CAC40: s'effondre avec les financières.
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A l'heure de mon calcul, le cac est à -5.03 et le futur down jones à -1.46 donc :
si j'additionne les deux que je multiplie par pi (fixé à deux décimals) et que je divise par le chiffre magique 7, je trouve -2.91 . je prédis donc un, somme toute, sympathique -2.91.
si j'additionne les deux que je multiplie par pi (fixé à deux décimals) et que je divise par le chiffre magique 7, je trouve -2.91 . je prédis donc un, somme toute, sympathique -2.91.
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attention avec les trackers à moyen terme, même à CAC constant il perdent régulièrement de la valeur. C'est le coût de la couverture de l'émetteur. Donc si on en tient un quelques mois on peut avoir des surprises.
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à combien va-t-on finir ce soir? quelqu'un a-t-il un avis?
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Je suis effondré.Il y aurait des gens mal intentionnés
c'est difficile à croire dans le jeu mirifique de à qui
perd gagne(rires)!
c'est difficile à croire dans le jeu mirifique de à qui
perd gagne(rires)!
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Voilà ce que je vais jouer en 2012 50% à part égale sur
Air liquide,Vallourec et LVMH et je me couvre a 50%
avec l'ETF CAC 40.Ca me permet de voir l'évolution sur
2012 qui sera agitée si sa plonge avec mes gains bear
je rachète ces actions et j'empoche les dividendes.Et
inversément et si on touche les 1800 points je vends mon
LYXOR
Air liquide,Vallourec et LVMH et je me couvre a 50%
avec l'ETF CAC 40.Ca me permet de voir l'évolution sur
2012 qui sera agitée si sa plonge avec mes gains bear
je rachète ces actions et j'empoche les dividendes.Et
inversément et si on touche les 1800 points je vends mon
LYXOR
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La technique est simple : terroriser les PP et faire effondrer les cours pour mieux se placer.
On appele cela du gangsterisme de bas étage dans un marché qui se veut régulé mais qui est à la solde de quelques agences fortement liées aux fonds speculatifs.
Vive le capitalisme !
On appele cela du gangsterisme de bas étage dans un marché qui se veut régulé mais qui est à la solde de quelques agences fortement liées aux fonds speculatifs.
Vive le capitalisme !
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(CercleFinance.com) - Entrainé par la chute des valeurs financières, le marché parisien continue sa descente aux enfers: rien ne semble en mesure de contrer la hantise grandissante d'une faillite de la Grèce aux conséquences incalculables.
En milieu de matinée, le CAC40 s'effondre de 4,5% à 2.841 points, tandis que le DAX abandonne 3,3% à Francfort et le FTSE, 2,6% à Londres. Vendredi, le Dow Jones et le Nasdaq avaient dévissé respectivement de 2,7% et de 2,4%.
'Le secteur bancaire européen est toujours plombé par la crainte que les fonds propres des banques soient insuffisants pour faire face à la dégradation de la crise de la dette souveraine de la zone euro', note Franklin Pichard, de Barclays Bourse.
Il souligne que si la Grèce a annoncé de nouvelles mesures d'austérité pour rassurer ses créanciers, 'le marché ne prend plus la Grèce au sérieux' et que la possibilité d'une faillite du pays fait craindre un effet boule de neige néfaste pour le secteur bancaire et donc pour l'économie.
'Pendant le week-end, la Grèce a catégoriquement démenti des 'rumeurs' sur un défaut de paiement du pays, mais la réunion des ministres des Finances du G7 n'a pas rassuré les marchés et les craintes de non-versement de la sixième tranche du plan de 2010 restent importantes', note de son côté Aurel BGC.
'De plus, la communication des politiques allemands reste négative', ajoute l'analyste, rapportant que 'le ministre allemand de l'Économie, Philipp Rösler n'exclut plus une faillite ordonnée de la Grèce pour sauver l'euro, dans un commentaire à paraître lundi dans le quotidien allemand Die Welt'.
