CAC40: une démission à la BCE sème la panique.
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Ok,mais pas récéssion,DEPRESSION,grande depression,- 25 à - 35% de production à 1 AN? CT/MT
Chute des biens,tous sauf L'OR,pas encore?conssomation minimaliste,car + de pauvres?
Tout vendre et attentisme réactif? ce jour,y compris immobilier faux refuge.
Les politiques,Ah qu'ils sont mauvais?
Chute des biens,tous sauf L'OR,pas encore?conssomation minimaliste,car + de pauvres?
Tout vendre et attentisme réactif? ce jour,y compris immobilier faux refuge.
Les politiques,Ah qu'ils sont mauvais?
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Maintenant et j'explique pourquoi.La crise nous emmène en récession ce que je ne souhaite pas.
La récession c'est la chute des matières premières,de l'immobilier et de l'or.Ce sont des marchés
hyper-réactifs car ils sont étroits.Pour moi il faut vendre aujourd'hui!
La récession c'est la chute des matières premières,de l'immobilier et de l'or.Ce sont des marchés
hyper-réactifs car ils sont étroits.Pour moi il faut vendre aujourd'hui!
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Salut cris pense tu que la bull de l or va éclater ?
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Il est de mon devoir de dire aux petits porteurs européens de vendre leurs avoirs investis dans les
fonds.Quel refuge proposer,pas la pierre à oublier.Je recommande aujourd'hui Berkshire Hataway et Capital
Group Companies.Gérés par les pluys grandes intelligences financières du monde c'est le refuge
ultime.Vendez votre or c'est le moment!
Le fakir
fonds.Quel refuge proposer,pas la pierre à oublier.Je recommande aujourd'hui Berkshire Hataway et Capital
Group Companies.Gérés par les pluys grandes intelligences financières du monde c'est le refuge
ultime.Vendez votre or c'est le moment!
Le fakir
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Ils vont nous faire un tour a la Copperfield
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Il serait le bienvenu ........
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auto réalisatrices. Peut être une bonne économiste, mais complétement nul en psychologie.
Il faut croire que tout est fait pour faire peur et faire vendre, je dit quand même qu'il faut se méfier , un lapin blanc pourrait sortir du chapeau.
Il faut croire que tout est fait pour faire peur et faire vendre, je dit quand même qu'il faut se méfier , un lapin blanc pourrait sortir du chapeau.
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J'aime bien LAGARDE. Quand elle était au gouvernement, elle disait que les banques Frznçaises ne risquaient rien et depuis qu'elle est au FMI, elle dit que les banques européennes, donc banques françaises inclus, auraient des problèmes de liquidités. Pouvoir quand tu nous tiens !!!!!
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(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris a brusquement accéléré ses pertes cet après-midi, l'annonce d'une démission d'un responsable de la BCE ayant semé un vent de panique.
Vers 16h20, le CAC40 recule de 3% à 2.995 points, tandis que Francfort et Londres perdent respectivement 3,2% et 2%. A Wall Street, le Dow Jones chute de 1,7%.
La BCE a annoncé cet après-midi la démission de Jürgen Stark du conseil des gouverneurs, qui prendra effet lorsqu'un successeur sera désigné d'ici la fin de l'année.
Si le communiqué précise que cette décision est motivée par des raisons personnelles, elle fait craindre l'existence de dissensions au sein de la banque centrale sur la politique monétaire à conduire, de quoi faire paniquer les opérateurs.
L'inquiétude gagne d'autant plus que Christine Lagarde a de nouveau affirmé que les banques européennes pourraient se trouver confrontées à 'des problèmes de liquidité'.
Pourtant, Barclays Bourse souligne que l'Europe politique a franchi plusieurs étapes cette semaine: l'Allemagne a jugé comme constitutionnel le plan de soutien à la Grèce auquel la France a donné son feu vert, le Sénat italien qui a voté le nouveau plan d'austérité et l'Espagne a approuvé l'inscription de la règle d'or.
Jean-Claude Trichet et Barack Obama ont quelque peu échoué dans leur entreprise de rassurer le marché et Ben Bernanke qui s'exprimait hier devant la presse à Minneapolis n'a apporté aucune précision sur les intentions de la Fed à 12 jours du prochain FOMC.
Des doutes subsistent quant à la réalisation du plan Obama pour l'emploi, compte tenu de la forte hostilité des républicains à ce plan qui prévoit certaines augmentations d'impôts pour les prochaines années pour en compenser le coût à court terme.
