CAC40: une euphorie qui contraste avec les éléments concrets
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Eh oui, même si on nous dit mercredi que la crise est fini.
CE N'EST QU'UNE N'ETAPE !!!
CE N'EST QU'UNE N'ETAPE !!!
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Eh oui pour mercredi!
Désinformation et intox...accord en minima...explications contradictoires sans solutions concretes concernant le fond de la crise de l'Euro et une relance Européenne nécessaire...
Pour la GRECE c'est déjà trop tard et l'ITALIE deviendra la prochaine victime.
Comme nous redira notre Président : "On ne pouvait pas faire mieux!"
Suite à une prochaine réunion...
Désinformation et intox...accord en minima...explications contradictoires sans solutions concretes concernant le fond de la crise de l'Euro et une relance Européenne nécessaire...
Pour la GRECE c'est déjà trop tard et l'ITALIE deviendra la prochaine victime.
Comme nous redira notre Président : "On ne pouvait pas faire mieux!"
Suite à une prochaine réunion...
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Mercredi, on nous dira la crise de la zone euro est terminé, cela fait un moment depuis juillet, on nous endormi avec la musique de l' accord.
Les allemands ne voudront certainement plus mettre un euro de plus pour les mauvais élèves surendettés. Quant à nous français, vu l' état de nos finances , remettre des milliards en plus devient impossible , le triple AAA est là, le perdre, personne n' y pense .
Les allemands ne voudront certainement plus mettre un euro de plus pour les mauvais élèves surendettés. Quant à nous français, vu l' état de nos finances , remettre des milliards en plus devient impossible , le triple AAA est là, le perdre, personne n' y pense .
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Pendant que les politiques s' entendent pour la crise de la dette, car il y aura accord, le contraire est impensable compte tenu de la remontée des indices boursiers par anticipation euphorique, la situation économique se dégrade , on ne peut pas être partout à la fois sur tous les fronts.
La récession guette et pointe de plus en plus le bout de son nez. Les stats montrent quelque chose que les marchés ignorent pour l' heure.
On monte avec l' euphorie d' une sortie de crise de la zone euro, mais l' accord sera t'il aussi bon pour que les marchés y aient vu la vraie réalité ?
Souvenez vous de l' accord américain pour le supplément de dettes votée par le congrés, on se rendit bien vite compte que c' était une mauvaise chose de se permettre plus de dettes à la dette existante.
Pour l' heure, il faut profiter de la hausse sans volumes, mais viendra le retour de bâton, un autre tsunami baissier de grande ampleur viendra en son temps.
Un autre plan de rigueur nous attend, inévitable , nos objectifs de budget sont surévalués par rapport à la vraie réalité économique.
Nous allons le payer tôt ou tard.
La récession guette et pointe de plus en plus le bout de son nez. Les stats montrent quelque chose que les marchés ignorent pour l' heure.
On monte avec l' euphorie d' une sortie de crise de la zone euro, mais l' accord sera t'il aussi bon pour que les marchés y aient vu la vraie réalité ?
Souvenez vous de l' accord américain pour le supplément de dettes votée par le congrés, on se rendit bien vite compte que c' était une mauvaise chose de se permettre plus de dettes à la dette existante.
Pour l' heure, il faut profiter de la hausse sans volumes, mais viendra le retour de bâton, un autre tsunami baissier de grande ampleur viendra en son temps.
Un autre plan de rigueur nous attend, inévitable , nos objectifs de budget sont surévalués par rapport à la vraie réalité économique.
Nous allons le payer tôt ou tard.
Message complété le 24/10/2011 23:02:04 par son auteur.
mercredi, il ne se passera rien, tout est ficelé, du suspense non les marchés connaissent déjà la réponse, l' euphorie est en place .
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tout se jouera mercredi si accord il y à ,un rebond de CT sera le bien venue avant le massacre que tout le monde pense (si bien sûr si la récession il y aura )
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""Cette séance de lundi s'achève dans une quasi allégresse...""
Il n'est pas interdit de rèver avant de recevoir la claque des réalités en pleine figure...
Il n'est pas interdit de rèver avant de recevoir la claque des réalités en pleine figure...
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(CercleFinance.com) - Cette séance de lundi s'achève dans une quasi allégresse qui intrigue nombre d'observateurs 'rationnels' (heureusement, les marchés ne le sont pas toujours, surtout lorsqu'une 'main invisible' se charge de faire monter les cours dans des volumes d'échanges qui frisent l'indigence, avec seulement 2,55MdsE échangés à Paris.
