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CAC40: sous la menace d'une cassure des supports à W-Street.

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tirelire19 tirelire19
04/10/2011 10:21:53
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Nouvel excés baissier comme signalé hier soir à 23h30. La présence d' un double gap baissier est rassurante car graphiquement çà ne tient pas debout , la journée d' hier se trouve coincer entre les 2 gaps baissiers, ce deuxième gap sera rebouché lors d' un rebond à venir.
On a déjà vu ce scénario se produire les 19, 20, 21 septembre avec 2 gaps baissiers en amont et en aval
  
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triworld triworld
04/10/2011 10:15:38
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a la clôture, le S&P500 est sur des plus bas annuels

"Notre conviction est que les cycles de force relative sont précurseurs des tendances du marché sous-jacent, nous estimons donc hautement probable une baisse importante des actions américaines lors du dernier trimestre de cette année.

Les marchés actions américains sont le reflet des perspectives de l'économie réelle et se sont montrés particulièrement étanches à la crise de la dette souveraine. La macro et la micro économie sont les déterminants majeurs de la dynamique des actions américaine et à ce titre, nous avons identifié des baromètres qui indiquent clairement que les marchés financiers commencent à sanctionner ces mauvaises perspectives :

1) La nouvelle tendance haussière très construite du Dollar américain.
2) La nouvelle tendance baissière des matières premières industrielles, énergies et métaux.
3) La hausse des contrats de taux longs qui ont invalidé des structures de retournement de tendance à la baisse
Les actions américaines ne sont plus recherchées car les sphères réelles et financières se sont rejointes dans des perspectives très incertaines.


Examinons désormais les graphiques journaliers des indices S&P 500 et Nasdaq Composite :

S&P 500 : Le premier choc baissier a eu lieu entre le 22 juillet et le 9 août dernier et une période de consolidation latérale a suivi entre 1120 points (point bas du 9 août) et 1230 points (50% de retracement de la baisse estivale). La rupture des 1120 points activerait à nouveau la tendance baissière de moyen terme avec un objectif de correction à 1020 points.

Nasdaq Composite : La situation technique est similaire avec une pause latérale qui suit une forte baisse qui a eu lieu entre le 22 juillet et le 9 août dernier. Les cours sont enfermés entre le support majeur à 2331 points (point bas du 9 août) et 2616 points (ligne de cou de la formation de retournement de tendance à la baisse en triple sommet à 2860 points).

Nous relevons dont le point commun suivant : c'est la cassure des points bas du 9 août qui déclenchera une seconde accélération baissière de fond avec un potentiel de baisse des 10% pour les indices américains.

A plus court terme, l'indice Nasdaq Composite sort par le bas du canal ascendant qui guidait les cours depuis le 22 août de cette année. Le signal négatif est solide, nous anticipons à présent un retour des cours vers le support majeur à 2331 points."
  
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tirelire19 tirelire19
03/10/2011 23:31:49
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Malgré une ouverture probablement baissière du Cac 40 ce mardi 4 septembre, je joue une clôture haussière de celui çi, je l' ai prouvé à quelqu' un.
Ouverture en gap baissier ce mardi ? Si oui, deuxième gap pour refermer celui de la semaine dernière, pour tromper tout son monde par un nouveau excès baissier.

Message complété le 03/10/2011 23:33:55 par son auteur.

Mauvaise augure oui mais trompeuse : le piège parfait !

  
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tirelire19 tirelire19
03/10/2011 23:31:50
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(CercleFinance.com) - Après Hong Kong et Tokyo ce matin puis les places européennes, c'est a tour de Wall Street de dévisser à la mi-séance: les indices US ont rebasculé dans le rouge à partir de 18H puis ils ont rapidement doublé leurs pertes.
Ils se retrouvent au plus bas vers 20H avec un Dow Jones qui lâche 200Pts et menace le support des 10.700Pts tandis que le Nasdaq et le 'S&P' lâchent plus de 2% (le 'composite' s'enfonce en direction des 2.350Pts, un seuil sous lequel une spirale baissière menace de s'enclencher).
La situation apparaît encore plus critique du côté du 'S&P' qui enfonce son plancher annuel de de clôture des 1.120Pts testé les 8, 10 puis 18 août dernier (dans le même temps, le contrat octobre du CAC40 plonge sous les 2.880, son plancher du début de la matinée).

Tout ceci apparaît de très mauvais augure alors que la bonne tenue initiale des indices US avait permis au CAC40 de limiter la casse avec un repli de -1,85% à 2.926Pts après avoir plongé en début de séance vers 2.888Pts.
Wall Street qui avait mal entamé la séance (-0,7%) s'est un peu rassuré vers 16H avec la croissance de l'activité du secteur manufacturier: l'indice ISM s'est redressé à 51,6 alors que les économistes tablaient en moyenne sur un léger repli à 50,5.

Autre bonne nouvelle, les dépenses américaines de construction ont augmenté de 1,4% au mois d'août en comparaison séquentielle, alors que le consensus attendait une baisse de 0,2%.