Autre élément peu encourageant, le PIB du Japon s'est finalement contracté de 0,5% au deuxième trimestre 2011, d'après une deuxième estimation, alors que cette baisse était annoncée à 0,3% seulement en première lecture.
Sur le plan des valeurs, les valeurs bancaires sont les premières à souffrir de ce contexte angoissant: Société Générale plonge de 9,7% à 17,6 euros, Crédit Agricole de 7,6% à 5,4 euros et Natixis de 7% à 2,4 euros.
ArcelorMittal accuse une baisse de 6,7% à 13,1 euros, après avoir annoncé la mise en veille du haut-fourneau P6 à Florange, 'étant donné l'actuel ralentissement saisonnier et les fluctuations de la demande dans certaines zones géographiques en Europe'.
Total cède 2,1% à 33 euros, malgré l'annonce une importante découverte de gaz en mer Caspienne, au large de l'Azerbaïdjan, et d'une découverte d'hydrocarbures dans l'offshore profond guyanais.
Sanofi abandonne aussi 2,1% à 48,2 euros, pénalisé par une note de Crédit Suisse qui a dégradé sa recommandation de 'surperformance' à 'neutre', et a abaissé son objectif de cours à 56 euros, contre 60 euros précédemment.
Hors CAC40, Groupe Guillin plonge de 15% à 45 euros, sanctionné après la publication de résultats en forte baisse au titre de son premier semestre, sous l'effet d'une forte augmentation du prix des matières premières.
Copyright © 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 16h20, le CAC40 recule de 3% à 2.995 points, tandis que Francfort et Londres perdent respectivement 3,2% et 2%. A Wall Street, le Dow Jones chute de 1,7%.
La BCE a annoncé cet après-midi la démission de Jürgen Stark du conseil des gouverneurs, qui prendra effet lorsqu'un successeur sera désigné d'ici la fin de l'année.
Si le communiqué précise que cette décision est motivée par des raisons personnelles, elle fait craindre l'existence de dissensions au sein de la banque centrale sur la politique monétaire à conduire, de quoi faire paniquer les opérateurs.
L'inquiétude gagne d'autant plus que Christine Lagarde a de nouveau affirmé que les banques européennes pourraient se trouver confrontées à 'des problèmes de liquidité'.
Pourtant, Barclays Bourse souligne que l'Europe politique a franchi plusieurs étapes cette semaine: l'Allemagne a jugé comme constitutionnel le plan de soutien à la Grèce auquel la France a donné son feu vert, le Sénat italien qui a voté le nouveau plan d'austérité et l'Espagne a approuvé l'inscription de la règle d'or.
Jean-Claude Trichet et Barack Obama ont quelque peu échoué dans leur entreprise de rassurer le marché et Ben Bernanke qui s'exprimait hier devant la presse à Minneapolis n'a apporté aucune précision sur les intentions de la Fed à 12 jours du prochain FOMC.
Des doutes subsistent quant à la réalisation du plan Obama pour l'emploi, compte tenu de la forte hostilité des républicains à ce plan qui prévoit certaines augmentations d'impôts pour les prochaines années pour en compenser le coût à court terme.
Autre élément peu encourageant, le PIB du Japon s'est finalement contracté de 0,5% au deuxième trimestre 2011, d'après une deuxième estimation, alors que cette baisse était annoncée à 0,3% seulement en première lecture.
Sur le plan des valeurs, les valeurs bancaires sont les premières à souffrir de ce contexte angoissant: Société Générale plonge de 9,7% à 17,6 euros, Crédit Agricole de 7,6% à 5,4 euros et Natixis de 7% à 2,4 euros.
ArcelorMittal accuse une baisse de 6,7% à 13,1 euros, après avoir annoncé la mise en veille du haut-fourneau P6 à Florange, 'étant donné l'actuel ralentissement saisonnier et les fluctuations de la demande dans certaines zones géographiques en Europe'.
Total cède 2,1% à 33 euros, malgré l'annonce une importante découverte de gaz en mer Caspienne, au large de l'Azerbaïdjan, et d'une découverte d'hydrocarbures dans l'offshore profond guyanais.
Sanofi abandonne aussi 2,1% à 48,2 euros, pénalisé par une note de Crédit Suisse qui a dégradé sa recommandation de 'surperformance' à 'neutre', et a abaissé son objectif de cours à 56 euros, contre 60 euros précédemment.
Hors CAC40, Groupe Guillin plonge de 15% à 45 euros, sanctionné après la publication de résultats en forte baisse au titre de son premier semestre, sous l'effet d'une forte augmentation du prix des matières premières.
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