Marché: 'vers un QE3 massif, supérieur au QE2' (BNP Paribas)
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Si un QE3 le but c'est de permettre aux grands intervenants d'acheter des actions.Alimenter
les bourses c'est permettre de l'investissement pas cher.Le problème c'est qu'il faut qu'il y
ait un marché en face et de la prise de risque,ce qui n'est pas évident!
les bourses c'est permettre de l'investissement pas cher.Le problème c'est qu'il faut qu'il y
ait un marché en face et de la prise de risque,ce qui n'est pas évident!
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Faut-il ?
(essaie de faire plus court maintenant)
Tu peux y croire, mais tu peux aussi te poser des questions avant.
Un QE3 est possible, il y en a bien eu deux avant.
Est-ce que ça va arriver ? ou non ?
Est-ce que ça a une importance, ce QE3 ?
Si tu achètes juste parce que Mr BNP a dit qu'il était éventuellement possible qu'il y ait un QE3, qu'il pourrait peut-être être plus gros que les précédents, et bla bla bla, il est peut-être temps de se poser des questions en effet.
Au fait, Mr AMF, si je lance une rumeur sur un QE3, je risque combien ?
Et Mr BNP, lui, il a le droit ?
Ah oui ! lui, c'est un expert.
Excusez-moi, Mr AMF.
(essaie de faire plus court maintenant)
Tu peux y croire, mais tu peux aussi te poser des questions avant.
Un QE3 est possible, il y en a bien eu deux avant.
Est-ce que ça va arriver ? ou non ?
Est-ce que ça a une importance, ce QE3 ?
Si tu achètes juste parce que Mr BNP a dit qu'il était éventuellement possible qu'il y ait un QE3, qu'il pourrait peut-être être plus gros que les précédents, et bla bla bla, il est peut-être temps de se poser des questions en effet.
Au fait, Mr AMF, si je lance une rumeur sur un QE3, je risque combien ?
Et Mr BNP, lui, il a le droit ?
Ah oui ! lui, c'est un expert.
Excusez-moi, Mr AMF.
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Faut il croire ?
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Faut-il vraiment croire quelqu'un ?
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Faut-il vraiment croire ce que disent ces gens là !!!!
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QE = Quantitative Easing
En gros, c'est faire tourner la planche à billets. Sauf que maintenant, la planche à billets est un peu démodée. Alors on prend des types d'Harvard pour inventer des termes plus accrocheurs, plus fashion.
Il y a déjà eu deux QE auparavant, d'où l'expression QE3, qui n'est pour l'instant qu'une rumeur te serait le petit frère des deux précédents.
En gros, c'est faire tourner la planche à billets. Sauf que maintenant, la planche à billets est un peu démodée. Alors on prend des types d'Harvard pour inventer des termes plus accrocheurs, plus fashion.
Il y a déjà eu deux QE auparavant, d'où l'expression QE3, qui n'est pour l'instant qu'une rumeur te serait le petit frère des deux précédents.
Message complété le 28/09/2011 13:35:31 par son auteur.
[...]qui n'est pour l'instant qu'une rumeur et serait le petit frère des deux précédents.
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SVP ; qlq1 peut m'expliquer le terme QE2 ET QE3 ???
Merci :)
Merci :)
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(CercleFinance.com) - Philippe d'Arvisenet, Chef Economiste chez BNP Paribas, a pointé du doigt une conjoncture économique mondiale marquée par plusieurs chocs, dont certains imprévisibles, au cours d'une rencontre avec la presse ce mercredi matin.
Et l'horizon ne lui apparaît pas tellement moins sombre. Selon lui, 'la croissance mondiale sera plus faible en 2012 que cette année'.
Pour Jean-Luc Proutat, économiste chez BNP Paribas, toutes les conditions sont réunies pour que la BCE baisse ses taux avant la fin de l'année, probablement à 1%, en une seule fois, ou deux.
Ce dernier exclut toutefois un scenario de récession, arguant de la résistance du secteur non-financier.
'Les comptes des entreprises apparaissent solides, ainsi que les taux de marge', a-t-il souligné.
Alexandra Estiot, elle aussi économiste chez BNP Paribas, a pour sa part livré son analyse de la situation aux Etats-Unis.
'Il existe de nombreux blocages politiques relatifs aux solutions à adopter pour assainir les finances publiques, notamment concernant Medicare, l'aide médicale aux personnes âgées', a-t-elle indiqué.
Une vraie bataille se joue entre Républicains et Démocrates sur le sujet. 'A l'heure actuelle, les médecins et les pharmaciens pratiquent le prix qu'ils veulent et le remboursement des frais du patient est accordé indépendamment des montants déboursés', a précisé l'économiste, ajoutant que les dépenses d'infrastructure, liées par exemple à la construction d'autoroutes, constitue également une pomme de discorde.
Pour Alexandra Estiot, l'embellie de l'économie passe par une restauration de la confiance.
'La Fed tente d'y parvenir avec son opération Twist, destinée à démontrer la nécessité d'un QE3 qui pourrait être annoncé prochainement et devrait être massif, plus important que le précédent, donc bien supérieur à 600 milliards de dollars, dans le but d'augmenter l'appétit pour le risque', a-t-elle estimé.
Copyright © 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Et l'horizon ne lui apparaît pas tellement moins sombre. Selon lui, 'la croissance mondiale sera plus faible en 2012 que cette année'.
Pour Jean-Luc Proutat, économiste chez BNP Paribas, toutes les conditions sont réunies pour que la BCE baisse ses taux avant la fin de l'année, probablement à 1%, en une seule fois, ou deux.
Ce dernier exclut toutefois un scenario de récession, arguant de la résistance du secteur non-financier.
'Les comptes des entreprises apparaissent solides, ainsi que les taux de marge', a-t-il souligné.
Alexandra Estiot, elle aussi économiste chez BNP Paribas, a pour sa part livré son analyse de la situation aux Etats-Unis.
'Il existe de nombreux blocages politiques relatifs aux solutions à adopter pour assainir les finances publiques, notamment concernant Medicare, l'aide médicale aux personnes âgées', a-t-elle indiqué.
Une vraie bataille se joue entre Républicains et Démocrates sur le sujet. 'A l'heure actuelle, les médecins et les pharmaciens pratiquent le prix qu'ils veulent et le remboursement des frais du patient est accordé indépendamment des montants déboursés', a précisé l'économiste, ajoutant que les dépenses d'infrastructure, liées par exemple à la construction d'autoroutes, constitue également une pomme de discorde.
Pour Alexandra Estiot, l'embellie de l'économie passe par une restauration de la confiance.
'La Fed tente d'y parvenir avec son opération Twist, destinée à démontrer la nécessité d'un QE3 qui pourrait être annoncé prochainement et devrait être massif, plus important que le précédent, donc bien supérieur à 600 milliards de dollars, dans le but d'augmenter l'appétit pour le risque', a-t-elle estimé.
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