Ce sont les "PIG'S" qui pourrissent en ce moment le marché.
L'éclaircissement de la situation actuelle pourrait arriver plus vite qu'on ne le pense.
Le ralentissement économique actuel impactera peu sur la valeur des bancaires et l'engouement sur ces dernières arrivera ne serait-ce que par les nombeux fonds de pension qui devront à leur tour redorer leur blason.
L'éclaircissement de la situation actuelle pourrait arriver plus vite qu'on ne le pense.
Le ralentissement économique actuel impactera peu sur la valeur des bancaires et l'engouement sur ces dernières arrivera ne serait-ce que par les nombeux fonds de pension qui devront à leur tour redorer leur blason.
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de ton avis
se sera l'été des bancaires
sinon avec le coupon à plus de 5% comme sur GLE
on patientera
se sera l'été des bancaires
sinon avec le coupon à plus de 5% comme sur GLE
on patientera
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Du même avis que jp.D'ailleurs une petite louche de crédit agricole me dirait bien...
Message complété le 07/07/2011 12:36:21 par son auteur.
du meme avis que jipes pardon
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Je maintiens, n'en déplaise à certain, que cette année sera l'année des "bancaires".
Elles sont toutes pour la plupart "sous-cotées" et lorsque les tensions européennes se calmeront, le compartiment des bancaires montrera la voie à suivre pour l'ensemble de la bourse.
Ni l'étroitesse d'esprit de certains, ni les sectaires de gauche qui selon leurs convictions profondes devraient se tenir à distance des marchés financiers, n'arriveront à me faire changer d'avis.
Bonne journée à tous.
Elles sont toutes pour la plupart "sous-cotées" et lorsque les tensions européennes se calmeront, le compartiment des bancaires montrera la voie à suivre pour l'ensemble de la bourse.
Ni l'étroitesse d'esprit de certains, ni les sectaires de gauche qui selon leurs convictions profondes devraient se tenir à distance des marchés financiers, n'arriveront à me faire changer d'avis.
Bonne journée à tous.
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merci jipes pour tes infos
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L'UBS frappe un grand coup.
l'UBS a trouvé son prochain président. l'Allemand Axel Weber devrait succéder en 2013 à Kaspar Villiger à la tête de la banque.
L'ancien patron de la Bundesbank avait aussi été pressenti, un certain temps, pour prendre la tête de la Banque Centrale Européenne.
Monsieur Weber, sur lequel la chancelière allemande Madame Merkel avait misé toutes ses cartes, avait cueilli les dirigeants allemands à froid en annonçant qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat et en laissant entendre par la même occasion qu'il abandonnait l'idée d'être porté à la tête de la BCE.
Son expérience dans le secteur bancaire et financier international est extrêmement vaste Il la mettra au service de l'UBS de même qu'il se fait fort d'une solide expérience en matière de direction.
l'UBS a trouvé son prochain président. l'Allemand Axel Weber devrait succéder en 2013 à Kaspar Villiger à la tête de la banque.
L'ancien patron de la Bundesbank avait aussi été pressenti, un certain temps, pour prendre la tête de la Banque Centrale Européenne.
Monsieur Weber, sur lequel la chancelière allemande Madame Merkel avait misé toutes ses cartes, avait cueilli les dirigeants allemands à froid en annonçant qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat et en laissant entendre par la même occasion qu'il abandonnait l'idée d'être porté à la tête de la BCE.
Son expérience dans le secteur bancaire et financier international est extrêmement vaste Il la mettra au service de l'UBS de même qu'il se fait fort d'une solide expérience en matière de direction.
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Quid demain ?
L'explosion ou un coup d'arrêt ?
Ce soir à Wall Street
- Bank of America (+ 3 %)
- Citigroup (+ 2 %)
Cet engouement devrait se reporter sur les marchés européen.
Bonne nuit à tous.
L'explosion ou un coup d'arrêt ?
Ce soir à Wall Street
- Bank of America (+ 3 %)
- Citigroup (+ 2 %)
Cet engouement devrait se reporter sur les marchés européen.
Bonne nuit à tous.
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Voilà, voilà.
Bonne journée, lol !
Bonne journée, lol !
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Le recul des bancaires est tout à fait normal quand on voit que l'ensemble de la bourse a reculé de près de 6 % ces derniers temps.
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"En définitif, je pense que le secteur bancaire français sera peu impacté. "
CREDIT AGRICOLE SA [Données temps réel] 9.541 -3.66%
SOCIETE GENERALE [Données temps réel] 37.320 -3.75%
Merci pour ton anamyse, jipes. No comment.
