CAC 40: l'accord européen applaudi des deux mains.
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Bonjour. La différence, c'est que en Octobre la mm200 était très loin alors que là elle est transpercée par la bougie. Antoine
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tu as tous faux
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salut tout le monde
Je passe en éclair , peu de temps , j' ai dû me tromper de date : c' était le 27 octobre 2011 , on s' était envolé aussi avec l' accord européen , la suite vous la connaissez !
27 octobre 2011 = 29 juin 2012
Je passe en éclair , peu de temps , j' ai dû me tromper de date : c' était le 27 octobre 2011 , on s' était envolé aussi avec l' accord européen , la suite vous la connaissez !
27 octobre 2011 = 29 juin 2012
Message complété le 29/06/2012 19:47:31 par son auteur.
toujours sur une fin de mois comme par hasard
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Le calendrier maya est formel c'est pour fin 2012.Mais
soyez sûr que cette mascarade qui a le mérite de montrer aux PP que la bourse est une arnaque et qu'ils
ne doivent pas y aller.Le marché obligataire avec des
corporate bonds offrant des rendements autour de 5% pour
certains produits.Pour le reste tant mieux si la fin de
l'année s'annonce radieuse pour nos capitalistes du CAC40.Cependant je ne vois toujours pas des imbéciles
pour participer à des augmentations de capital.Même
Parisot qui comprend pas grand chose s'inquiète à l'idée que l'on voudrait toucher aux dividendes,stoks
options,bonus et autres joyeusetés.A je le répète
être banquier universel le pied!
soyez sûr que cette mascarade qui a le mérite de montrer aux PP que la bourse est une arnaque et qu'ils
ne doivent pas y aller.Le marché obligataire avec des
corporate bonds offrant des rendements autour de 5% pour
certains produits.Pour le reste tant mieux si la fin de
l'année s'annonce radieuse pour nos capitalistes du CAC40.Cependant je ne vois toujours pas des imbéciles
pour participer à des augmentations de capital.Même
Parisot qui comprend pas grand chose s'inquiète à l'idée que l'on voudrait toucher aux dividendes,stoks
options,bonus et autres joyeusetés.A je le répète
être banquier universel le pied!
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Quelle folie!
Comment trouver les termes pour ces excès spéculatifs sur les titres "bancaires", la volatilité continue et après de telles hausses il faut bien entendu vendre immédiatement.
Aucune analyse fondamentale, aucun investissement ne peut à ce jour s'effectuer dans la sérénité face à de telles variations!
Comment trouver les termes pour ces excès spéculatifs sur les titres "bancaires", la volatilité continue et après de telles hausses il faut bien entendu vendre immédiatement.
Aucune analyse fondamentale, aucun investissement ne peut à ce jour s'effectuer dans la sérénité face à de telles variations!
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(CercleFinance.com) - L'indice parisien n'en finit plus de grimper ce jeudi, suite à l'accord trouvé à l'issue du sommet européen.
Vers 12h50, le CAC 40 progresse de 4,6% à 3317,8 points, tandis que le DAX avance de près de 4% et le FTSE de 2,3%.
'La fin du monde n'a pas eu lieu! Les annonces d'hier ont le mérite de valider un cadre au niveau européen pour pouvoir, non pas régler la crise de la dette, mais au moins rassurer et (essayer) de convaincre les marchés financiers de la volonté commune à l'Europe de se construire. Le prochain rendez-vous du 3 et 4 novembre (G20) devrait permettre d'apporter plus de détails sur le mode de fonctionnement du FESF nouvelle formule', indiquent les gérants de Barclays Bourse.
L'accord trouvé hier par les dirigeants européens prévoit - comme attendu - une décote de 50% sur les titres de dette souveraine grecque détenus par les banques.
Il comprend également une puissance de frappe de 1000 milliards d'euros pour le Fonds européen de stabilité financière (FESF) et un mécanisme de soutien aux banques du Vieux Continent.
Certains analystes dénoncent pour leur part un accord 'incomplet' mais reconnaissent qu'il est 'suffisant pour satisfaire les marchés'.
