CAC4O:rechute vers 3200, Francfort en pleine euphorie à 6150
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Victoire de l'Alemagne sur la France ...
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Demain rien ne sera tranché... important désaccord avec l'Allemagne sur un réglement de fond de la crise (différence des cultures germaniques et latines).
Quelques soins palliatifs pour se donner à nouveau du tamps... jusqu'à fin 2011 et premier trimestre 2012.
Il faudra alors sauver l'Italie en avant goût du sauvetage probable de la France.
Quelques soins palliatifs pour se donner à nouveau du tamps... jusqu'à fin 2011 et premier trimestre 2012.
Il faudra alors sauver l'Italie en avant goût du sauvetage probable de la France.
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reunion des chefs d etats et gouv. maintenu....celle des ministre est annulée.
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quelle est ta source ????
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Le sommet européen de demain est annulé !
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L'Euro-fort triomphera tout seul...
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Bonjour...
L'horizon s'obsurcit...pour un mercredi dans le brouillard.
Après l'utopie des certitudes voici qu'avec les réalités les incertitudes réapparaissent.
A demain...
L'horizon s'obsurcit...pour un mercredi dans le brouillard.
Après l'utopie des certitudes voici qu'avec les réalités les incertitudes réapparaissent.
A demain...
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(CercleFinance.com) - Paris consolide dans des marges étroites depuis le milieu de la matinée et le CAC40 affichait -0,56% vers 14H35 (le seuil des 3.200 est pour l'instant préservé): un scénario qui n'est pas sans rappeler celui de la veille.
Mais il y a une variante et elle de taille: il suffit d'observer l'envolée météorique du DAX-30 de +1,5% ce mardi et de +6,5% en 3 séances!
Voilà de quoi édifier ceux qui douteraient encore du fait que le point de vue allemand (rigueur budgétaire, contrôle total du Bundestag sur le FESF, Euro extra-fort) triomphera mercredi lors du sommet 'de la dfernière chance'.
La BCE ne devrait pas être impliquée dans le nouveau schéma du FESF, conformément aux voeux d'Angela Merkel, laquelle a évoqué une dépréciation de la dette grecque de l'ordre de 50 à 60%, ce qui devrait nécessiter pour le secteur bancaire de nouvelles recapitalisations, après un hypothétique 'effort volontaire' pour tirer un trait sur leurs créances.
De nouveau, cette surperformance radicale du marché allemand trahit le retour des spéculations sur l'éclatement de la zone Euro, un scénario à l'issue duquel les valeurs allemandes seraient les seules à 'rester debout'.
Le DAX pulvérise la résistance des 6.075Pts testés les 15 aoüt et 17 alors que le CAC40 peinait à rejoindre les 3.230Pts au plus fort de la hausse initiale.
L'Euro-Stoxx50 n'est pas à la fète non plus (-0,25%) mais l'envolée du DAX -déjà évoquée- fausse la performance globale qui est plutôt grise sur le Vieux Continent avec -0,7% à Bruxelles et Madrid, -1% à Lisbonne.
A Wall Street, une petite consolidation (-0,2%) se dessine après 2 séances de hausse échevelée ou le mot d'ordre semble avoir été de tirer les cours le plus haut possible avec le moins de mise de fonds possible.
Les prochaines heures vont être marquées par une avalanche de trimestriels
(pas moins du tiers des valeurs du 'S&P-500' vont publier les leurs d'ici vendredi).
L'Euro s'effrite de quelques fractions face au Dollar (à 1,391) mais les indices US ne se mettraient à vraiment consolider que si le Dollar rebondissait au-delà des 1,385E (retour de l'aversion au risque).
La prudence reste de mise, selon un cambiste nord-européen : étant donné le nombre de questions auxquelles des réponses devront être apportées, en totalité ou en partie, nous sommes d'avis que les devises risquées doivent être suivies de près ou que les investisseurs seraient bien inspirés de placer des ordres avec 'stop loss', ajoute le spécialiste.
Partageant cet avis, le stratégiste Actions de BlackRock Bob Doll déclarait ce matin que 'même si les dirigeants parviennent à se mettre d'accord sur un tel programme, les tensions pourraient continuer d'escalader dans la mesure où ce plan ne suffirait à lui seul à régler les problèmes des dettes en Europe'. L'Europe a encore beaucoup de chemin à faire pour restaurer sa situation financière et rebâtir les fondations nécessaires à la croissance', ajoute-t-il.
A noter la situation très compliquée à laquelle l'Italie se retrouve confrontée alors que Silvio Berlusconi est mis sous pression par Angela Merkel pour une réduction supplémentaire des déficits alors que le Parlement italien -et notamment la Ligue du Nord- pourrait s'y opposer.
A Paris, ce sont les parapétrolières qui s'en tirent -et de très loin- le mieux avec Maurel et Prom (+2,5%), Technip (+1,2%) et CGG Veritas (+1%).
Du côté des baisses, STMicroelectronics chute de -8% à 5,02 euros après avoir vu ses résultats se dégrader au 3ème trimestre en raison d'une nouvelle détérioration du marché des semi-conducteurs.
Air France-KLM décroche de 3,8% à 5,4E euros sur des rumeurs évoquant un possible avertissement de la compagnie à l'occasion de la publication de ses comptes pour la période d'avril à septembre, le 9 novembre. Crédit Suisse estime de son côté que le titre pourrait être amené à pâtir d'un accroissement des spreads sur les obligations à haut rendement en Europe.
Forte baisse également de BNP-Paribas (-2,3%) puis Sté Générale et Saint Gobain (-3,1%) puid de Véolia (-4,5%).
