Peugeot: très volatil, rumeurs démenties d'entrée de l'Etat.
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Le big boss a surtout dit que la question ne se posait pas, PARCE QUE PSA n'en a pas fait la demande.
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L'etat francais a dit qu'elle ne laisserais pas tombé une entreprise comme peugeot et qu'elle pourrait entrer par le bier du fsi( le fsi c'est l'etat a dit monsieur kaussac -desolé pour l'orthographe-).
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l état n aideras pas psa vu les plans a répétition et les résultats a venir sont astronomique a la baisse il faudrait être fou pour vouloir investir dans de telle condition quand on sait que l action va s écrouler des les résultats
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Après avoir largement contribué à la chute des cours de PEUGEOT par les déclarations intempestives l'état serait prêt à rentrer dans le capital de PEUGEOT , selon un journal dont bien des articles doivent être pris avec prudence.
Le personnel de FLORANGE et d'autes appréciera.
Que l'état rembourse rapidement la part des impôts que PEUGEOT doit légalement récupérer suite à ses pertes ce sera un sérieux coup de main mais que l'on arrête avec des déclarations dans tous les sens.;
Une situation comme celà exige du calme et de la sérénité , l'économie n'a rien à voir avec une presse "peapole"
Le personnel de FLORANGE et d'autes appréciera.
Que l'état rembourse rapidement la part des impôts que PEUGEOT doit légalement récupérer suite à ses pertes ce sera un sérieux coup de main mais que l'on arrête avec des déclarations dans tous les sens.;
Une situation comme celà exige du calme et de la sérénité , l'économie n'a rien à voir avec une presse "peapole"
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Après avoir largement contribué à la chute des cours de PEUGEOT par les déclarations intempestives l'état serait prêt à rentrer dans le capital de PEUGEOT , selon un journal dont bien des articles doivent être pris avec prudence.
Le personnel de FLORANGE et d'autes appréciera.
Que l'état rembourse rapidement la part des impôts que PEUGEOT doit légalement récupérer suite à ses pertes ce sera un sérieux coup de main mais que l'on arrête avec des déclarations dans tous les sens.;
Une situation comme celà exige du calme et de la sérénité , l'économie n'a rien à voir avec une presse "peapole"
Le personnel de FLORANGE et d'autes appréciera.
Que l'état rembourse rapidement la part des impôts que PEUGEOT doit légalement récupérer suite à ses pertes ce sera un sérieux coup de main mais que l'on arrête avec des déclarations dans tous les sens.;
Une situation comme celà exige du calme et de la sérénité , l'économie n'a rien à voir avec une presse "peapole"
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(CercleFinance.com) - En Bourse de Paris ce matin, l'action Peugeot a d'abord grimpé jusqu'à 6,17 euros, soit plus de 5% de hausse, avant de dégringoler à cette heure de 1,8% à 5,8 euros. En effet, le journal Libération affirmait ce matin que 'l'Etat étudie une entrée au capital du constructeur qui croule sous les pertes', citant des sources élyséennes. Mais selon le Figaro citant le ministère du Budget, cela ne serait pas à l'ordre du jour.
'De sources gouvernementales, on confirme que l'Etat ne laisserait pas PSA faire faillite', écrit donc Libération dans son édition de ce matin.
'Si une augmentation de capital se révélait indispensable, l'Etat pourrait y participer, explique une source élyséenne. Qui précise qu'il reviendra à la direction de mettre la question sur la table', peut-on lire dans l'article, qui prenait donc des précautions.
Mais quelques heures plus tard, selon le Figaro.fr, 'le plan d'économies de Philippe Varin (le patron de Peugeot, ndlr) permettrait de remettre les comptes de PSA dans le vert pour fin 2014.'
Quant à l'éventuelle participation de l'Etat à une levée de fonds, 'le ministre du Budget Jérôme Cahuzac a jugé cette option techniquement 'possible', au lendemain de l'annonce d'une prévision de perte record pour 2012. Mais Bercy assure que ce n'est pas à l'ordre du jour.'
Le site internet du quotidien fait également état des dissensions au sein de la famille Peugeot, et de l'incertitude quant au sort du patron du groupe Philippe Varin,dont le mandat actuel se terminera en mai.
Copyright © 2013 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
'De sources gouvernementales, on confirme que l'Etat ne laisserait pas PSA faire faillite', écrit donc Libération dans son édition de ce matin.
'Si une augmentation de capital se révélait indispensable, l'Etat pourrait y participer, explique une source élyséenne. Qui précise qu'il reviendra à la direction de mettre la question sur la table', peut-on lire dans l'article, qui prenait donc des précautions.
Mais quelques heures plus tard, selon le Figaro.fr, 'le plan d'économies de Philippe Varin (le patron de Peugeot, ndlr) permettrait de remettre les comptes de PSA dans le vert pour fin 2014.'
Quant à l'éventuelle participation de l'Etat à une levée de fonds, 'le ministre du Budget Jérôme Cahuzac a jugé cette option techniquement 'possible', au lendemain de l'annonce d'une prévision de perte record pour 2012. Mais Bercy assure que ce n'est pas à l'ordre du jour.'
Le site internet du quotidien fait également état des dissensions au sein de la famille Peugeot, et de l'incertitude quant au sort du patron du groupe Philippe Varin,dont le mandat actuel se terminera en mai.
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