Le gouvernement Ayrault a sorti sa massue fiscale

Tout à fait d'accord avec toi, Maxi. C'est ce que j'énonce depuis quelques temps déjà. Je n'ai pas d'étiquette quelconque collée dans le dos, mais, tout simplement, j'en plein de ....... dos (voire un peu plus bas) que l'on nous prenne pour des .. disons-le, pour des cons. Si, à l'occasion d'élections, nous étions une très large majorité à exprimer CLAIREMENT , avec un texte clair et sans ambiguïté, notre ressentiment, il faudrait bien alors que nos politiciens ( et non pas "politiques" comme certains les définissent) comprennent le message. Les votes "de déception" sont interprétés par eux comme..... et patati, et patata, et bla-bla, et bla-bla... et je vous ai compris. Bien que tous énarques, avec des cerveaux gros comme ça, ils sont tout à fait incapables de comprendre vraiment les votes de contestation codés.

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Si tu veux savoir ce qui arrive quand un type qui sort pas du même moule essaie de se présenter, tu n'as qu'à regarder la candidature de Michel Colucci.

"que l’on nous prend, nous, citoyens français, pour des…. billes."
Non, on nous prend pas pour des billes, mais pour des c..s.
Parfois, il faut l'avouer, fort à propos.

Peut-être que s'il y avait 90% de votes blancs à la présidentielle, on se regarderait tous dans les yeux, en se demandant s'il n'est pas temps de passer à autre chose.
Comme des grands garçons, et des grandes filles.

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Souvenez-vous. Il y a 5 ans….. suite à un discours de politique générale . C’était alors un autre gouvernement, avec une tendance supposée diamétralement opposée à l’actuel… Nous formulions les mêmes commentaires : des prélèvements, encore des prélèvements, toujours des prélèvements… mais pas une seule fois nous n’avons entendu prononcer « économies de fonctionnement de l’ Etat ».
Je vais peut-être vous paraître mauvais esprit, mais j’ai franchement la désagréable impression que, qu’ils soient d’un bord ou de l’autre, ils ont toujours la même façon d’agir, les mêmes recettes,….qu’ils sortent « du même moule »… que l’on nous prend, nous, citoyens français, pour des…. billes.
Plongez dans vos souvenirs : de tous temps, on a toujours connu la même stratégie.
Comme le disait si justement, en son temps, un certain Jacques DUCLOS (candidat aux présidentielles et tribun de talent, en 1960 et des poussières) : tout ça, c’est blanc bonnet et bonnet blanc, formule restée gravée dans les mémoires. Et il savait de quoi il parlait le bougre, étant lui-même politicien.

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Alors que la Cour des Comptes conseillait un effort à 50/50 entre hausse des impôts et économies du public, on peut estimer que les fonctionnaires ont plutôt été préservé (dans le sens des économies à y faire).

Ne pas oublier que les fonctionnaires sont le vivier électoral de la gauche.

Je pense qu'arrivera le moment où le Gouvernement devra y trancher.

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moi ,je dis rien de tel qu'une bonne relance de la croissance par un plus grand nombre de fonctionnaires qui par leurs consommations va redonner du baume au cœur, à nous pauvres français salariés ou libéraux.

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Hier soir un économiste avançais qu'aux T2 et T3 2013 nous pourrions être en récession.

En cas de croissance "molle" en 2013 (cf l'Expansion : "Hollande et le casse-tête budgétaire"), ce ne sont plus 33 milliards à trouver mais 55 milliards d'euros.

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wesh !

1.7, 1.2, puis ?? faites vos jeux (morbide) !!

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Prévision de croissance ramenée à 1.2 % dernièrement (et non plus à 1.7 %).

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1,7% attendus jusqu'à présent pour 2013, lors de son discours de politique générale.

mort de rire...

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Monsieur Ayrault persiste et signe contre le terme "austérité".

Augmentation des impôts en 2012 : 7.2 millirds d'euros donc ce n'est pas de l'austérité.

Pour le moment, 33 milliards d'euros supplémentaires à trouver en 2013 (à condition d'avoir une croissance à 1.2 %) : là c'est de l'austérité.

Je trouve qu'il a raison : nous ne sommes pas encore à l'austérité (humour noir).

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Ceci est une opinion, et non une analyse

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Ne vous illusionnez pas.... Vous n'aurez pas les moyens de vous payez des mouchoirs ! Mais, la France a voté !!!

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J'ai moi aussi cru comprendre que c'était l'intéressement aux bénéfices.

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C'est comme les gaps en bourse: à la hausse ou à la baisse, le coup de gap a souvent une prolongation, voire d'être renouvelé.

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l epargne salarial c l intéressement au benefice des salarié ?

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Je pense que personne ne devrait s'étonner de la situation ! Et préparez tous vos mouchoirs pour la suite...De toute façon avec un gouvernement pareil et sa majorité à l'assemblée nationale nous allons tous dans le mur ,et je ne parle pas des relations avec l'Allemagne , ni de Mme Tobira ...etc..etc...

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Je pense que personne ne devrait s'étonner de la situation ! Et préparez tous vos mouchoirs pour la suite...De toute façon avec un gouvernement pareil et sa majorité à l'assemblée nationale nous allons tous dans le mur ,et je ne parle pas des relations avec l'Allemagne , ni de Mme Tobira ...etc..etc...

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Ah ! Mon Héros !

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Tout a fait d'accord. Raz le bol des impôts qui n'en finissent plus de monter ! Mais surtout l'absence d'économie du gouvernement.

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Le gouvernement Ayrault vient de présenter son premier budget rectificatif et
le moins que l'on puisse dire c'est qu'il a eu la main particulièrement lourde.
Les impôts sont ainsi relevés de 7,2 milliards d'euros.

L'objectif est de revenir à l'équilibre des finances publiques à l'horizon
2017 en passant par des étapes intermédiaires : déficit de 4,5% du PIB en 2012
et de 3% en 2013.

Ce n'est malheureusement qu'un hors d'oeuvre par rapport à ce qui nous attend
l'an prochain où il faudra trouver 33 milliards d'euros. Si le gouvernement n'a
que l'arme d'augmentation des impôts et se montre toujours incapables de tailler
dans les dépenses, la fiscalité va devenir confiscatoire en France et le
rendements des impôts pourraient au final s'avérer moins bons que prévus.

L'effort se porte sur les ménages en majorité (53%), les entreprises
contribueront pour leur part à hauteur du solde, soit 47%.

Le catalogue à la Prévert présenté lors de l'indigeste discours du premier
ministre hier intègre notamment des taxes exceptionnelles sur les banques et les
pétroliers, la taxe sur les transactions financières est doublée à 0,2%,
suppression des exonérations sur les heures supplémentaires dans les entreprises
de plus de 20 salariés, fort abaissement des seuils d'exonération pour les
successions, contribution exceptionnelle des contribuables assujettis à l'ISF en
attendant sa réforme l'an prochain, taxe sur les dividendes, relèvement du
forfait social de 8 à 20% sur l'épargne salariale, etc, etc.

Le gouvernement a encore abaissé ses attentes de croissance pour 2012 et 2013
mais avec cette indigestion fiscale il est probable que les français se
tétanisent un peu plus sur leurs dépenses.

Du côté des réductions de dépenses de l'Etat par contre rien de concret, on
commence à avoir l'habitude.

© www.abcbourse.com

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