Copyright © 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
recours au FESF se concrétise pour tenter d'éviter un tel scénario, sa force de frappe sera insuffisante et la Banque centrale européenne, qui joue déjà ce rôle à contrecoeur, devra sans doute continuer à racheter de la dette italienne pour jouer les pompiers.
Il reste enfin une autre inconnue avant le sommet de mercredi soir, et elle vient d'Allemagne. Les députés allemands doivent dorénavant être impliqués dans toute utilisation ou modification du FESF et la chancelière viendra mercredi leur présenter les mesures envisagées. Or contrairement à ce que prévoit le dispositif législatif, c'est toute l'assemblée qui devra se prononcer, et pas seulement la commission du Budget, ce qui rendra sa tâche plus difficile.
Mais il y a une variante et elle de taille: il suffit d'observer l'envolée météorique du DAX-30 de +1,5% ce mardi et de +6,5% en 3 séances!
Voilà de quoi édifier ceux qui douteraient encore du fait que le point de vue allemand (rigueur budgétaire, contrôle total du Bundestag sur le FESF, Euro extra-fort) triomphera mercredi lors du sommet 'de la dfernière chance'.
La BCE ne devrait pas être impliquée dans le nouveau schéma du FESF, conformément aux voeux d'Angela Merkel, laquelle a évoqué une dépréciation de la dette grecque de l'ordre de 50 à 60%, ce qui devrait nécessiter pour le secteur bancaire de nouvelles recapitalisations, après un hypothétique 'effort volontaire' pour tirer un trait sur leurs créances.
De nouveau, cette surperformance radicale du marché allemand trahit le retour des spéculations sur l'éclatement de la zone Euro, un scénario à l'issue duquel les valeurs allemandes seraient les seules à 'rester debout'.
Le DAX pulvérise la résistance des 6.075Pts testés les 15 aoüt et 17 alors que le CAC40 peinait à rejoindre les 3.230Pts au plus fort de la hausse initiale.
L'Euro-Stoxx50 n'est pas à la fète non plus (-0,25%) mais l'envolée du DAX -déjà évoquée- fausse la performance globale qui est plutôt grise sur le Vieux Continent avec -0,7% à Bruxelles et Madrid, -1% à Lisbonne.
A Wall Street, une petite consolidation (-0,2%) se dessine après 2 séances de hausse échevelée ou le mot d'ordre semble avoir été de tirer les cours le plus haut possible avec le moins de mise de fonds possible.
Les prochaines heures vont être marquées par une avalanche de trimestriels
(pas moins du tiers des valeurs du 'S&P-500' vont publier les leurs d'ici vendredi).
L'Euro s'effrite de quelques fractions face au Dollar (à 1,391) mais les indices US ne se mettraient à vraiment consolider que si le Dollar rebondissait au-delà des 1,385E (retour de l'aversion au risque).
La prudence reste de mise, selon un cambiste nord-européen : étant donné le nombre de questions auxquelles des réponses devront être apportées, en totalité ou en partie, nous sommes d'avis que les devises risquées doivent être suivies de près ou que les investisseurs seraient bien inspirés de placer des ordres avec 'stop loss', ajoute le spécialiste.
Partageant cet avis, le stratégiste Actions de BlackRock Bob Doll déclarait ce matin que 'même si les dirigeants parviennent à se mettre d'accord sur un tel programme, les tensions pourraient continuer d'escalader dans la mesure où ce plan ne suffirait à lui seul à régler les problèmes des dettes en Europe'. L'Europe a encore beaucoup de chemin à faire pour restaurer sa situation financière et rebâtir les fondations nécessaires à la croissance', ajoute-t-il.
A noter la situation très compliquée à laquelle l'Italie se retrouve confrontée alors que Silvio Berlusconi est mis sous pression par Angela Merkel pour une réduction supplémentaire des déficits alors que le Parlement italien -et notamment la Ligue du Nord- pourrait s'y opposer.
A Paris, ce sont les parapétrolières qui s'en tirent -et de très loin- le mieux avec Maurel et Prom (+2,5%), Technip (+1,2%) et CGG Veritas (+1%).
Du côté des baisses, STMicroelectronics chute de -8% à 5,02 euros après avoir vu ses résultats se dégrader au 3ème trimestre en raison d'une nouvelle détérioration du marché des semi-conducteurs.
Air France-KLM décroche de 3,8% à 5,4E euros sur des rumeurs évoquant un possible avertissement de la compagnie à l'occasion de la publication de ses comptes pour la période d'avril à septembre, le 9 novembre. Crédit Suisse estime de son côté que le titre pourrait être amené à pâtir d'un accroissement des spreads sur les obligations à haut rendement en Europe.
Forte baisse également de BNP-Paribas (-2,3%) puis Sté Générale et Saint Gobain (-3,1%) puid de Véolia (-4,5%).
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recours au FESF se concrétise pour tenter d'éviter un tel scénario, sa force de frappe sera insuffisante et la Banque centrale européenne, qui joue déjà ce rôle à contrecoeur, devra sans doute continuer à racheter de la dette italienne pour jouer les pompiers.
Il reste enfin une autre inconnue avant le sommet de mercredi soir, et elle vient d'Allemagne. Les députés allemands doivent dorénavant être impliqués dans toute utilisation ou modification du FESF et la chancelière viendra mercredi leur présenter les mesures envisagées. Or contrairement à ce que prévoit le dispositif législatif, c'est toute l'assemblée qui devra se prononcer, et pas seulement la commission du Budget, ce qui rendra sa tâche plus difficile.
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