CREDIT AGRICOLE SA [Données temps réel] 9.541 -3.66%
SOCIETE GENERALE [Données temps réel] 37.320 -3.75%
Merci pour ton anamyse, jipes. No comment.
Message complété le 16/06/2011 09:18:28 par son auteur.
Analyse, pas anamyse !
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je le pense aussi ; la situation financière de la BNP , en particulier, est solide.
laissez " chanter " moody's !!!
laissez " chanter " moody's !!!
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L'agence d'évaluation financière Moody's envisage d'abaisser le note des banques françaises BNP Paribas, Société Générale et Crédit Agricole du fait de leur exposition à la Grèce.
En définitif, je pense que le secteur bancaire français sera peu impacté.
En définitif, je pense que le secteur bancaire français sera peu impacté.
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Voilà qui pourra permettre de respirer, non seulement à des banques suisses, mais à quelques autres grandes banques européennes.
New York (awp/ats) - Les négociations entre la Suisse et les Etats-Unis
sur les questions d'évasion fiscale progressent, selon Reuters, l'agence
citant des sources gouvernementales américaines. Elles pourraient aboutir
à une solution valable non seulement pour les banques helvétiques,
mais étrangères aussi.
Selon ces sources, trois anciens et actuels fonctionnaires, les banques
devront s'acquitter d'une certaine somme d'argent et livrer les noms des
citoyens américains soupçonnés d'avoir fraudé le fisc. En
contrepartie, les autorités américaines abandonneraient les
poursuites judiciaires lancées contre les établissements.
Cités jeudi soir, les sources de Reuters n'ont en revanche pas
indiqué quelles banques seraient concernées pas cette
réglementation. Celle-ci rappelle en fait le règlement conclu avec
l'UBS, à laquelle les autorités américaines reprochaient l'aide
apportée à des clients soupçonnés d'évasion fiscale.
A la suite de l'accord, le numéro un bancaire helvétique avait
payé une amende de 780 millions de dollars et dû livrer
l'identité de quelque 4500 clients fortunés. Les sources citées
par Reuters indiquent que les détails concernant un tel accord doivent
encore être négociés, mais un projet pourrait déjà
être présenté d'ici juillet.
Le montant payé par l'ensemble des banques concernées pourraient
atteindre plusieurs milliards de dollars, toujours selon les sources de
Reuters. Les établissements qui ne souhaiteraient pas se rallier à
l'accord devraient quant à eux compter sur des plaintes et des
enquêtes.
A l'issue du conflit avec l'UBS, les autorités ont répété
à maintes reprises qu'elles entendaient étendre leurs enquêtes
à d'autres banques suisses et étrangères qu'elles
soupçonnent d'avoir aidé de riches clients à frauder le fisc.
Des collaborateurs du Credit Suisse, dont certains avaient travaillé pour
l'UBS, ont été arrêtés aux Etats-Unis.
En mars, le Credit Suisse avait été évoqué pour la
première fois dans le cadre d'une procédure visant une personne
soupçonnée de fraude fiscale. La deuxième banque suisse avait
toutefois répété avoir toujours agi en conformité avec les
lois américaines.
La Suisse est actuellement en négociation avec les Etats-Unis sur
l'application de la FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act), loi
américaine sur les institutions financières étrangères, a
indiqué à l'ATS Mario Tuor, porte-parole du Secrétariat d'Etat
aux questions financières internationales (SFI).
Dans ce cadre, des solutions aux anciens problèmes fiscaux sont
recherchées. Mais ces entretiens restent informels et les modalités
en sont ouvertes.
La FATCA entrera en vigueur en 2013. Elle obligera tous les
établissements financiers, donc les banques, sis en-dehors des Etats-Unis
à signer avec le fisc un accord aux termes duquel ils s'engagent à
lui communiquer diverses informations sur les ressortissants américains.
La Suisse en souhaite une application aussi légère que possible sur
le plan administratif, précise Mario Tuor.
ats/rp
(END) Dow Jones Newswires
10-06-11 0930GMT
New York (awp/ats) - Les négociations entre la Suisse et les Etats-Unis
sur les questions d'évasion fiscale progressent, selon Reuters, l'agence
citant des sources gouvernementales américaines. Elles pourraient aboutir
à une solution valable non seulement pour les banques helvétiques,
mais étrangères aussi.
