CAC40: s'enfonce dans le rouge sur un 2e indicateur US.
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Haaa ces icebergs !!!
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Coque perçé on coule!!!
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Eh oui le mal est là que ce soit main street ou wall
street c'est le paramètre déterminant.Tant que nous ne passerons pas à de nouveaux marchés porteurs de développement le chômage empirera.Sachant qu'en France
le taux d'inactivité réel est de 18%.
La solution nous l'avons,mis tant que le monde sera dirigée par l'industrie pétrolière rien ne changera!
Le fakir
street c'est le paramètre déterminant.Tant que nous ne passerons pas à de nouveaux marchés porteurs de développement le chômage empirera.Sachant qu'en France
le taux d'inactivité réel est de 18%.
La solution nous l'avons,mis tant que le monde sera dirigée par l'industrie pétrolière rien ne changera!
Le fakir
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(CercleFinance.com) - Après les inscriptions au chômage, c'est au tour de l'indice 'Philly Fed' de venir saper un peu plus le moral du marché parisien: le CAC40 recule désormais de 1,4% à 3596 point, tandis que le DAX perd 1,3% à Francfort et que le Dow Jones abandonne 1,1%.
Décevant les attentes des économistes, la croissance de l'activité industrielle est désormais négative dans la région de Philadelphie en août, selon l'indice d'activité de la Fed locale qui vient de ressortir à -7,7 contre 5,1 en juillet et 8 en juin.
Globalement conforme aux attentes des économistes, l'indice des indicateurs avancés du Conference Board a augmenté de 0,1% en juillet, mais le chiffre du mois précédent a été révisé avec un recul de 0,3% (-0,2% en estimation initiale).
'Les indicateurs laissent présager une lente expansion d'ici la fin de l'année. Toutefois, la bonne nouvelle est qu'ils n'indiquent pas un retour à la récession' commente Ken Goldstein, économiste au Conference Board.
Le nombre des inscriptions hebdomadaires au chômage a augmenté de 12.000 la semaine dernière pour atteindre le cap symbolique des 500.000, soit leur plus haut niveau depuis novembre 2009, alors que les économistes attendaient au contraire un léger repli vers 478.000 inscriptions.
Les marchés ont pourtant salués l'annonce de la Bundesbank qui table désormais sur une croissance d'environ 3% du PIB allemand en volume sur l'année 2010, alors qu'elle n'envisageait que 2% jusque là.
Autre bonne nouvelle sur le front de l'économie en Europe, les ventes de détail au Royaume Uni ont augmenté de 1,3% en volume au mois de juillet en comparaison annuelle (+2,4% hors essence), alors que les analystes attendaient une progression plus limitée de 0,4%.
Du côté des valeurs françaises, l'actualité reste toujours aussi mince en ce creux du mois d'août. Renault perd 1% 33,8 euros, alors que Barclays Capital réaffirme son conseil 'sous-pondérer' avec un objectif de cours à 33 euros.
ArcelorMittal recule de 0,9% à 24,1 euros. Certains observateurs le présentent comme un repreneur naturel pour U.S. Steel, le sidérurgiste américain qui s'est envolé de presque 5% mercredi à Wall Street sur des rumeurs de rachat.
En revanche, Lafarge signe l'un des plus forts replis (-2,7% à 38 euros), dans le sillage du suisse Holcim - le deuxième cimentier mondial - qui s'est refusé à parler de reprise économique mondiale dans l'état actuel des choses, à l'occasion de ses résultats semestriels.
Hors CAC40, CGGVeritas cède 0,7% à 14,1 euros, tandis que Gilbert Dupont a dégradé sa recommandation, passant de 'acheter' à 'accumuler', et abaissé l'objectif de cours à 16 euros, contre 21,3 euros auparavant.
Copyright © 2010 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Décevant les attentes des économistes, la croissance de l'activité industrielle est désormais négative dans la région de Philadelphie en août, selon l'indice d'activité de la Fed locale qui vient de ressortir à -7,7 contre 5,1 en juillet et 8 en juin.
Globalement conforme aux attentes des économistes, l'indice des indicateurs avancés du Conference Board a augmenté de 0,1% en juillet, mais le chiffre du mois précédent a été révisé avec un recul de 0,3% (-0,2% en estimation initiale).
'Les indicateurs laissent présager une lente expansion d'ici la fin de l'année. Toutefois, la bonne nouvelle est qu'ils n'indiquent pas un retour à la récession' commente Ken Goldstein, économiste au Conference Board.
Le nombre des inscriptions hebdomadaires au chômage a augmenté de 12.000 la semaine dernière pour atteindre le cap symbolique des 500.000, soit leur plus haut niveau depuis novembre 2009, alors que les économistes attendaient au contraire un léger repli vers 478.000 inscriptions.
Les marchés ont pourtant salués l'annonce de la Bundesbank qui table désormais sur une croissance d'environ 3% du PIB allemand en volume sur l'année 2010, alors qu'elle n'envisageait que 2% jusque là.
Autre bonne nouvelle sur le front de l'économie en Europe, les ventes de détail au Royaume Uni ont augmenté de 1,3% en volume au mois de juillet en comparaison annuelle (+2,4% hors essence), alors que les analystes attendaient une progression plus limitée de 0,4%.
Du côté des valeurs françaises, l'actualité reste toujours aussi mince en ce creux du mois d'août. Renault perd 1% 33,8 euros, alors que Barclays Capital réaffirme son conseil 'sous-pondérer' avec un objectif de cours à 33 euros.
ArcelorMittal recule de 0,9% à 24,1 euros. Certains observateurs le présentent comme un repreneur naturel pour U.S. Steel, le sidérurgiste américain qui s'est envolé de presque 5% mercredi à Wall Street sur des rumeurs de rachat.
En revanche, Lafarge signe l'un des plus forts replis (-2,7% à 38 euros), dans le sillage du suisse Holcim - le deuxième cimentier mondial - qui s'est refusé à parler de reprise économique mondiale dans l'état actuel des choses, à l'occasion de ses résultats semestriels.
Hors CAC40, CGGVeritas cède 0,7% à 14,1 euros, tandis que Gilbert Dupont a dégradé sa recommandation, passant de 'acheter' à 'accumuler', et abaissé l'objectif de cours à 16 euros, contre 21,3 euros auparavant.
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