Mais ces chiffres ne sauraient occulter un week-end chargé de mauvaises nouvelles en provenance de la Grèce (déficit budgétaire supérieur aux promesses d'Athènes pour cause de récesion) et de déclarations eurosceptiques des leaders politiques allemands.

Les opérateurs ont également mal digéré le plongeon de -4,3% de la bourse de Hong-kong (après -5% en séance)... les rumeurs d'un ralentissement plus sévère que prévu de l'activité en Chine commencent à circuler.
Pékin aurait délibérément privilégié la lutte contre l'inflation au détriment de la croissance, laquelle pourrait chuter sous les 8% qui sont le minimum technique pour prévenir une hausse du chômage.

Bien que les places européennes aient réduit leurs pertes de -2,5% vers 17H à -1,9% en moyenne, il s'agit bien de l'une des pires entames de trimestre de l'hitoire.
A Paris, seul le début de l'année 2001 avait été aussi mauvais (-2,15%) et le début du 3ème trimestre 2010 avait été pire (-3% le 1er juillet mais le mois s'était heureusement conclu par une hausse globale de +6%, le plus forte des 2 dernières années).

Pour le 5ème lundi consécutif, les places boursières sanctionnent l'absence de toute avancée sur le dossier grec durant le week-end:
'Les annonces selon lesquelles la Grèce pourrait ne pas remplir les objectifs de réduction du déficit cette année et l'an prochain énervent les opérateurs', souligne un professionnel basé à Londres.

Le marché portera également une attention toute particulière aux déclarations concernant le FESF... mais les politiques allemands s'acharnent à démontrer qu'il n'y a aucun espoir de renforcement du Fonds ni de changement de statut visant à le doter d'une capacité d'intervention plus étendue: l'Europe ira donc droit dans le mur car l'Allemagne ne propose de aucun 'plan B' si les plan d'aide du 21 juillet s'avère insuffisant.

En plus de la rigueur prônée par l'Allemange, l'Europe fait face aux premiers signes tangibles d'un ralentissement économique: le secteur manufacturier dans l'Eurozone reste se contracte pour le deuxième mois consécutif en septembre (le PMI s'enfonce sous la barre des 50 et désormais sous les 49), a indiqué Markit.

La seule heureuse exception concerne le secteur manufacturier du Royaume Uni qui est repassé en expansion en septembre, à en croire l'enquête mensuelle de Markit et du CIPS: l'indice PMI manufacturier est en effet passé de 49,4 en août (révisé contre une estimation initiale de 49) à 51,1 le mois dernier.

Markit signale en revanche une nouvelle détérioration de la conjoncture dans le secteur manufacturier français en septembre: son indice des acheteurs PMI se replie de 49,1 en août à 48,2, affichant ainsi son plus faible niveau depuis juillet 2009.

C'est dans ce contexte que les ministres européens des Finances doivent se réunir aujourd'hui et demain.

Jeudi, se réunira le conseil des gouverneurs de la BCE. La banque centrale devrait laisser ses taux directeurs inchangés, mais pourrait annoncer une nouvelle série de mesures dites 'non conventionnelles'.

Dans l'attente, l'Euro décroche de -1% sous les 1,33$: difficile de déterminer s'il faut s'en réjouir (la BCE va peut être accréditer le scénario d'une baisse de taux) ou le déplorer (c'est la preuve que la confinance dans l'Euro s'est nettement dégradée ce week-end).

Sur le front des valeurs, Dexia plonge de 10,15% à 1,300 euros, alors que Moody's a menacé de dégrader les notes des principales entités de l'établissement, à commencer par ses filiales Dexia Bank Belgium et Dexia Credit Local.
Alcatel-Lucent (-11%) est victime d'une étude négative sur le secteur des équipementiers télécom (qui ont déjà perdu plus de 50% en quelques mois... il faut croire que 'le pire' n'est pas encore dans les cours !).
Dans le même compartiment des 'technos', Soitec et Altran chutaient de -7,5% mais c'est le secteur parapétrolier qui accuse une nouvelle fois les plus lourds replis, les opérateurs occultant totalement le rebond du baril de pétrole entre 77 et 79,5$ ce lundi après-midi.

Technip et CGG Veritas ont plongé de -6,5%, Vallourec de -5,6% à 41E, comme si le monde allait s'enfoncer dans une récession plus sévère qu'en 2009 et que tous les investissements de recherche et d'exploitation allaient être divisés par 2 en 2012/2013.

le jeu de massacre continue sur les valeurs automobiles avec Renault (-3%), Valéo (-3,5%) et Faurecia (-7,3%): le marché français des voitures particulières neuves est ressorti en baisse de 1,4% à un peu plus de 167.600 immatriculations, au mois de septembre par rapport à la même période en 2010.
Parmi les rares rescapés du jour, Pernod-Ricard s'envole au final de +3,6% alors que la notation de sa dette vient d'être relevée.
Suez Environnement et Lafarge terminent in extremis en terriroire positif.






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