Ainsi, les dirigeants européens ont permis d'écarter le chaos, mais il est encore trop tôt pour crier victoire.
Du côté des Etats-Unis, les investisseurs prendront connaissance de la première estimation du PIB du troisième trimestre, indicateur déterminant pour les marchés, à 14h30. Le consensus table sur une croissance de 2,5%.
Au même moment, le marché accueillera les inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage, puis à 16h00, les promesses de ventes de logements anciens, attendues en petite hausse de 0,3%.
Les valeurs bancaires et financières caracolent en tête des plus fortes hausses des indices européens jeudi, les investisseurs estimant que l'accord trouvé dans la nuit à Bruxelles se révèle plutôt favorable aux établissements du Vieux Continent.
Sur le CAC, Crédit Agricole flambe de près de 20% à 5,8 euros, BNP Paribas de 16,3% à 34,9 euros, et Société générale de 14,7% à 21,5 euros.
AXA s'adjuge 12,8% à 12,2 euros, après la présentation de chiffres-clé jugés 'solides' au 3ème trimestre.
Globalement, les publications trimestrielles sont bien accueillies comme l'illustrent les bonds de PPR (+6,3% à 117,5 euros), GDF Suez (+5,5% à 22 euros) ou Technip (+4,3% à 70,9 euros) après leurs annonces respectives.
A l'inverse, Suez Environnement (-3,3% à 11,4 euros) est à la traîne suite à l'annonce d'un profit warning 'moins sévère que ce que le marché attendait' selon un analyste.
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Vers 12h50, le CAC 40 progresse de 4,6% à 3317,8 points, tandis que le DAX avance de près de 4% et le FTSE de 2,3%.
'La fin du monde n'a pas eu lieu! Les annonces d'hier ont le mérite de valider un cadre au niveau européen pour pouvoir, non pas régler la crise de la dette, mais au moins rassurer et (essayer) de convaincre les marchés financiers de la volonté commune à l'Europe de se construire. Le prochain rendez-vous du 3 et 4 novembre (G20) devrait permettre d'apporter plus de détails sur le mode de fonctionnement du FESF nouvelle formule', indiquent les gérants de Barclays Bourse.
L'accord trouvé hier par les dirigeants européens prévoit - comme attendu - une décote de 50% sur les titres de dette souveraine grecque détenus par les banques.
Il comprend également une puissance de frappe de 1000 milliards d'euros pour le Fonds européen de stabilité financière (FESF) et un mécanisme de soutien aux banques du Vieux Continent.
Certains analystes dénoncent pour leur part un accord 'incomplet' mais reconnaissent qu'il est 'suffisant pour satisfaire les marchés'.
Ainsi, les dirigeants européens ont permis d'écarter le chaos, mais il est encore trop tôt pour crier victoire.
Du côté des Etats-Unis, les investisseurs prendront connaissance de la première estimation du PIB du troisième trimestre, indicateur déterminant pour les marchés, à 14h30. Le consensus table sur une croissance de 2,5%.
Au même moment, le marché accueillera les inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage, puis à 16h00, les promesses de ventes de logements anciens, attendues en petite hausse de 0,3%.
Les valeurs bancaires et financières caracolent en tête des plus fortes hausses des indices européens jeudi, les investisseurs estimant que l'accord trouvé dans la nuit à Bruxelles se révèle plutôt favorable aux établissements du Vieux Continent.
Sur le CAC, Crédit Agricole flambe de près de 20% à 5,8 euros, BNP Paribas de 16,3% à 34,9 euros, et Société générale de 14,7% à 21,5 euros.
AXA s'adjuge 12,8% à 12,2 euros, après la présentation de chiffres-clé jugés 'solides' au 3ème trimestre.
Globalement, les publications trimestrielles sont bien accueillies comme l'illustrent les bonds de PPR (+6,3% à 117,5 euros), GDF Suez (+5,5% à 22 euros) ou Technip (+4,3% à 70,9 euros) après leurs annonces respectives.
A l'inverse, Suez Environnement (-3,3% à 11,4 euros) est à la traîne suite à l'annonce d'un profit warning 'moins sévère que ce que le marché attendait' selon un analyste.
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