Selon ces sources, trois anciens et actuels fonctionnaires, les banques
devront s'acquitter d'une certaine somme d'argent et livrer les noms des
citoyens américains soupçonnés d'avoir fraudé le fisc. En
contrepartie, les autorités américaines abandonneraient les
poursuites judiciaires lancées contre les établissements.
Cités jeudi soir, les sources de Reuters n'ont en revanche pas
indiqué quelles banques seraient concernées pas cette
réglementation. Celle-ci rappelle en fait le règlement conclu avec
l'UBS, à laquelle les autorités américaines reprochaient l'aide
apportée à des clients soupçonnés d'évasion fiscale.
A la suite de l'accord, le numéro un bancaire helvétique avait
payé une amende de 780 millions de dollars et dû livrer
l'identité de quelque 4500 clients fortunés. Les sources citées
par Reuters indiquent que les détails concernant un tel accord doivent
encore être négociés, mais un projet pourrait déjà
être présenté d'ici juillet.
Le montant payé par l'ensemble des banques concernées pourraient
atteindre plusieurs milliards de dollars, toujours selon les sources de
Reuters. Les établissements qui ne souhaiteraient pas se rallier à
l'accord devraient quant à eux compter sur des plaintes et des
enquêtes.
A l'issue du conflit avec l'UBS, les autorités ont répété
à maintes reprises qu'elles entendaient étendre leurs enquêtes
à d'autres banques suisses et étrangères qu'elles
soupçonnent d'avoir aidé de riches clients à frauder le fisc.
Des collaborateurs du Credit Suisse, dont certains avaient travaillé pour
l'UBS, ont été arrêtés aux Etats-Unis.
En mars, le Credit Suisse avait été évoqué pour la
première fois dans le cadre d'une procédure visant une personne
soupçonnée de fraude fiscale. La deuxième banque suisse avait
toutefois répété avoir toujours agi en conformité avec les
lois américaines.
La Suisse est actuellement en négociation avec les Etats-Unis sur
l'application de la FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act), loi
américaine sur les institutions financières étrangères, a
indiqué à l'ATS Mario Tuor, porte-parole du Secrétariat d'Etat
aux questions financières internationales (SFI).
Dans ce cadre, des solutions aux anciens problèmes fiscaux sont
recherchées. Mais ces entretiens restent informels et les modalités
en sont ouvertes.
La FATCA entrera en vigueur en 2013. Elle obligera tous les
établissements financiers, donc les banques, sis en-dehors des Etats-Unis
à signer avec le fisc un accord aux termes duquel ils s'engagent à
lui communiquer diverses informations sur les ressortissants américains.
La Suisse en souhaite une application aussi légère que possible sur
le plan administratif, précise Mario Tuor.
ats/rp
(END) Dow Jones Newswires
10-06-11 0930GMT
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Bien joué UBS !
AWP UBS pourrait externaliser sa banque d'affaires (synthèse)
26.05.11 10:03:44- AWFB
Zurich (awp/afp) - UBS pourrait externaliser sa banque d'affaires en
Amérique du Nord ou en Asie pour échapper à une législation
de plus en plus contraignante en Suisse, indique jeudi le "Wall Street
Journal".
La première banque suisse, qui a échappé de justesse à la
faillite en 2008 en raison de ses investissements massifs dans les "subprime"
américains, pourrait externaliser sa banque d'affaires à Londres, New
York ou Singapour, selon le quotidien économique.
La banque d'affaires, à l'origine des pertes astronomiques qu'avait subi
la grande banque durant la crise financière, serait transformée en
entité indépendante et dotée de capital propre, a poursuivi le
journal en citant des sources proches du dossier.
Cette opération protègerait la maison-mère d'éventuelles
difficultés rencontrées par sa banque d'affaires.
Cette dernière a dégagé au premier trimestre un
bénéfice avant impôts de 835 millions de francs. En 2008, au
plus fort de la crise financière, cette division avait subi une perte
avant impôt de 34,3 milliards.
UBS, contactée par l'AFP, n'était pas dans l'immédiat
disponible pour commenter ces informations. Une porte-parole a parlé
à AWP de "spéculations" et rappelé que la banque ne commente pas
les spéculations.
A la Bourse suisse, le titre UBS semblait profiter de cette annonce, l'action
prenant 1,44% à 16,23 francs sur un marché en progression de 0,17%
à 10H49.
Selon les analystes de Vontobel, une telle opération de séparation
"fait sens" et permettrait à UBS de se retrouver "sur un pied
d'égalité avec ses concurrents".