Wall Street serait appartemment bien mieux placé que les européens pour pressentir que tout va bien mercredi se passer et que la crise grecque va être révolue.
Les indices US avaient rouvert sur une note modérément positive qui a rapidement laissé place à une quasi euphorie puisque le Nasdaq gagne la bagatelle de +2,1% alors que l'on peine à discerner dans l'actualité de l'après midi des éléments concrets -ou même des 'rumeurs bien informées'- qui pourraient expliquer l'ascension verticale des indices.
Les places européennes s'envolent de +1,45% en moyenne (sauf au Portugal ou l'indice PSI recule de -0,3%) et la bourse de Paris (+1,55%) pulvérise le palier des 3.200Pts pour en terminer au plus haut du jour, sur un score inespéré de 3.220Pts.
Francfort gagne de son côté +1,5% et déborde les 6.000Pts (à 6.055Pts) bien que le sommet de Bruxelles n'ait apporté aucune réponse satisfaisante pour la résolution de la crise grecque: ce qui compte, c'est que l'orthodoxie budgétaire de Berlin s'impose et que triomphe 'l'Euro fort' (le même qui asphyxie et anéantit commercialement les pays du Sud).
Un Euro qui a en effet grimpé en flêche (+0,5%) ce lundi après-midi, pour s'établir à 1,393$.
La situation d'Athène s'est gravement déteriorée ces dernières semaines: la question de la décote de la dette grecque ne représente qu'une partie des graves difficultés qu'affronte ce pays, en panne de croissance et dont le système bancaire reste dans une situation critique;... sans oublier un climat social explosif du fait de tout absence de perspective de redressement économique d'ici une décennie.
La mise sous tutelle de la Grèce réclamée par l'Allemagne ne s'accompagne d'aucun plan de relance, les privatisations prennent du retard car la cession des actifs s'apparente de plus en plus à une braderie.
La France doit renoncer à son projet d'implication de la BCE dans la garantie des futurs dettes émises par les pays en difficulté et c'est la position allemande qui prévaut dans le renforcement du FESF: autrement dit, il ne s'agira que d'un renforcement a minima, loin de l'effet de levier souhaité par l'Elysée, les banques françaises, et plus généralement les investisseurs anglo-saxons pour qui les moyens d'action quasi illimités de la FED demeurent une référence.
Alors que rien ne semble acquis à 48H du sommet de mercredi (sauf le principe d'un défaut partiel sur 50% (ou plus) de la dette grecque et une recapitalisation des banques (le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer l'estime à moins de 10MdsE pour les établissements tricolores), la toile de fond macro-économique s'assombrit.
L'indice PMI Markit pour la France est ressorti ce matin à 46,8, en forte baisse par rapport au mois précédent (50,2), ce qui montre un 'risque récessif aggravé' selon IG Market.
L'indice PMI flash composite Markit de l'activité globale dans l'Eurozone chute de 49,1 en septembre vers 47,2, ce qui signale à la fois une contraction du secteur privé de l'Eurozone pour le deuxième mois consécutif et la plus forte baisse de l'activité globale depuis juillet 2009.
Plus rassurant en revanche, l'indice des entrées de commandes dans l'industrie dans la zone euro a augmenté de 1,9% en août selon Eurostat.
Du côté des Etats-Unis, aucune statistique n'était attendue ce lundi: pas de nouvelle, bonne nouvelle semble constituer la maxime en vogue à Wall Street car les indices US s'envole de +3% en 48H au minimuim.
Dans une étude publiée ce matin, les stratèges de SG disent percevoir trois signaux 'majeurs' d'un essoufflement du cycle baissier des marchés d'actions d'ici 2012.
Il s'agit (1) du regain d'optimisme des investisseurs, (2) des rendements anormalement bas des bons du Trésor allemands et américains et (3) du niveau particulièrement élevé des CDS en Europe.
Sur le front des valeurs, Faurecia s'adjuge 12,3% à 19,75 euros suite à la publication d'un chiffre d'affaires du troisième trimestre en hausse de 16% en données publiées comme à données comparables.
Valéo grimpe de +4,35% dans sa foulée.
Le CAC40 était soutenu par la plupart des cycliques comme Vallourec, Lafarge et Alstom (+4,3% en moyenne), Accor (+5%) puis Arcelor (+5,5%). puis Sté Générale et Alcatel (+4,1% en moyenne).
Parmi les rares déceptions du jour, on retrouvait Total (-0,2%), Pernod Ricard (-0,45%) ou Unibail (-0,7%).
