CAC 40: stupeurs et tremblements.

'La France et l'Allemagne sont déterminées à assurer (...)la pleine mise en oeuvre (...) des décisions adoptées par le sommet..." SOMMES NOUS PRETS A EMPLOYER LA FORCE? Certains voyaioent déjà la Grèce sous tutelle... ils se forraient le doigt dans l'oeil. Moi je verrais bien des grandes manoeuvres militaires "prévues de logue date" en Méditerrannée dès la semaine prochaine. Pas glop pas glop.

Message complété le 02/11/2011 08:41:30 par son auteur.

(prévues par l'armée grecque naturellement)

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On ne peut que ce rejouir de l'initiative grecque : ne pas plier sous le dictat des marchés et du tandem sarkozy merkel.... La grece va demander purement et simplement l'annulation totale de sa dette en restant dans la zone euro et va l'obtenir.... Ainsi le peuple ne crevera plus de faim de nombreuses familles ne seront plus jetées a la rue et la vie politique par la force des choses sera moralisee et les finances publiques seront restaurées une fois les capitaux de nombre de richissimes armateurs rapatriés (l'equivalent de huit fois le montant de la dette).... Ensuite quelqu'un qui gagne 90 000 euros par mois ne pourra plus en déclarer 460 ....) Banquioers et magouilleurs vont payer ce n'est que justice !!!!

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(CercleFinance.com) - L'indice parisien n'a pas pu redresser la barre en fin de séance et reste sous les 3100 points, effrayé par la nouvelle donne en Grèce et encore peu rassuré par les réunions en cascade des responsables européens.

Ainsi, le CAC 40 termine en baisse de près de 5,4% à 3068,3 points, tandis que le DAX et le FTSE clôturent respectivement en repli de 5% et 2,3%.

'La France et l'Allemagne sont déterminées à assurer avec leurs partenaires européens la pleine mise en oeuvre, dans les meilleurs délais, des décisions adoptées par le sommet, qui sont aujourd'hui plus que jamais nécessaires', a indiqué l'Elysée.

Le Président de la République et la Chancelière ont convenu de se retrouver à Cannes demain mercredi dans l'après-midi, avant le début du G20, pour une réunion de consultation avec les institutions européennes et le FMI ainsi que pour une réunion avec les autorités grecques, afin de prendre toutes les mesures nécessaires pour la mise en oeuvre dans les meilleurs délais de l'accord conclu le 27 octobre à Bruxelles.

'La décision du premier ministre grec Papandreou de mettre en place un referendum remet en cause le plan de restructuration de la dette grecque (avec un haircut de 50%) et, mécaniquement, le plan de recapitalisation des banques européennes', indique-t-on chez Aurel BGC, pour qui la perspective d'une résolution rapide et définitive de la crise grecque s'éloigne.

Au chapitre des données économiques du jour, peu considérées, la croissance de l'activité du secteur manufacturier américain s'est ralentie en octobre, à en croire l'enquête mensuelle de l'ISM réalisée auprès des directeurs d'achats.

Les dépenses de construction ont augmenté quant à elles de 0,2% au mois de septembre aux Etats-Unis en comparaison séquentielle, conformément au consensus qui attendait une hausse de moins de 0,5%.

Par ailleurs, le PIB du Royaume-Uni a augmenté de 0,5% au troisième trimestre 2011, d'après l'estimation préliminaire de l'office national de statistiques.

En outre, après un bref rebond en septembre, le secteur manufacturier du Royaume-Uni est repassé nettement en zone de contraction en octobre, à en croire l'enquête mensuelle de Markit et du CIPS.

Sur le front des valeurs, sans surprise, les bancaires ont été particulièrement malmenées.

Ainsi, Société Générale affiche un recul de 16,2% à 17,6 euros, Crédit Agricole de 12,5% à 4,9 euros et BNP Paribas de 13% à 28,5 euros.

Dassault Systèmes clôture en repli de 1,6% à 59,9 euros, alors que Bryan Garnier a dégradé sa recommandation d''achat' à 'neutre', avec une valeur intrinsèque pourtant rehaussée de 60 à 65 euros.

Air France-KLM termine en baisse de 8,1% à cinq euros, au quatrième jour de grève.

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