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Bonjour,
@ganglois
Citation :
QUE DISENT VRAIMENT LES ETUDES SCIENTIFIQUES SUR LES RADIATIONS EMISES PAR LES VOITURES ELECTRIQUES ?
Les résultats des recherches sont unanimes: les champs électromagnétiques émis par les voitures électriques se situent bien en-dessous des seuils considérés comme dangereux pour la santé humaine. Le projet européen EM-SAFETY, référence dans le domaine, a mesuré précisément ces rayonnements dans diverses conditions d’utilisation. Verdict? L’exposition aux ondes à l’intérieur d’une voiture électrique n’atteint que 20% des limites recommandées par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP).
Pour mettre ces chiffres en perspective, sachez que les véhicules thermiques traditionnels génèrent eux-mêmes environ 10% de cette même limite. La différence existe donc, mais reste minime et sans conséquence pour votre santé. Les recherches menées par le Centre commun de recherche de la Commission européenne à Ispra confirment ces données et écartent tout risque sanitaire lié à cette technologie.
Comparaison des niveaux d’exposition aux ondes électromagnétiques
Pour vous donner une idée plus précise, voici comment se situent les véhicules électriques par rapport à d’autres sources d’ondes électromagnétiques de notre quotidien:
Smartphone en appel contre l’oreille: exposition bien plus élevée que dans une voiture électrique
Four à micro-ondes en fonctionnement: rayonnement supérieur à celui d’un véhicule électrique
Électroménager standard (réfrigérateur, machine à laver): niveaux comparables aux voitures électriques
Wi-Fi domestique: émissions similaires
Cette mise en contexte permet de relativiser les craintes parfois exprimées sur les forums ou réseaux sociaux. Les champs magnétiques générés par la batterie et les systèmes électriques de votre véhicule sont du même ordre que ceux auxquels vous vous exposez quotidiennement sans y prêter attention.
Fin de citation
Nous sommes sortis du sujet de la chute des ventes en France des véhicules TESLA qui manifestement ne résulte pas de risques sanitaires ...
Je ne connais pas tous ces organismes qui se prononcent sur l'innocuité de l'utilisation des véhicules électriques mais, au moins, chacun pourra s'y référer si nécessaire ...
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Le marché automobile français a connu une légère embellie en août, avec une progression de 2,18 % des immatriculations de voitures neuves, selon les données publiées par la Plateforme automobile (PFA). Un sursaut bienvenu après plusieurs mois de baisse, qui porte le total mensuel à 87.850 véhicules neufs immatriculés.
Mais ce regain ponctuel ne masque pas une tendance encore morose : depuis le début de l’année, les ventes restent en recul de 7,14 %. En toile de fond, les incertitudes économiques, les arbitrages budgétaires des ménages et la transition énergétique continuent de peser sur les décisions d’achat.
Tous les constructeurs n’ont pas profité de la même dynamique en août. Tesla, l’un des acteurs majeurs du segment électrique, a vu ses immatriculations chuter de 47,25 % par rapport à l’année précédente. Seuls 1.331 véhicules ont été enregistrés, un chiffre en nette contraction.
À l’inverse, les deux géants français enregistrent une croissance identique de 2,3 %. Renault profite d’une gamme renouvelée et accessible, tandis que Stellantis bénéficie du succès de plusieurs modèles populaires, notamment dans le segment urbain. Ce timide rebond reste cependant à nuancer, car il s’inscrit dans un marché globalement en recul sur l’année.
La hausse enregistrée en août soulève autant de questions qu’elle n’apporte de réponses. Est-ce le signe d’une reprise durable ou d’un simple effet calendaire ? Le contexte inflationniste, les discussions autour du leasing social, et l’incertitude réglementaire autour des motorisations à venir rendent le marché particulièrement volatil.
Le mois d’août pourrait n’être qu’un point d’équilibre temporaire, alors que les constructeurs s’ajustent en permanence à une demande fluctuante. La rentrée, avec son lot de nouveautés et de promotions, sera décisive pour confirmer, ou non, ce frémissement observé en fin d’été.
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