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Je suis pas un prix Nobel, mais j'y songe un peu tout même : voici pourquoi …
Mes calcul à la con : la dette, c'est l'enfer…
En voici donc la preuve mathématique.
Je note : "Les intérêts de la dette seront de 67 milliards d'euros l'an prochain"
La leçon de chose du jour : rapporter les intérêts de la dette à la population du pays…
Voyons, voyons… Il y a 67 millions de Français…
Ça fait donc de tête 1000 € d'intérêt annuel de la dette par habitant…
V'oui, mais la moitité des con-tribuables ne payent pas d'impôt.
Ah, c'est facile, toujours de tête, je multiplie par 2 , ça fait donc 2000 € d'intérêt annuel de la dette par contribuable fiscalisé
V'oui, mais si il a une femme le con-tribuable
Ah, v'oui, de tête : ça fait 2000 multiplié par 2, ça fait 4000 €
Mais il a aussi des enfants, la France veut qu'il en ait 2…
OK, dont de tête , 4000 x 2 , ça nous fait donc 8000 € de charge d'intérêt annuel de la dette par un couple fiscalisé avec 2 enfants…
Et donc si je ramène par mois : j'obtiens 666, 66666…
Soit le chiffre favori du démon des enfers…
Conclusion : La dette, c'est l'enfer à porté des familles.
L’hexakosioïhexekontahexaphobie est une peur qui tire son origine du verset 13:18 de l'Apocalypse, l'un des livres de la Bible. Ce verset indique que le nombre 666 est le nombre de la Bête, bête associée à Satan ou à l'Antéchrist.
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CORRECTION : Mr Soustrait, prof de math.
9/20
Peut mieux faire. Manque de réalisme et d'enthousiame.
Vous avez trop d'imagination et l'esprit mal tourné, ça ne mérite pas la moyenne et surtout vous mettez le pays dans la merde avec vos calculs. Si vous croyez qu'on va s'en sortir avec le type de démonstration, vous vous mettez le doigt dans l'œil…
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Bravo à Philippe Aghion pour son prix mais il devrait s'abstenir de faire de la politique. Il souhaite que le Parti Socialiste soit sur la ligne du Gouvernement pour que le Rassemblement National n'arrive pas au pouvoir.
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on sait peut être ce qu'il faut faire ,mais on ne le fait pas !
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Bonjour,
Je trouve très étrange cette façon de saucissonner les Prix Nobel ! Une moitié à l'un et un quart à deux autres !
Comme s'il n'y avait pas assez d'années calendaires pour attribuer un prix par an à un seul savant, ou comme si les travaux d'un savant donné n'étaient pas d'une ampleur et d'une valeur suffisantes pour lui attribuer un prix plein et complet !
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Le Nobel d’économie 2025 met à l’honneur trois chercheurs majeurs, dont un Français, pour leurs analyses des ressorts technologiques de la croissance. Un trio qui bouscule notre manière de penser le progrès.
Le prix Nobel d’économie 2025 a été attribué ce lundi à trois chercheurs dont les travaux éclairent l’impact des technologies sur la croissance à long terme : le Français Philippe Aghion, l’Américano-Israélien Joel Mokyr, et le Canadien Peter Howitt.
Lors de l’annonce, l’Académie royale des sciences de Suède a précisé que la moitié du prix revenait à Joel Mokyr, 79 ans, "pour avoir identifié les conditions préalables à une croissance durable grâce au progrès technologique". L’autre moitié est attribuée conjointement à Philippe Aghion, 69 ans, et Peter Howitt, 79 ans, "pour leur théorie de la croissance durable à travers la destruction créatrice".
Les recherches de ces économistes ne datent pas d’hier, mais leur pertinence ne cesse de croître à mesure que nos économies se transforment. Le concept de destruction créatrice, hérité de Schumpeter, est au cœur des travaux d’Aghion et Howitt. Leur approche explique comment l’arrivée de nouvelles technologies remplace les anciennes, générant à la fois des pertes et de nouvelles opportunités économiques.
Joel Mokyr, de son côté, s’est penché sur les racines historiques de la croissance, en montrant comment la culture, l’éducation et l’ouverture aux idées nouvelles sont des moteurs invisibles mais décisifs de l’innovation.
Avec cette annonce, le cycle 2025 des prix Nobel s’achève. Avant eux, la Vénézuélienne Maria Corina Machado avait été distinguée pour la paix. En littérature, le Hongrois Laszlo Krasznahorkai a été récompensé. Côté sciences, des chercheurs britanniques, japonais, jordaniens et américains ont été honorés en physique, chimie et médecine.
Le trio Aghion-Mokyr-Howitt succède ainsi à un autre trio distingué en 2024 pour leurs recherches sur les inégalités de richesses : Daron Acemoglu, Simon Johnson et James A. Robinson.
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