CAC 40: le Sud de l'Europe s'impose et rassure.
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Pouvu qu'ça dure (avec le bon graphique cette fois)
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j'espère qu'elle s'en souviendra...
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le problème... c'est que l'ON a forcé la main d'ANGELA.
et je peux vous dire qu'ELLE s'en souviendra...
à partir de ce jour, la conciliation franco-allemande est MORTE.
et je peux vous dire qu'ELLE s'en souviendra...
à partir de ce jour, la conciliation franco-allemande est MORTE.
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Come prima!Babar les grandes oreilles quitte le navire pour aller au chaud à la caisse.Pas
fou le mec!
fou le mec!
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(CercleFinance.com) - Les investisseurs expriment leur soulagement après les décisions prises au sommet européen, permettent à l'indice parisien d'afficher une nette hausse.
A la mi-séance, le CAC 40 grimpe de 2,6% à 3131,7 points, tandis que le FTSE et le DAX avancent respectivement de 1,3% et 2,1%.
'L'Italie et l'Espagne ont associé leurs forces pour arracher des concessions significatives à l'Allemagne', souligne un analyste basé à Londres.
Barclays Bourse salue pour sa part 'l'accord surprise pour faire baisser la tension sur la dette espagnole et italienne'. Ainsi, les dirigeants de la zone euro ont décidé la mise en place d'ici la fin de l'année d'un mécanisme permettant de recapitaliser directement les banques via les fonds de secours FESF et MES.
De plus, le FESF et le MES pourront acheter directement sur le marché secondaire la dette des pays les plus fragiles en Europe.
Un mécanisme de supervision financière devrait aussi apparaitre avec une supervision de la Banque centrale européenne, tandis qu'un pacte de croissance de 120 milliards d'euros verra le jour.
'Il reste maintenant à lever l'incertitude concernant le timing de l'application des mesures d'urgence', nuancent les gérants de Barclays Bourse.
'Le principal élément positif est le recul du risque bancaire avec un lien Etat/banque moins important grâce à la recapitalisation directe des banques par les fonds de secours', se félicite donc Aurel BGC.
'Un des problèmes majeurs de la Grèce était que les prêteurs officiels désiraient être prioritaires par rapport aux créanciers existant et cela a immédiatement affecté les obligations souveraines grecques. Un des soucis de l'Europe était que la même chose risquait de se répéter en Espagne. Cela ne sera pas le cas grâce au sommet d'hier soir', estime par ailleurs Saxo Banque.
Le marché s'apprête à détourner son attention vers les Etats-Unis cet après-midi, où toute une batterie de statistiques doit être publiée, à commencer par les revenus et dépenses des ménages pour mai à 14h30, attendus respectivement en hausse de 0,2% et 0,1%.
L'indice PMI de Chicago pour juin paraîtra quant à lui à 15h45. Les analystes tablent sur une légère hausse à 53. Dix minutes plus tard, les investisseurs prendront connaissance de la confiance des consommateurs du Michigan pour juin, attendue en petite progression à 74,5.
Sur le front des valeurs, Suez Environnement accuse la plus forte baisse du SBF 120, reculant de 6,3% à 8,5 euros, en raison d'objectifs financiers revus en baisse pour 2012.
Casino grimpe de 1,6% à 68 euros, suite à l'accord avec Galeries Lafayette sur Monoprix.
Vivendi avance de 2,4% à 14,5 euros, tandis que le conseil de surveillance a confirmé le départ de Jean-Bernard Lévy de ses fonctions de président du directoire 'suite à une divergence sur l'évolution stratégique du groupe'.
Enfin, EuropaCorp s'adjuge 13% à 2,1 euros, au lendemain de comptes annuels marqués par un retour surprise à l'équilibre de son résultat net part du groupe.
Copyright © 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
A la mi-séance, le CAC 40 grimpe de 2,6% à 3131,7 points, tandis que le FTSE et le DAX avancent respectivement de 1,3% et 2,1%.
'L'Italie et l'Espagne ont associé leurs forces pour arracher des concessions significatives à l'Allemagne', souligne un analyste basé à Londres.
Barclays Bourse salue pour sa part 'l'accord surprise pour faire baisser la tension sur la dette espagnole et italienne'. Ainsi, les dirigeants de la zone euro ont décidé la mise en place d'ici la fin de l'année d'un mécanisme permettant de recapitaliser directement les banques via les fonds de secours FESF et MES.
De plus, le FESF et le MES pourront acheter directement sur le marché secondaire la dette des pays les plus fragiles en Europe.
Un mécanisme de supervision financière devrait aussi apparaitre avec une supervision de la Banque centrale européenne, tandis qu'un pacte de croissance de 120 milliards d'euros verra le jour.
'Il reste maintenant à lever l'incertitude concernant le timing de l'application des mesures d'urgence', nuancent les gérants de Barclays Bourse.
'Le principal élément positif est le recul du risque bancaire avec un lien Etat/banque moins important grâce à la recapitalisation directe des banques par les fonds de secours', se félicite donc Aurel BGC.
'Un des problèmes majeurs de la Grèce était que les prêteurs officiels désiraient être prioritaires par rapport aux créanciers existant et cela a immédiatement affecté les obligations souveraines grecques. Un des soucis de l'Europe était que la même chose risquait de se répéter en Espagne. Cela ne sera pas le cas grâce au sommet d'hier soir', estime par ailleurs Saxo Banque.
Le marché s'apprête à détourner son attention vers les Etats-Unis cet après-midi, où toute une batterie de statistiques doit être publiée, à commencer par les revenus et dépenses des ménages pour mai à 14h30, attendus respectivement en hausse de 0,2% et 0,1%.
L'indice PMI de Chicago pour juin paraîtra quant à lui à 15h45. Les analystes tablent sur une légère hausse à 53. Dix minutes plus tard, les investisseurs prendront connaissance de la confiance des consommateurs du Michigan pour juin, attendue en petite progression à 74,5.
Sur le front des valeurs, Suez Environnement accuse la plus forte baisse du SBF 120, reculant de 6,3% à 8,5 euros, en raison d'objectifs financiers revus en baisse pour 2012.
Casino grimpe de 1,6% à 68 euros, suite à l'accord avec Galeries Lafayette sur Monoprix.
Vivendi avance de 2,4% à 14,5 euros, tandis que le conseil de surveillance a confirmé le départ de Jean-Bernard Lévy de ses fonctions de président du directoire 'suite à une divergence sur l'évolution stratégique du groupe'.
Enfin, EuropaCorp s'adjuge 13% à 2,1 euros, au lendemain de comptes annuels marqués par un retour surprise à l'équilibre de son résultat net part du groupe.
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