Le directeur général de l'établissement, Oswald Grübel, a
averti à plusieurs reprises du danger que représentent les nouvelles
normes bancaires suisses, beaucoup plus sévères que les normes
internationales fixées dans le cadre de Bâle III.
"Au cas où les places financières avec lesquelles nous sommes en
concurrence quotidiennement imposaient des exigences en matière de fonds
propres nettement moins élevées, il est important que nous
comprenions bien les conséquences qui en résulteraient", avait averti
M. Grübel fin avril.
"Si une distorsion de la concurrence devait se produire, il serait à
notre avis légitime de réexaminer s'il existe un juste équilibre
entre nos mesures et l'impact correspondant", avait-il ajouté.
Le Conseil fédéral a donné en avril son feu vert à des
normes plus strictes pour ses banques d'importance systémique (UBS et
Credit Suisse), qui devront remplir des exigences financières
sévères pour faire face à d'éventuelles crises.
Alors que Bâle III prévoit notamment de relever les ratios de fonds
propres durs des établissements à un minimum de 7%, les
régulateurs suisses ont opté pour un ratio d'au moins 10% et
l'utilisation d'obligations convertibles en actions en cas de difficultés
à hauteur de 9%.
rp
(END) Dow Jones Newswires
26-05-11 0903GMT
AWP UBS pourrait externaliser sa banque d'affaires (synthèse)
26.05.11 10:03:44- AWFB
Zurich (awp/afp) - UBS pourrait externaliser sa banque d'affaires en
Amérique du Nord ou en Asie pour échapper à une législation
de plus en plus contraignante en Suisse, indique jeudi le "Wall Street
Journal".
La première banque suisse, qui a échappé de justesse à la
faillite en 2008 en raison de ses investissements massifs dans les "subprime"
américains, pourrait externaliser sa banque d'affaires à Londres, New
York ou Singapour, selon le quotidien économique.
La banque d'affaires, à l'origine des pertes astronomiques qu'avait subi
la grande banque durant la crise financière, serait transformée en
entité indépendante et dotée de capital propre, a poursuivi le
journal en citant des sources proches du dossier.
Cette opération protègerait la maison-mère d'éventuelles
difficultés rencontrées par sa banque d'affaires.
Cette dernière a dégagé au premier trimestre un
bénéfice avant impôts de 835 millions de francs. En 2008, au
plus fort de la crise financière, cette division avait subi une perte
avant impôt de 34,3 milliards.
UBS, contactée par l'AFP, n'était pas dans l'immédiat
disponible pour commenter ces informations. Une porte-parole a parlé
à AWP de "spéculations" et rappelé que la banque ne commente pas
les spéculations.
A la Bourse suisse, le titre UBS semblait profiter de cette annonce, l'action
prenant 1,44% à 16,23 francs sur un marché en progression de 0,17%
à 10H49.
Selon les analystes de Vontobel, une telle opération de séparation
"fait sens" et permettrait à UBS de se retrouver "sur un pied
d'égalité avec ses concurrents".
Le directeur général de l'établissement, Oswald Grübel, a
averti à plusieurs reprises du danger que représentent les nouvelles
normes bancaires suisses, beaucoup plus sévères que les normes
internationales fixées dans le cadre de Bâle III.
"Au cas où les places financières avec lesquelles nous sommes en
concurrence quotidiennement imposaient des exigences en matière de fonds
propres nettement moins élevées, il est important que nous
comprenions bien les conséquences qui en résulteraient", avait averti
M. Grübel fin avril.
"Si une distorsion de la concurrence devait se produire, il serait à
notre avis légitime de réexaminer s'il existe un juste équilibre
entre nos mesures et l'impact correspondant", avait-il ajouté.
Le Conseil fédéral a donné en avril son feu vert à des
normes plus strictes pour ses banques d'importance systémique (UBS et
Credit Suisse), qui devront remplir des exigences financières
sévères pour faire face à d'éventuelles crises.
Alors que Bâle III prévoit notamment de relever les ratios de fonds
propres durs des établissements à un minimum de 7%, les
régulateurs suisses ont opté pour un ratio d'au moins 10% et
l'utilisation d'obligations convertibles en actions en cas de difficultés
à hauteur de 9%.
rp
(END) Dow Jones Newswires
26-05-11 0903GMT
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Voici quelques informations sur les banques françaises (en particulier) et d'autres banques européennes qui peuvent valoir leur pesant d'euros.
