CAC 40: reprise fragile après la liquidation de la veille.
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si... encore une rumeur venue de Londres...ha.. bah non... rien de neuf !
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RIEN DE NEUF SOUS LE SOLEIL....que de vagues parlotes,de promesses non engageantes, de palabres diverses pour les médias et de contradictions de nos politiques...
La guerre économique - dollar contre euro- via les finances (endettement des états avec la répercussion sur les banques) bat son plein... Les états unis et leurs alliés anglos saxons attaquent le vieux continent ...pour défendre la suprématie de leur dollar.
La guerre économique - dollar contre euro- via les finances (endettement des états avec la répercussion sur les banques) bat son plein... Les états unis et leurs alliés anglos saxons attaquent le vieux continent ...pour défendre la suprématie de leur dollar.
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(CercleFinance.com) - Ereintée par sa séance éprouvante de jeudi, la Bourse de Paris tente de se raccrocher à son point d'équilibre vendredi, voire de légèrement pointer dans le vert à la faveur de quelques rachats techniques.
Vers 10h30, l'indice CAC 40 reprend 0,7% à 2800,1 points, repassant au-dessus du seuil important des 2800 points cassé hier.
L'actualité économique demeurant peu chargée en cette fin de semaine, ce sont une nouvelle fois les facteurs 'psychologiques' qui dictent la tendance sur les marchés, avec une tendance évidente à l'hésitation compte tenu des informations parfois contradictoires qui circulent ce matin.
Dans la nuit, les ministres des finances et gouverneurs des banques centrales du G20 se sont engagés à apporter une réponse 'forte' aux craintes qui ont fait chuter les Bourses mondiales hier, se disant notamment déterminés à soutenir la croissance.
'Si l'on parvient à éviter un défaut majeur, l'Europe pourrait échapper à la récession', assure Asoka Wöhrmann, le directeur d'investissements chez DWS Investments.
Reste que l'hypothèse d'un défaut grec ne semble plus totalement exclue par les responsables européens.
Evangelos Venizelos, le ministre des finances grec, aurait ainsi déclaré à certains parlementaires socialistes qu'il envisageait trois scénarios pour le pays, dont celui d'une restructuration ('haircut') équivalente à 50% de la dette.
Dans ce contexte d'ultra-prudence, les investisseurs reviennent seulement en douceur sur quelques noms massacrés durant le dernier épisode de la crise, dont Air France-KLM (+2,3%) ou BNP Paribas (+2,2%).
Les valeurs défensives comme Danone (+1,5%) ou Carrefour (+1,1%) sont également assez prisées.
En revanche, quelques titres considérés comme fragiles (Technicolor perd 2,6%) figurent encore parmi les plus fortes baisses du marché parisien.
Copyright © 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 10h30, l'indice CAC 40 reprend 0,7% à 2800,1 points, repassant au-dessus du seuil important des 2800 points cassé hier.
L'actualité économique demeurant peu chargée en cette fin de semaine, ce sont une nouvelle fois les facteurs 'psychologiques' qui dictent la tendance sur les marchés, avec une tendance évidente à l'hésitation compte tenu des informations parfois contradictoires qui circulent ce matin.
Dans la nuit, les ministres des finances et gouverneurs des banques centrales du G20 se sont engagés à apporter une réponse 'forte' aux craintes qui ont fait chuter les Bourses mondiales hier, se disant notamment déterminés à soutenir la croissance.
'Si l'on parvient à éviter un défaut majeur, l'Europe pourrait échapper à la récession', assure Asoka Wöhrmann, le directeur d'investissements chez DWS Investments.
Reste que l'hypothèse d'un défaut grec ne semble plus totalement exclue par les responsables européens.
Evangelos Venizelos, le ministre des finances grec, aurait ainsi déclaré à certains parlementaires socialistes qu'il envisageait trois scénarios pour le pays, dont celui d'une restructuration ('haircut') équivalente à 50% de la dette.
Dans ce contexte d'ultra-prudence, les investisseurs reviennent seulement en douceur sur quelques noms massacrés durant le dernier épisode de la crise, dont Air France-KLM (+2,3%) ou BNP Paribas (+2,2%).
Les valeurs défensives comme Danone (+1,5%) ou Carrefour (+1,1%) sont également assez prisées.
En revanche, quelques titres considérés comme fragiles (Technicolor perd 2,6%) figurent encore parmi les plus fortes baisses du marché parisien.
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