Les valeurs financières pèsent donc lourdement sur le CAC40, y compris Société Générale, en chute de 11,8% à 15,4 euros, qui a annoncé une accélération et une adaptation de son plan stratégique. La banque anticipe un ratio Core Tier One Bâle III bien supérieur à 9% en 2013, sans augmentation de capital.
Les autres valeurs du secteur ne sont pas en reste, avec des reculs de 12,4% à 26,1 euros sur BNP Paribas, de 12,1% à 8,3 euros sur AXA, de 11,8% à 4,8 euros sur Crédit Agricole et de 8,1% à 2,2 euros sur Natixis.
Parmi les valeurs qui tentent de limiter la casse, figurent notamment des défensives comme Essilor (-2,1% à 54,4 euros), Pernod Ricard (-2,7% à 58,9 euros), Danone (-3% à 43,6 euros) ou L'Oréal (-3,1% à 70,8 euros).
Lui aussi dans le haut du classement, EADS parvient à ne céder 'que' 2,7% à 20,8 euros, aidé par la chute de l'euro face au dollar: à moins de 1,36 dollar, la monnaie unique retrouve un plus bas depuis février dernier.
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En milieu de matinée, le CAC40 s'effondre de 4,5% à 2.841 points, tandis que le DAX abandonne 3,3% à Francfort et le FTSE, 2,6% à Londres. Vendredi, le Dow Jones et le Nasdaq avaient dévissé respectivement de 2,7% et de 2,4%.
'Le secteur bancaire européen est toujours plombé par la crainte que les fonds propres des banques soient insuffisants pour faire face à la dégradation de la crise de la dette souveraine de la zone euro', note Franklin Pichard, de Barclays Bourse.
Il souligne que si la Grèce a annoncé de nouvelles mesures d'austérité pour rassurer ses créanciers, 'le marché ne prend plus la Grèce au sérieux' et que la possibilité d'une faillite du pays fait craindre un effet boule de neige néfaste pour le secteur bancaire et donc pour l'économie.
'Pendant le week-end, la Grèce a catégoriquement démenti des 'rumeurs' sur un défaut de paiement du pays, mais la réunion des ministres des Finances du G7 n'a pas rassuré les marchés et les craintes de non-versement de la sixième tranche du plan de 2010 restent importantes', note de son côté Aurel BGC.
'De plus, la communication des politiques allemands reste négative', ajoute l'analyste, rapportant que 'le ministre allemand de l'Économie, Philipp Rösler n'exclut plus une faillite ordonnée de la Grèce pour sauver l'euro, dans un commentaire à paraître lundi dans le quotidien allemand Die Welt'.
Les valeurs financières pèsent donc lourdement sur le CAC40, y compris Société Générale, en chute de 11,8% à 15,4 euros, qui a annoncé une accélération et une adaptation de son plan stratégique. La banque anticipe un ratio Core Tier One Bâle III bien supérieur à 9% en 2013, sans augmentation de capital.
Les autres valeurs du secteur ne sont pas en reste, avec des reculs de 12,4% à 26,1 euros sur BNP Paribas, de 12,1% à 8,3 euros sur AXA, de 11,8% à 4,8 euros sur Crédit Agricole et de 8,1% à 2,2 euros sur Natixis.
Parmi les valeurs qui tentent de limiter la casse, figurent notamment des défensives comme Essilor (-2,1% à 54,4 euros), Pernod Ricard (-2,7% à 58,9 euros), Danone (-3% à 43,6 euros) ou L'Oréal (-3,1% à 70,8 euros).
Lui aussi dans le haut du classement, EADS parvient à ne céder 'que' 2,7% à 20,8 euros, aidé par la chute de l'euro face au dollar: à moins de 1,36 dollar, la monnaie unique retrouve un plus bas depuis février dernier.
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