DJ ECHO BOURSE: Les banques françaises sont exposées à la Grèce
24.05.11 10:16:27- DJFB
PARIS (Dow Jones)--Bernstein Research estime que les banques françaises
sont les plus exposées à ce que l'analyste Dirk Hoffmann-Becking
perçoit comme une restructuration probable de la dette souveraine de la
Grèce, qui pourrait être suivie par un même scénario en
Espagne et au Portugal. En revanche, l'analyste estime que les banques suisses
UBS (UBS) et Credit Suisse (CS) seront moins touchées. "Dans l'ensemble,
nous pensons que les implications d'une restructuration ordonnée demeurent
totalement gérables avec, dans un scénario pessimiste, un impact
général sur les ratios Tier 1 allant de 76 points de base pour
Crédit Agricole, 50 points de base pour Barclays et 40 points de base pour
BNP, à des effets insignifiants pour UBS et Credit Suisse", observe
D.Hoffmann-Becking. L'analyste a une recommandation de surpondérer pour
Crédit Agricole (ACA.FR), Société Générale (GLE.FR),
Credit Suisse, et UBS, avec des objectifs de cours respectifs de EUR16, EUR61,
CHF53 et CHF23,80. Barclays (BCS) et BNP Paribas (BNP.FR) sont recommandés
à neutre, avec des objectifs de cours respectifs de 330 pence et EUR66.
(END) Dow Jones Newswires
May 24, 2011 05:16 ET (09:16 GMT)
Bonne soirée à tous.
DJ ECHO BOURSE: Les banques françaises sont exposées à la Grèce
24.05.11 10:16:27- DJFB
PARIS (Dow Jones)--Bernstein Research estime que les banques françaises
sont les plus exposées à ce que l'analyste Dirk Hoffmann-Becking
perçoit comme une restructuration probable de la dette souveraine de la
Grèce, qui pourrait être suivie par un même scénario en
Espagne et au Portugal. En revanche, l'analyste estime que les banques suisses
UBS (UBS) et Credit Suisse (CS) seront moins touchées. "Dans l'ensemble,
nous pensons que les implications d'une restructuration ordonnée demeurent
totalement gérables avec, dans un scénario pessimiste, un impact
général sur les ratios Tier 1 allant de 76 points de base pour
Crédit Agricole, 50 points de base pour Barclays et 40 points de base pour
BNP, à des effets insignifiants pour UBS et Credit Suisse", observe
D.Hoffmann-Becking. L'analyste a une recommandation de surpondérer pour
Crédit Agricole (ACA.FR), Société Générale (GLE.FR),
Credit Suisse, et UBS, avec des objectifs de cours respectifs de EUR16, EUR61,
CHF53 et CHF23,80. Barclays (BCS) et BNP Paribas (BNP.FR) sont recommandés
à neutre, avec des objectifs de cours respectifs de 330 pence et EUR66.
(END) Dow Jones Newswires
May 24, 2011 05:16 ET (09:16 GMT)
Bonne soirée à tous.
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GLE c'est le code boursier (ticker) de la Société Générale
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@ JCROIPLU
De mon côté, après avoir pris comme plus d'un un bouillon au début de la crise, je n'ai pas encore investi sur des titres proprement dits. Mais j'ai pris quelques "calls" à moyen terme. Comme toi, j'ai fait un pari mais je n'en donne pas le conseil.
De mon côté, après avoir pris comme plus d'un un bouillon au début de la crise, je n'ai pas encore investi sur des titres proprement dits. Mais j'ai pris quelques "calls" à moyen terme. Comme toi, j'ai fait un pari mais je n'en donne pas le conseil.
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Partant du principe que le "SYSTEME" capitaliste est basée sur la finance, les bancaires sont le dernier rempart avant le chaos général, si ce dernier venait à rompre. Donc constatant comme tu l'as fait que les bancaires étaient très en retard, j'ai effectivement chargé ma barque en bancaires, soit je coule et tout coule, et si par contre le "SYSTEME" tient je serai assuré d'une retraite dorée.J'ai pris le pari, c'est vraiment un coup de poker, que seul chacun peut prendre,et surtout à ne pas conseiller...
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Merci pour cette belle hausse en perspective.
Et après ?
Retour ou stabilisation (c'est ce problème qu'il n'est pas facile d'évaluer en ce moment) ?
Bonne journée Anick
Et après ?
Retour ou stabilisation (c'est ce problème qu'il n'est pas facile d'évaluer en ce moment) ?
Bonne journée Anick
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dans 2 mois max GLE est a 55/60
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