean-Jacques Guiony, qui prendra le 1er février la présidence et la direction de la division "vins et spiritueux", a évoqué un certain nombre d'éléments techniques et exceptionnels pour expliquer la baisse de la marge.

La société a notamment subi, sur la marge brute, des impacts négatifs liés aux prix des matières premières ainsi qu'aux effets de changes. Ces effets n'ont pas été compensés par des hausses de prix, a indiqué Jean-Jacques Guiony. La marge brute a aussi été pénalisée par une marge négative dans l'activité de vendange propre dans les champagnes ainsi que par des provisions sur certaines activités, a ajouté le directeur financier.


UBS évoque, in fine, "des résultats du second semestre décevants face à des attentes qui s'étaient élevées".

"Ces résultats remettront en question l'histoire sectorielle selon laquelle toutes les sociétés de luxe ont connu l'accélération du quatrième trimestre observée par Richemont et Burberry, mais ils renforceront l'idée d'une reprise séquentielle et d'une reprise plus rapide en 2025 que ce que nous avions prévu en octobre", décortique, de son côté, Deutsche Bank.

Les éléments les plus positifs de la publication étaient peut-être à chercher dans les commentaires de Bernard Arnault. Lors de la conférence de presse de présentation des résultats, le PDG de LVMH a déclaré être "assez confiant et même très confiant".

Le dirigeant a indiqué que 2025 commençait "plutôt bien", soulignant que "plusieurs entreprises" de LVMH avait enregistré une croissance "double digit", soit d'au moins 10%, depuis le début de l'année. Bernard Arnault a cité explicitement Louis Vuitton et bijoutier Tiffany.


Bernard Arnault a affiché sa "confiance" sur le redressement de la division vins et spiritueux "dans un délai de deux ans".

Le PDG a également estimé que le marché chinois mettrait du temps à se reprendre. "Je m'attends à ce que cela revienne progressivement à une situation plus normale mais au bout de deux ans", a-t-il expliqué. En revanche, le dirigeant a déclaré que le marché états-unien serait "booming", c'est-à-dire en plein essor.
Je vous poste un graphe mensuel :
Nous sommes dans un tunnel haussier ROB-//ROB
À confirmer la construction d’un triangle R-S mais le support S est légitime
Le cours << mm20->> mm50
Le fibonnacci 536-904 fonctionne très bien , le cours ayant échoué sur fibonnacci 61.8% a 764€
Mm20=724:Mm50=690
Constatation :
les résistances :(720 fibo 50%)-mm20(724)- RH=734-(764 fibo61.8%)
Les supports. : 695-(677 fibo 38% qui est dans cette unité de temps le plus important)-635
Le cours est neutre à CT,coinçait entre ces 2 moyennes mobiles, on sera attentif à la confirmation du triangle et l’oblique //ROB et le point de polarité mensuel 677€