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Marché: le compte-rendu de la Fed plombe l'euro.

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cycleman cycleman
21/02/2013 14:40:10
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c bon pour nous vivement un retour a 1 dollard/1euro va moin la ramener sa grande gl tayllor
  
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tirelire19 tirelire19
21/02/2013 13:25:36
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La fin du DOPAGE à l' EPO de la planche à billets , c' est pour bientôt , c' est dingue comme les rats spéculateurs vendent la nouvelle , surtout que ,plus la planche à billets fonctionnent moins il y a de croissance aux USA .
C' est du gaspillage inutile !
  
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tirelire19 tirelire19
21/02/2013 13:25:36
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(CercleFinance.com) - La monnaie unique européenne baissait dans des proportions sensibles, jeudi midi sur le marché des changes, contre la plupart de ses contreparties. Les “minutes” du dernier comité de politique monétaire de la Fed, qui laissent entrevoir de nouveau un fin anticipée des “QE”, tendent effectivement à soutenir le dollar. Ainsi, l'euro reculait de 0,82% contre le billet vert à 1,3181 dollar, de 1,63% contre le yen à 122,61 et de 0,75% contre le sterling à 0,8656, sans oublier le franc suisse (- 0,30% à 1,2283).

Le compte-rendu (dit “minutes”) du dernier comité de politique monétaire de la Fed, le FOMC, qui s'est tenu les 29 et 30 janvier derniers, a été publié hier. Les craintes d'une fin anticipée des “assouplissements quantitatifs” (QE, c'est-à-dire des rachats massifs d'actifs obligataires) entamés fin 2008 par la banque centrale US s'en sont trouvés ravivés.

Selon les courtiers de RTFX, ce matin, “le dollar américain a progressé à un plus haut de trois mois face à un panier de devises après que les minutes de la dernière réunion du FOMC ont montré que certains membres du comité estimaient que la Fed devait réduire, voire arrêter, son programme de rachat d'actifs même si l'emploi ne redémarrait pas.”

Face à l'euro, le voilà à son pluis haut niveau de six semaines.

Certes, ni le président du “board” Ben Bernanke ni la vice-président, Janet Yellen, ne sont favorable à la fin anticipée du QE, mais leur position semble devenir minoritaire.

Même son de cloche chez Aurel BGC : “la banque centrale (américaine) n'exclut pas d'arrêter son 'quantitative easing' avant la fin de l'année. Si les taux directeurs resteront bas tant que le taux de chômage ne reculera pas significativement, les injections de liquidités ne seront pas poursuivies.” Ces achats d'actifs, notamment d'obligations d'Etat à long terme, tendent à en faire baisser les taux longs correspondants, ce qui facilite en théorie le financement de l'économie et donc la croissance.

Bref, 'après ces minutes, il n'est plus certain que la banque centrale poursuive durablement ces injections et elle pourrait, dans un premier temps, diminuer rapidement le rythme de ses achats', indique encore Aurel BGC.

De surcroît, ajoute RTFX, le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre laisse augurer du même scénario, son gouverneur Mervyn King étant favorable aux “QE à l'anglaise”. Or “M. King ainsi que deux autres membres du comité ont été battus dans les votes (6 contre 3), ce qui indique que la banque centrale est plus proche que prévu pour prendre de nouvelles mesures”, ajoute un cambiste.

Chez BofA-Merrill Lynch, le stratégiste Michael Hartnett conseille ce matin “d'acheter le dollar US”. En effet, l'optimisme des investisseurs pour les actifs à risque semble excessif, le “point haut des liquidités” est maintenant derrière nous, sans oublier les conséquences de l'austérité.

Enfin, l'agenda statistique de la matinée a achevé de déprimer les haussiers sur l'euro : dans la zone euro, l'indice flash PMI composite s'est replié à 47,3 en février, signalant donc une accélération de la contraction économique, en contraste avec l'atténuation de la crise observée au cours des trois derniers mois.

Si l'activité globale progresse encore en Allemagne pour le troisième mois consécutif, Markit met en avant une accélération des fortes contractions enregistrées en France et dans le reste de la zone euro.

'Le caractère généralisé du malaise économique français - celui-ci touche en effet tout autant le secteur des services que l'industrie manufacturière - ne laisse guère de place à l'optimisme', s'inquiète ainsi Jack Kennedy, économiste chez Markit.

Du côté américain, les cambistes prendront tout à l'heure connaissance des derniers indicateurs d'inflation, des inscriptions hebdomadaires au chômage, des ventes de logements anciens, du Philly Fed et enfin des indicateurs avancés du Conference Board.


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