Peugeot: ...ou comment détruire le concept d'actionnariat.

Je suis contre le libéralisme sans limite en particulier en matiére boursiére . l'Etat doit intervenir par l'intermmédiaire de l'AMF lorsque des spéculateurs traders sont susceptibles de porter atteinte à la survie d'une entreprise d'importance nationale au niveau technique ou de l'emploi. Je m'étonne de la lenteur de réaction de l'actuel gouvernement toujours pret à critiquer la Direction de Peugeot alors qu'ilfaut l'aider, en appliquant le fameux "pacte social" de monsieur GALLOIS ,à s'en sortir dans une concurrence internationale extrémement dangereuse pour l'avenire industriel de notre pays . Il faut que l'Etat socialiste et les syndicats collaborent d'une façon cohérente et surtout POSITIVE avecl'entreprise PEUGEOT pour la sortir de l'orniére comme cela se passe en Allemagne quand une entreprise est en danger. Que la Gauche cesse la lutte des classes au sein des entreprises avec les vieilles rengaines datant de la Révolution Française qui ne sont plus de mise aujourd'hui.

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Ce n'est pas grave nous savons que sa valeur n'est pas celle prédit par les cours actuel c'est pour cela que j'ai pris pour 100€ d'action quand ils auront fini de jouer avec cette action je prendrais 100-200-300 ou 400% d’intérêt dans 2-3-4 ou 5 ans.
Moi je suis pas pressé.

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l'article est excellent ilfaut tout simplement primo interdire toute cotation de peugeot ailleurs quà Paris secundo n'autoriser que les cotations de peugeot au comptant une fois par semaine avec suspension des cotations dès que la baisse jounaliére dépasse 2%Cela sera suffisant pour que les spéculateurs aillent chasser ailleurs

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oui; mais là le politique a un rôle à jouer, mais comme ce sont aussi des incompétents parce qu'aucun n'a pris le temps excepté quelques rares personnes de se former et de s'intéresser à ce genre de mécanismes; arguant que les entreprise privés n'intéressent pas l'état, ils ne font rien, peut être quand quelques grandes entreprises seront à genoux et balanceront du personnel et que l'on en sera à 7 ou 8 millions de chômeurs commenceront ils à bouger...ce sera bien tard !!!

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Général Motors va bien!!! Cool...

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Ce qui est scandaleux, c'est que ce sont les banques qui pretent les titres pour les ventes à découvert.

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oui il peuvent remercier tout ses voyous de GS , UBS qui vise 3 euros 50 .
les fonds vendent a decouvert , quand arreterons nous cela

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(CercleFinance.com) - L'équipe des démolisseurs (hedge funds vautours, praticiens de la gestion 'long/short') reste fidèle au poste, avec toujours la même stratégie consistant à balancer en quelques secondes des paquets de 100.000 titres qui 'perforent' les carnets d'ordres, font voler en éclat les supports et déclenchent des centaines de 'stops suiveurs' à la vente.

Peugeot n'a plus rien d'une 'action', ne reflète plus aucune réalité présente ou perspective future de l'entreprise: ce n'est plus qu'un objet mathématique manipulable à merci (avec rumeurs mensongères de faillite à l'appui) dans un marché où le profil 'investisseur' a quasiment disparu.

Peugeot est le reflet caricatural d'un marché de 'day traders' qui savent à peine combien de salariés fait vivre l'entreprise mais qui sont incollables sur les alogorithmes paramétrés sur des unités de temps de 5 ou 7 secondes.

Le grand public qui ignore les dessous -peu reluisants- de la formation d'un cours de bourse résultant de ce genre de 'guerre des robots' ne peut qu'être terrifié par une 'valo' de niveau 'faillite'.

Les ignares ne cessent de justifier cette vision d'apocalypse en arguant que le 'partenaire' General Motors a bien fait faillite en 2009... mais ce n'était pas dû à une mévente chronique des véhicules (ce qui n'est même pas le cas de Peugeot): la cause principale était le fardeau des fonds de retraite, un problème spécifiquement américano-américain.

La baisse entraine la baisse et rien ne permet d'affirmer que le titre ne testera pas un cours de 4E d'ici fin novembre: il n'existe -depuis la cassure des 10E- plus aucune limite à l'absurdité du cours de Peugeot.

En effet, passé un certain niveau de sous-valorisation, ce n'est plus la réalité comptable ou industrielle qui s'impose mais c'est le cours de bourse qui induit le discours catastrophiste permettant de rationnaliser de nouvelles ventes à découvert, elles mêmes destinées à protéger les ventes précédentes (pour 'pyramider les gains'), dans un processus de 'fuite en avant' pouvant cependant aboutir à un 'corner' dévastateur.

En cas de débordement des 5,7E, un 'sauve qui peut' à la hausse pourrait s'enclencher, avec une accélération possible des rachats sur débordement de la MM100 qui gravite vers 6,3E (avec les 8E en ligne de mire), un scénario déjà observé sur Areva cet été avec +65% en quelques semaines.

Car après Peugeot -sur lequel il n'y a plus grand chose à gagner à la baisse-, la question qui taraude les 'démolisseurs' est : à qui le tour ?

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