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Wall Street serait appartemment bien mieux placé que les européens pour pressentir que tout va bien mercredi se passer et que la crise grecque va être révolue.
Les indices US avaient rouvert sur une note modérément positive qui a rapidement laissé place à une quasi euphorie puisque le Nasdaq gagne la bagatelle de +2,1% alors que l'on peine à discerner dans l'actualité de l'après midi des éléments concrets -ou même des 'rumeurs bien informées'- qui pourraient expliquer l'ascension verticale des indices.
Les places européennes s'envolent de +1,45% en moyenne (sauf au Portugal ou l'indice PSI recule de -0,3%) et la bourse de Paris (+1,55%) pulvérise le palier des 3.200Pts pour en terminer au plus haut du jour, sur un score inespéré de 3.220Pts.
Francfort gagne de son côté +1,5% et déborde les 6.000Pts (à 6.055Pts) bien que le sommet de Bruxelles n'ait apporté aucune réponse satisfaisante pour la résolution de la crise grecque: ce qui compte, c'est que l'orthodoxie budgétaire de Berlin s'impose et que triomphe 'l'Euro fort' (le même qui asphyxie et anéantit commercialement les pays du Sud).
Un Euro qui a en effet grimpé en flêche (+0,5%) ce lundi après-midi, pour s'établir à 1,393$.
La situation d'Athène s'est gravement déteriorée ces dernières semaines: la question de la décote de la dette grecque ne représente qu'une partie des graves difficultés qu'affronte ce pays, en panne de croissance et dont le système bancaire reste dans une situation critique;... sans oublier un climat social explosif du fait de tout absence de perspective de redressement économique d'ici une décennie.
La mise sous tutelle de la Grèce réclamée par l'Allemagne ne s'accompagne d'aucun plan de relance, les privatisations prennent du retard car la cession des actifs s'apparente de plus en plus à une braderie.
La France doit renoncer à son projet d'implication de la BCE dans la garantie des futurs dettes émises par les pays en difficulté et c'est la position allemande qui prévaut dans le renforcement du FESF: autrement dit, il ne s'agira que d'un renforcement a minima, loin de l'effet de levier souhaité par l'Elysée, les banques françaises, et plus généralement les investisseurs anglo-saxons pour qui les moyens d'action quasi illimités de la FED demeurent une référence.
Alors que rien ne semble acquis à 48H du sommet de mercredi (sauf le principe d'un défaut partiel sur 50% (ou plus) de la dette grecque et une recapitalisation des banques (le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer l'estime à moins de 10MdsE pour les établissements tricolores), la toile de fond macro-économique s'assombrit.
L'indice PMI Markit pour la France est ressorti ce matin à 46,8, en forte baisse par rapport au mois précédent (50,2), ce qui montre un 'risque récessif aggravé' selon IG Market.
L'indice PMI flash composite Markit de l'activité globale dans l'Eurozone chute de 49,1 en septembre vers 47,2, ce qui signale à la fois une contraction du secteur privé de l'Eurozone pour le deuxième mois consécutif et la plus forte baisse de l'activité globale depuis juillet 2009.
Plus rassurant en revanche, l'indice des entrées de commandes dans l'industrie dans la zone euro a augmenté de 1,9% en août selon Eurostat.
Du côté des Etats-Unis, aucune statistique n'était attendue ce lundi: pas de nouvelle, bonne nouvelle semble constituer la maxime en vogue à Wall Street car les indices US s'envole de +3% en 48H au minimuim.
Dans une étude publiée ce matin, les stratèges de SG disent percevoir trois signaux 'majeurs' d'un essoufflement du cycle baissier des marchés d'actions d'ici 2012.
Il s'agit (1) du regain d'optimisme des investisseurs, (2) des rendements anormalement bas des bons du Trésor allemands et américains et (3) du niveau particulièrement élevé des CDS en Europe.
Sur le front des valeurs, Faurecia s'adjuge 12,3% à 19,75 euros suite à la publication d'un chiffre d'affaires du troisième trimestre en hausse de 16% en données publiées comme à données comparables.
Valéo grimpe de +4,35% dans sa foulée.
Le CAC40 était soutenu par la plupart des cycliques comme Vallourec, Lafarge et Alstom (+4,3% en moyenne), Accor (+5%) puis Arcelor (+5,5%). puis Sté Générale et Alcatel (+4,1% en moyenne).
Parmi les rares déceptions du jour, on retrouvait Total (-0,2%), Pernod Ricard (-0,45%) ou Unibail (-0,7%).
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